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  • Auteurs: Félix Léonnec
  • Auteurs: Heather McCann
  • Auteurs: Léopold Remon

N° 35 - La petite fille qui voulait devenir détective (Heather McCann)

2,46 €
Comme toutes les petites filles, Caitlin Ashley Emerson joue à la poupée Barbie et rêve d'aller un jour à Disneyworld. Mais sa vraie passion, ce qu'elle adore par-dessus tout, c'est le métier de détective. C'est ce qu'elle fera quand elle sera grande. Ou alors, écrivain. Ce sera son travail de connaître des tas de trucs sur les gens. D'ailleurs, c'est déjà le cas : si les « grands » savaient quel secret elle a découvert ! Seulement voilà : comme on ne la croirait pas si elle le disait, elle mène l'enquête sans que personne ne s'en aperçoive - ni sa tante Margaret, chargée de la garder pendant 15 jours dans cette maudite maison du Vermont louée à une certaine Mme Knox, ni sa mère, Sandy, partie soi-disant se reposer en Californie, alors qu'elle n'est même pas malade, ni son beau-père, Robert, qui la déteste, et qui joue au papa parfait devant les autres. Mais ça fait longtemps qu'elle a compris ses manigances ! Les preuves ? Elle les note dans un petit carnet - ça lui servira plus tard, pour écrire son roman policier -, et elle en a plein : à commencer par la disparition suspecte de Mme Knox. Robert raconte qu'elle est en voyage en Europe, mais Caitlin, elle, sait que Mme Knox n'est pas Mme Knox, parce que Mme Knox est morte…

N° 1696 - Sa vraie maman ! (Léopold Remon)

2,92 €
Extrait : C'était une pauvre demeure que celle où la vieille Marie Méry se mourait. Une grande pièce au sol dallé, une alcôve et un petit réduit où l'on gardait quelques provisions, composaient le modeste intérieur. Des bouquets d'oignons suspendus décoraient les poutres. La vaste cheminée, quelques misérables meubles ornaient la pièce principale qui s'ouvrait de plain-pied sur le jardinet. Parfois, deux ou trois poules effrontées s'aventuraient jusqu'à la paillasse où dormait Pierrette. C'était toute la basse-cour de Marie Méry qui nourrissait ces volatiles de quelques miettes, et leur laissait le soin de dénicher dans les champs d'alentour le plus clair de leur subsistance. Pauvre, Marie Méry l'était, mais à la façon indifférente des vieilles paysannes qui savent côtoyer la misère sans tomber dans le sordide. Elle ne possédait aucun bien, n'avait ni bétail, ni terre. Et la maison ne lui appartenait qu'en vertu de son abandon dont elle avait su profiter depuis si longtemps…

N° 1714 - Personne au monde... (Léopold Rémon)

3,74 €
Extrait : Quand Charles Bocham pénétra dans son bureau, le scribe indigène était déjà au travail. Le jeune homme bourra sa pipe, déplaça quelques dossiers, prit un roman policier. C'était vraiment un emploi de tout repos. L'employé maori se chargeait des paperasses et s'en tirait fort bien tout seul. Pourtant, le règlement prévoyait que le titulaire du poste devait être licencié en droit. Voilà pourquoi, depuis trois ans, Charles Bocham avait quitté la France. Trois ans ! Il avait débarqué à Tahiti comme Alice au pays des merveilles. C'était presque trop beau, trop colorié. L'air était trop doux, les parfums trop sucrés, la mer et le ciel trop bleus. Mais avec le temps, les couleurs s'étaient ternies, les parfums fanés. Aujourd'hui, Charles Bocham crevait d'ennui. Même la prochaine venue de sa fiancée ne parvenait pas à le tirer de sa lassitude. Le bateau, actuellement, devait franchir le canal de Panama. Il lui faudrait dix-huit jours avant de pénétrer dans la rade de Papeete. Ce délai parût soudain formidablement long à Charles Bocham, plus long que les trois années pendant lesquelles il avait attendu, tout d'abord, sa titularisation, constitué ensuite un petit pécule pour monter son ménage. A présent que le but était en vue, il se rendait compte qu'il n'en pouvait plus, que sa chair et son âme se refusaient à prolonger l'épreuve…

N° 1150 - Pauvre petite femme (Félix Léonnec)

2,92 €
Extrait : — Allons, mon bon Benoît, il faut nous séparer ; depuis hier soir, déjà, vous n'êtes plus à mon service mais à ceux du duc de Veristein ; ce tour que nous venons de faire ensemble était le dernier fait par moi sur ce domaine depuis si longtemps à mes ancêtres. J'aime mieux le voir vendu à un grand seigneur que de le voir péricliter faute d'argent pour le faire valoir. — Est-il possible, monsieur le comte, que des choses pareilles puissent arriver. J'ai été au service de Monsieur votre père et à ce moment on disait couramment que les comtes de Villerbois étaient quasiment aussi riches que des rois. — Que des rois pauvres, mon brave Benoît, certainement nous avions de quoi faire valoir tout le pays, mais les temps ont changé, la vie a des exigences qui n'existaient pas autrefois…
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