Accueil

Accueil

Il y a 3 produits.

Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Félix Léonnec
  • Auteurs: Hubert Ben Kemoun
  • Auteurs: Marie-Brigitte

Ma mère m'épuise (Hubert Ben Kemoun) - Le livre de poche N° 696

2,74 €
Mélusine est dans tous ses états : son petit ami, Bruno, vient de lui annoncer qu'il la quitte. Mais c'est compter sans sa mère, championne des déboires en tout genre ! Mélusine lui promet toujours de trouver une solution à ses problèmes. « Ma mère m'épuise », voilà le slogan que Mélusine pourrait écrire sur les murs de la ville, à la place des slogans racistes qui s'y trouvent. Mais quelqu'un d'autre a déjà pris la place… À partir de 12 ans

N° 285 - La lumière éblouissante de l'amour (Marie-Brigitte) - Piper LAURIE en couverture

3,50 €
La lumière éblouissante Roman d'amour inédit par Marie-Brigitte Extrait : Eliane pressa sa mère. Elle avait hâte d'être entrée dans cette maison banale, qui portait à côté de la porte une simple plaque de cuivre : « Docteur Jean Laborde, occuliste » Elle fit un petit geste gentil au chauffeur, qui reprenait le volant qu'elle venait de libérer. Elle appuya sur le bouton de la sonnette électrique. Une personne vêtue de noir les introduisit, et les précéda vers la salle d'attente, qui se trouvait au bout d'un couloir sombre. Madame Longpré protesta, après avoir rappelé son nom : — Pardon, Mademoiselle, nous avons demandé rendez-vous spécialement cette après-midi. — Vous êtes quinze minutes avant l'heure, Madame ; de toutes façons, il y a encore une cliente à passer avant vous. Comme elle parlait, une porte s'ouvrit, et la jeune fille eut la vision rapide d'une haute silhouette blanche. Le docteur passa derrière elle, reconduisant sa patiente pendant quelques pas…

N° 1150 - Pauvre petite femme (Félix Léonnec)

2,92 €
Extrait : — Allons, mon bon Benoît, il faut nous séparer ; depuis hier soir, déjà, vous n'êtes plus à mon service mais à ceux du duc de Veristein ; ce tour que nous venons de faire ensemble était le dernier fait par moi sur ce domaine depuis si longtemps à mes ancêtres. J'aime mieux le voir vendu à un grand seigneur que de le voir péricliter faute d'argent pour le faire valoir. — Est-il possible, monsieur le comte, que des choses pareilles puissent arriver. J'ai été au service de Monsieur votre père et à ce moment on disait couramment que les comtes de Villerbois étaient quasiment aussi riches que des rois. — Que des rois pauvres, mon brave Benoît, certainement nous avions de quoi faire valoir tout le pays, mais les temps ont changé, la vie a des exigences qui n'existaient pas autrefois…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire