Accueil

Accueil

Il y a 2 produits.

Affichage 1-2 de 2 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Félix Léonnec
  • Auteurs: Maurice Carême
LA KERMESSE (Pierre Brueghel) racontée aux enfants par Maurice Carême - Editions Duculot
  • Nouveau

LA KERMESSE (Pierre Brueghel) racontée aux enfants par Maurice Carême

4,75 €
Le tableau connu sous le nom de « La Kermesse » a été peint par Pierre Brueghel le Jeune, dont le père, aussi prénommé Pierre, était peintre également comme le sera plus tard son propre fils, désigné sous le nom de Pierre Brueghel le Troisième. Pierre Brueghel le Jeune naquit à Bruxelles en 1564. A l'âge de quatorze ans, il perdit ses parents. Pierre, son frère cadet Jean (qui deviendra peintre lui aussi) et sa soeur Marie seront élevés chez leur grand-mère à Anvers. Peintre elle-même, elle donna conseils, leçons et encouragements au jeune garçon jusqu'au jour où il fut admis à la Guilde comme « Fils de Maître » (1585). A cette époque un jeune homme désireux de faire une carrière d'artiste devait, avant de devenir membre d'une Guilde, se soumettre à une longue période de formation et d'apprentissage. Les Guildes étaient puissantes ; elles regroupaient ceux qui souhaitaient protéger la réputation des artistes et des artisans et maintenir l'exigence de qualité dans le travail au plus haut niveau possible. Pierre passait le plus clair de son temps à copier les oeuvres de son père d'après des gravures et des dessins qu'il avait laissés après sa mort. Mais « La Kermesse » est une de ses peintures originales. Il en fit plusieurs versions.

N° 1150 - Pauvre petite femme (Félix Léonnec)

2,92 €
Extrait : — Allons, mon bon Benoît, il faut nous séparer ; depuis hier soir, déjà, vous n'êtes plus à mon service mais à ceux du duc de Veristein ; ce tour que nous venons de faire ensemble était le dernier fait par moi sur ce domaine depuis si longtemps à mes ancêtres. J'aime mieux le voir vendu à un grand seigneur que de le voir péricliter faute d'argent pour le faire valoir. — Est-il possible, monsieur le comte, que des choses pareilles puissent arriver. J'ai été au service de Monsieur votre père et à ce moment on disait couramment que les comtes de Villerbois étaient quasiment aussi riches que des rois. — Que des rois pauvres, mon brave Benoît, certainement nous avions de quoi faire valoir tout le pays, mais les temps ont changé, la vie a des exigences qui n'existaient pas autrefois…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire