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  • Auteurs: Evelyne Reberg
  • Auteurs: Paul Hervieu

L'auto fantôme (Evelyne Reberg) - J'aime Lire N° 92

2,15 €
Madame Bloyer a tout l'air d'une vieille dame paisible, et pourtant… Depuis des années, à l'insu de ses voisins, elle partage son appartement avec un locataire peu ordinaire : c'est un fantôme. Il s'appelle Gus. Il est sympathique comme tout, mais pas discret pour deux sous. Au lieu de jouer tranquillement avec ses toiles d'araignée et ses ossements, il a toujours des idées folles. Ce soir-là, justement, il est pris d'une furieuse envie de retourner à Hurlenfer, le château qu'il hantait autrefois… Hurlenfer ? Madame Bloyer refuse de l'y conduire. Elle ne veut pas en entendre parler. Pauvre madame Bloyer ! Elle n'a pas fini d'en entendre parler, au contraire, car quand Gus se déchaîne, tout peut arriver ! De 6 à 10 ans.

Les Lili Moutarde (Evelyne Reberg) - J'aime Lire N° 20

2,15 €
Dans la famille Moutarde, à Dijon, il y a quatre Lili. Une grande Lili, l'aînée. Et trois petites Lili triplées qui n'arrêtent pas de chahuter, de farfouiller et de réclamer des bisous. Tant et si bien que leur grande soeur, exaspérée, décide un jour de les envoyer au diable… Et le pire, c'est qu'elles atterrissent chez le diable ! Qui sera le plus diabolique ? Le diable ? Ou les trois Lili ? De 6 à 10 ans.

Juju Pirate (Evelyne Reberg) - Castor Poche N° 567

2,15 €
Juju Pirate est un pirate du genre rêveur, il n'aime pas se battre. Lorsqu'il découvre la carte de l'île au Crabe, il est frappé par la fièvre de l'or, bon sang ne saurait mentir ! Armé d'une dent de requin, d'un tonneau de rom rom et des conseils de Grand-grand maman pirate, Juju prend la mer sur un radeau, pour affronter les terribles monstres qui convoitent, eux aussi, le trésor… Dès 9-10 ans.

L'Alpe Homicide (Paul Hervieu)

12,00 €
L'Alpe Homicide (Paul Hervieu) Extrait Chapitre I : Quand j'arrivai à Chamonix, la nuit avait depuis longtemps noirci la vallée. Quelques lumières, en ville, indiquaient le seuil des pensions, le pont sur l'Arve et les quatre coins de la place qu'encombrait la compagnie des guides en quête de clients. Ma monture se fraya un passage au milieu de ces groupes patients et taciturnes ; et je l'arrêtai à la porte de l'hôtel de l' Ours . J'étais harassé par quinze heures de chevauchée à travers les montagnes de la Savoie ; et le froid, que les approches de l'automne faisaient descendre sur la pente des glaciers plus intense et plus humide, étreignait mes épaules et raidissait désagréablement mes genoux. J'avalai un bol de punch et je me couchai sans souper. Il est très difficile de s'endormir, dans un hôtel, avant que tout le monde soit au lit. Jusque-là le parquet sonore des couloirs est battu de pas lourds ; les gens de service s'interpellent et remuent des choses retentissantes. Des portes ouvertes crient en se fermant ; d'autres crient dès qu'on les ouvre, et leurs entrebâillements livrent passage aux récoltes pesantes de chaussures que les divers genres de promiscuité ont produites dans chaque chambre. Peu à peu ce tumulte s'apaisa ; mais l'énervement de fatigue où j'étais me tenait éveillé. Et à mesure que les bruits environnants diminuaient de force, mon oreille devenait impressionnable à des sons plus délicats…
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