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  • Auteurs: André Demaison
  • Auteurs: Félix Léonnec

Poupah l'éléphant et autres histoires de bêtes qu'on dit sauvages (André Demaison)

4,50 €
Voici une nouvelle série d'«histoires de bêtes qu'on dit sauvages ». Sauvage ce Poupah qui s'habitua si bien aux manières des hommes qu'il avait peur, seul, le soir dans la brousse ? Sauvages, les deux lionceaux qui, imbus de la majesté de leur race, brisaient les barreaux de la cage où ils voyageaient pour aller s'installer dans un compartiment de première classe ?…

La nouvelle arche de Noé (André Demaison)

6,95 €
Extrait : LA GOELETTE EN DERIVE Les hommes ne sont pas tellement nombreux, qui ont pu vivre leurs lectures d'enfance transposées dans la réalité. Quand je me vois coiffé d'un feutre à larges bords, vêtu de toile kakie et pieds nus dans des espadrilles à vingt-six sous, arpentant le pont de ma goélette jusqu'au moment où, fatigué de refaire sans cesse les mêmes trente-cinq pas, je m'accroupis près de la barre, enfoncé dans la chaleur et la solitude, je me demande si je ne vais pas être de ceux qui réussissent leur tour de chance. Il est encore plus rare qu'un homme accomplisse sa destinée de bout en bout selon ses aptitudes et ses espoirs. Qu'il arrive, en pleine jeunesse, avec des muscles souples et un regard tout neuf, à réussir un passage de sa vie, c'est déjà pour lui une immense faveur. Je crois que je suis sur cette voie. Les plus beaux horizons d'Afrique m'appartiennent. A vingt-trois ans, je recommence déjà une nouvelle existence…

N° 1150 - Pauvre petite femme (Félix Léonnec)

2,92 €
Extrait : — Allons, mon bon Benoît, il faut nous séparer ; depuis hier soir, déjà, vous n'êtes plus à mon service mais à ceux du duc de Veristein ; ce tour que nous venons de faire ensemble était le dernier fait par moi sur ce domaine depuis si longtemps à mes ancêtres. J'aime mieux le voir vendu à un grand seigneur que de le voir péricliter faute d'argent pour le faire valoir. — Est-il possible, monsieur le comte, que des choses pareilles puissent arriver. J'ai été au service de Monsieur votre père et à ce moment on disait couramment que les comtes de Villerbois étaient quasiment aussi riches que des rois. — Que des rois pauvres, mon brave Benoît, certainement nous avions de quoi faire valoir tout le pays, mais les temps ont changé, la vie a des exigences qui n'existaient pas autrefois…
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