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  • Auteurs: Eve Gaddy
  • Auteurs: Général Giraud
  • Auteurs: Philippe Jean
Les héritiers de Bellefontaine - Eve Gaddy - Harlequin Emotions N° 876
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N° 876 - Les héritiers de Bellefontaine (Eve Gaddy)

2,25 €
Les héritiers de Bellefontaine (Eve Gaddy) - Tome 1/3 Bellefontaine : une plantation de canne à sucre au coeur de la Louisiane. Dans la grande demeure pleine de souvenirs, trois générations cohabitent, parents, enfants, petits-enfants. Une famille unie… en apparence. Le domaine est riche et prospère mais la puissance est bien souvent source de haine et de jalousie. Sur la plantation gérée par Casey et Jackson Fontaine, en l'absence de leur père Duke, une série de catastrophes s'abat : incendie, disparition de matériel, sabotages… Impossible de mettre tout cela sur le compte du hasard ! Et comme si le sort s'acharnait sur eux, une terrible nouvelle tombe : l'avion qui transportait leurs parents s'est écrasé dans les Alpes. A l'ouverture du testament de Duke, le frère et la soeur découvrent alors, abasourdis, que leur père a eu autrefois une aventure. Une liaison secrète dont est née une fille avec laquelle ils vont devoir partager leur héritage…

Mes évasions (Général Giraud)

5,95 €
La carrière du général Giraud, soldat sans peur et sans reproche, a été marquée par trois mémorables évasions. En 1914, après la bataille de la Marne, évasion du capitaine Giraud de l'hôpital allemand d'Origny-Sainte-Benoîte et retour en France par Bruxelles, La Haye et Folkestone. De mai 1940 à avril 1942, préparation minutieuse et réussite méritoire du chef-d'oeuvre d'ingéniosité et de sang-froid que fut l'évasion du général d'armée Giraud de la forteresse nid d'aigle de Kônigstein. Enfin, en novembre 1942, embarquement en sous-marin, au large des côtes de France, vers Gibraltar et l'Algérie. Un livre exaltant pour les Français de tout âge.

N° 1689 - Une femme unique (Philippe Jean)

4,15 €
Extrait : La nuit était douce. Une brise très légère venait de la mer, juste assez fraîche pour chasser la chaleur accumulée par le sol et les pierres de la villa durant toute une journée ensoleillée sous le ciel sans nuages, de la Côte d'Azur. Marie-Elise et Geneviève avaient mis, sur leurs épaules nues, l'une un châle, l'autre une veste de flanelle. Seule Nora gardait sa tenue de plage. …

N° 1659 - Coeur de pierre (Philippe Jean)

3,74 €
Extrait : Dans tout le village de Brauvoy, on ne voyait que deux lumières en dehors de l'immense clarté qui venait de la place du Marché. C'étaient deux petits lumignons jaunes et tristes : l'un à la ferme des Furet, l'autre dans la maisonnette des Digard. Tous les autres foyers étaient obscurs, car la foule des villageois s'était répandue ce soir-là dans les rues, sur la route, dans les cabarets avoisinant la place où avait lieu le bal. La jeunesse s'en donnait à coeur joie au son d'un orchestre infatigable, tandis que les marmots contemplaient cette agitation avec extase, les doigts dans le nez, ou se poursuivaient à grands cris parmi les couples qu'ils bousculaient. Les jeunes mères étaient assises sous les arbres du mail vaguement éclairés par les derniers reflets des lampes du bal ; elles serraient contre elles leurs enfants endormis, mais elles n'auraient pas voulu être exclues de la fête où, l'année précédente, nombre d'entre elles, encore légères, avaient dansé…

N° 1712 - Prisonnière de son destin (Philippe Jean)

4,50 €
Extrait : — Atelier Didier Dyon ? répéta la concierge. Septième, face. — Merci, madame… Munie du renseignement, Régine attaqua l'escalier, puis sonna… au premier étage. C'était ainsi qu'elle s'y prenait pour forcer le barrage : quand on fait du « porte à porte », le plus dur est de s'introduire dans l'immeuble : aussi relevait-elle dans l'annuaire  le nom d'un locataire qui servait de Sésame ouvre-toi vis-à-vis de la concierge ; et une fois dans la place, elle visitait, un à un, tous les appartements de la maison. Le « truc » n'est pas infaillible. Ainsi, ce matin, depuis que, descendue au métro Montparnasse, elle avait entamé, par en haut, la rue de Rennes, cela n'avait pas encore réussi une seule fois : ou le locataire-clé avait déménagé, ou il était mort, ou il venait de sortir, ou il était en voyage… ou c'était le concierge qui, comme le signalait un écriteau, était « dans l'escalier », et risquait, par conséquent, d'éventer le subterfuge et de chasser, honteusement celle qui cherchait à enfreindre l'interdiction (affichée partout) « aux représentants » et démonstrateurs de pénétrer dans l'immeuble ». Donc, Régine avait essuyé toute une série d'échecs avant d'être, enfin, en mesure de prendre contact avec d'éventuels clients…
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