Accueil

Accueil

Il y a 3 produits.

Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Faye Morgan
  • Auteurs: Félix Léonnec
  • Auteurs: Marc Séassau

Les larmes de Djamila (Marc Séassau) - Pocket Junior N° 575

2,56 €
J'ai treize ans et chez moi, je déteste. Enfin, c'est mon beau-père que je déteste. Heureusement, au collège, il y a Djamila, ma meilleure amie. Toutes les deux, on rêve de partir dans son pays. Je devrais dire : on rêvait. Parce que, aujourd'hui, Djamila est à l'hôpital. Elle a été battue à cause de la couleur de sa peau. Et peut-être à cause de moi. À partir de 11 ans.

N° HS - Pour te trouver toi (Faye Morgan) - Un printemps fiévreux (Simone Hadary)

1,95 €
Pour te trouver toi (Faye Morgan) C'était la quatrième cause que Linda perdait contre le même adversaire... Avocat "nommé d'office" pour défendre une clientèle imposée, elle n'avait aucune chance contre l'éminent juriste Jefferson T. Langford ! Tout les sépare, et pourtant son adversaire lui fait une proposition bien tentante…  Résistera-t-elle longtemps au charme perfide du trop beau Jefferson ? Un printemps fiévreux (Simone Hadary) Un matin d'avril, parce qu'elle a une panne de voiture, Cathy rencontre Robbie. Elle est divorcée, mère de quatre enfants, professeur à l'université d'Orange dans l'Ohio. Il est étudiant dans cette même université. Elle a trente-six ans, il en a vingt-cinq… Le désir naît entre eux. Est-ce seulement la fièvre du printemps ? Ou le prélude à un véritable amour ?

N° 1150 - Pauvre petite femme (Félix Léonnec)

2,92 €
Extrait : — Allons, mon bon Benoît, il faut nous séparer ; depuis hier soir, déjà, vous n'êtes plus à mon service mais à ceux du duc de Veristein ; ce tour que nous venons de faire ensemble était le dernier fait par moi sur ce domaine depuis si longtemps à mes ancêtres. J'aime mieux le voir vendu à un grand seigneur que de le voir péricliter faute d'argent pour le faire valoir. — Est-il possible, monsieur le comte, que des choses pareilles puissent arriver. J'ai été au service de Monsieur votre père et à ce moment on disait couramment que les comtes de Villerbois étaient quasiment aussi riches que des rois. — Que des rois pauvres, mon brave Benoît, certainement nous avions de quoi faire valoir tout le pays, mais les temps ont changé, la vie a des exigences qui n'existaient pas autrefois…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire