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  • Auteurs: Félix Léonnec
  • Auteurs: Hubert Ben Kemoun
  • Auteurs: Martine Lang
Ma mère m'épuise (Hubert Ben Kemoun) - Le livre de poche N° 696

Ma mère m'épuise (Hubert Ben Kemoun) - Le livre de poche N° 696

2,74 €
Mélusine est dans tous ses états : son petit ami, Bruno, vient de lui annoncer qu'il la quitte. Mais c'est compter sans sa mère, championne des déboires en tout genre ! Mélusine lui promet toujours de trouver une solution à ses problèmes. « Ma mère m'épuise », voilà le slogan que Mélusine pourrait écrire sur les murs de la ville, à la place des slogans racistes qui s'y trouvent. Mais quelqu'un d'autre a déjà pris la place… À partir de 12 ans
Secrets de lecture : Guide Castor Poche - Flammarion
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Secrets de lecture : Guide Castor Poche (Martine Lang, Rose-Marie Vassallo)

2,80 € 3,50 € -20%
Bien lire, c'est savoir choisir ses livres, des livres qui correspondent à ses goûts, ses humeurs, ses passions, ses centres d'intérêt, ses curiosités. Pour que lire soit une source de plaisir, Castor Poche offre à ses jeunes lecteurs et à leurs parents mille et un secrets de lecture, dans un véritable guide qui facilitera le parcours si délicat du bon choix. Un guide qui présente et analyse 100 titres parmi les 360 que compte la collection. En début de volume, un cahier de 36 pages de jeux, de petits secrets d'éditeur... et de lecteur.
Pauvre petite femme (Félix Léonnec) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1150

N° 1150 - Pauvre petite femme (Félix Léonnec)

2,92 €
Extrait : — Allons, mon bon Benoît, il faut nous séparer ; depuis hier soir, déjà, vous n'êtes plus à mon service mais à ceux du duc de Veristein ; ce tour que nous venons de faire ensemble était le dernier fait par moi sur ce domaine depuis si longtemps à mes ancêtres. J'aime mieux le voir vendu à un grand seigneur que de le voir péricliter faute d'argent pour le faire valoir. — Est-il possible, monsieur le comte, que des choses pareilles puissent arriver. J'ai été au service de Monsieur votre père et à ce moment on disait couramment que les comtes de Villerbois étaient quasiment aussi riches que des rois. — Que des rois pauvres, mon brave Benoît, certainement nous avions de quoi faire valoir tout le pays, mais les temps ont changé, la vie a des exigences qui n'existaient pas autrefois…
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