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  • Auteurs: Christian Poslaniec
  • Auteurs: Félix Léonnec
  • Auteurs: Jackie Merritt

Le treizième chat noir (Christian Poslaniec)

2,56 €
A Beaugency, il y a un pont et une légende. La légende raconte qu'autrefois, tout le monde pouvait entrer à Beaugency en traversant le pont, mais personne ne pouvait en ressortir. Quiconque tentait de franchir le pont en sens inverse était transformé en chat noir, qui allait semer le malheur dans les contrées avoisinantes. Quiconque, excepté une personne. C'est la légende du chat du diable. Dès son arrivée à Beaugency, l'écrivain Christian Spivac a croisé la légende. Il l'a même frôlée de très près. Et il a rencontré un garçon mystérieux, qui semble vivre tout seul, et qui dit fabriquer du malheur. Christian Spivac se rendait simplement au Salon du livre de Beaugency. Maintenant il attend le treizième chat noir. De 9 à 12 ans.

N° 1176 - Trop beau pour être honnête (Jackie Merritt)

2,95 €
La vive et jolie Gus a un diminutif de garçon, un travail de garçon mais, face à l'irrésistible et dangereux Cash Saxon, elle est la plus vulnérable des femmes. En effet, Cash use de toutes les armes de sa séduction naturelle — et Dieu sait s'il en a — pour manoeuvrer contre Gus et l'évincer de l'exploitation forestière dont il voudrait reprendre la direction exclusive. Du moins, est-ce ainsi que la jeune femme voit les choses dans ses moments les plus noirs... Mais dès qu'elle se retrouve dans le lit de Cash, dans ses bras, elle peint la vie en rose… Alors, comment choisir entre l'illusion du bonheur et la certitude de la trahison ; ou entre la certitude du bonheur et l'illusion de la trahison ? Cash est-il vraiment trop beau pour être honnête ?

N° 1150 - Pauvre petite femme (Félix Léonnec)

2,92 €
Extrait : — Allons, mon bon Benoît, il faut nous séparer ; depuis hier soir, déjà, vous n'êtes plus à mon service mais à ceux du duc de Veristein ; ce tour que nous venons de faire ensemble était le dernier fait par moi sur ce domaine depuis si longtemps à mes ancêtres. J'aime mieux le voir vendu à un grand seigneur que de le voir péricliter faute d'argent pour le faire valoir. — Est-il possible, monsieur le comte, que des choses pareilles puissent arriver. J'ai été au service de Monsieur votre père et à ce moment on disait couramment que les comtes de Villerbois étaient quasiment aussi riches que des rois. — Que des rois pauvres, mon brave Benoît, certainement nous avions de quoi faire valoir tout le pays, mais les temps ont changé, la vie a des exigences qui n'existaient pas autrefois…
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