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  • Auteurs: Félix Léonnec
  • Auteurs: Michel Amelin
POLAR GOTHIQUE : La colère du puma inca (Michel Amelin) - Bayard poche N° 407

N° 407 - POLAR GOTHIQUE : La colère du puma inca (Michel Amelin)

2,15 €
Polar gothique : un lieu inquiétant et lourd de secrets, un passé de légende, un meurtrier qui rôde… Les jeunes héros mènent l'enquête ! Un criminel dissimulé sous un masque de puma a enlevé la riche Nina Santamaria. Il la laisse en vie, mais lui promet qu'il la retrouvera plus tard… Quel est le plan de ce monstre ? De Miami à Cuzco, le danger va poursuivre la jeune héritière jusque dans les fondations d'un ancien palais espagnol construit sur les ruines d'un temple inca… Dès 10 ans
Le piège de la rose noire (Michel Amelin) - J'aime Lire N° 164 - BAYARD Poche

Le piège de la rose noire (Michel Amelin) - J'aime Lire N° 164

3,92 €
Quentin a une grand-mère pas comme les autres : elle invente des roses. En vacances chez elle, le garçon va mener une enquête pour découvrir qui cherche à détruire les créations de Mamy Gladys. Il y a quatre suspects : Christina Chick, Gaston, Madame Yolande et le baron de Breuil. Tous ont une bonne raison de détruire ces roses ; mais, au final, il n'y a qu'un coupable ! Dès 7 ans.
La collec' des filles : Mon coeur bric-à-brac - Michel Amelin - Editions LITO

Mon coeur bric-à-brac (Michel Amelin)

2,56 €
C'est l'été à Piriac-sur-Mer. Vanessa a décidé de reprendre l'ancien café de ses grands parents pour y ouvrir une brocante. Les affaires sont dures et elle ne sait plus où donner de la tête. Comment gérer à la fois une clientèle très exigeante et les avances de deux beaux garçons ?
Pauvre petite femme (Félix Léonnec) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1150

N° 1150 - Pauvre petite femme (Félix Léonnec)

2,92 €
Extrait : — Allons, mon bon Benoît, il faut nous séparer ; depuis hier soir, déjà, vous n'êtes plus à mon service mais à ceux du duc de Veristein ; ce tour que nous venons de faire ensemble était le dernier fait par moi sur ce domaine depuis si longtemps à mes ancêtres. J'aime mieux le voir vendu à un grand seigneur que de le voir péricliter faute d'argent pour le faire valoir. — Est-il possible, monsieur le comte, que des choses pareilles puissent arriver. J'ai été au service de Monsieur votre père et à ce moment on disait couramment que les comtes de Villerbois étaient quasiment aussi riches que des rois. — Que des rois pauvres, mon brave Benoît, certainement nous avions de quoi faire valoir tout le pays, mais les temps ont changé, la vie a des exigences qui n'existaient pas autrefois…
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