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  • Auteurs: Félix Léonnec
  • Auteurs: Mario Francis
  • Auteurs: Mei Boyington
Monstre Loup et Maître Miam (Mei Boyington) - ALICE Jeunesse

Monstre Loup et Maître Miam (Mei Boyington)

7,20 €
Tous les animaux ont déserté la forêt, lassés de servir de pitance au loup affamé. Miam le lapin croyait trouver la tranquillité, mais les animaux sont trop nombreux et obligés de vivre les uns sur les autres dans des terriers toujours plus petits. Et que dire de la nourriture, jamais variée, toujours dégoûtante. Miam, qui est un fin gourmet, craque et vole une carotte sur un étal. Le marchand est furieux. Le lapin est obligé de fuir… dans la forêt où le loup, presque mort de faim, est ravi de le retrouver. Quoique… Miam sent vraiment très très mauvais. Mais cela suffira-t-il pour décourager le loup et éviter de finir en civet ? Source : Editions ALICE Jeunesse
LEONIS T2 : La Table aux douze joyaux (Mario Francis) - Bayard Jeunesse

LEONIS T2 : La Table aux douze joyaux (Mario Francis)

3,50 €
Revenu triomphant de sa première mission, Leonis doit maintenant réunir les douze joyaux de la Table solaire qui trône depuis cent cinquante ans dans une chambre secrète, afin d'apaiser la colère de Rê et empêcher le grand cataclysme. C'est en compagnie de son fidèle ami Montu que Leonis se lance dans cette périlleuse aventure. La tâche sera ardue. Au palais royal, un espion surveille chacun de leurs gestes. Plus que jamais, les adorateurs d'Apophis, dieu du chaos, sont déterminés à éliminer le sauveur de l'Empire… Dès 10 ans
Pauvre petite femme (Félix Léonnec) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1150

N° 1150 - Pauvre petite femme (Félix Léonnec)

2,92 €
Extrait : — Allons, mon bon Benoît, il faut nous séparer ; depuis hier soir, déjà, vous n'êtes plus à mon service mais à ceux du duc de Veristein ; ce tour que nous venons de faire ensemble était le dernier fait par moi sur ce domaine depuis si longtemps à mes ancêtres. J'aime mieux le voir vendu à un grand seigneur que de le voir péricliter faute d'argent pour le faire valoir. — Est-il possible, monsieur le comte, que des choses pareilles puissent arriver. J'ai été au service de Monsieur votre père et à ce moment on disait couramment que les comtes de Villerbois étaient quasiment aussi riches que des rois. — Que des rois pauvres, mon brave Benoît, certainement nous avions de quoi faire valoir tout le pays, mais les temps ont changé, la vie a des exigences qui n'existaient pas autrefois…
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