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  • Auteurs: Fernand Sernada
  • Auteurs: Hayley Gardner
  • Auteurs: Maurice Carême
LA KERMESSE (Pierre Brueghel) racontée aux enfants par Maurice Carême - Editions Duculot
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LA KERMESSE (Pierre Brueghel) racontée aux enfants par Maurice Carême

4,75 €
Le tableau connu sous le nom de « La Kermesse » a été peint par Pierre Brueghel le Jeune, dont le père, aussi prénommé Pierre, était peintre également comme le sera plus tard son propre fils, désigné sous le nom de Pierre Brueghel le Troisième. Pierre Brueghel le Jeune naquit à Bruxelles en 1564. A l'âge de quatorze ans, il perdit ses parents. Pierre, son frère cadet Jean (qui deviendra peintre lui aussi) et sa soeur Marie seront élevés chez leur grand-mère à Anvers. Peintre elle-même, elle donna conseils, leçons et encouragements au jeune garçon jusqu'au jour où il fut admis à la Guilde comme « Fils de Maître » (1585). A cette époque un jeune homme désireux de faire une carrière d'artiste devait, avant de devenir membre d'une Guilde, se soumettre à une longue période de formation et d'apprentissage. Les Guildes étaient puissantes ; elles regroupaient ceux qui souhaitaient protéger la réputation des artistes et des artisans et maintenir l'exigence de qualité dans le travail au plus haut niveau possible. Pierre passait le plus clair de son temps à copier les oeuvres de son père d'après des gravures et des dessins qu'il avait laissés après sa mort. Mais « La Kermesse » est une de ses peintures originales. Il en fit plusieurs versions.
La lutte pour l'amour (Fernand Sernada) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1282
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N° 1282 - La lutte pour l'amour (Fernand Sernada)

3,05 €
Extrait : — C'est ici ! fit Micheline Lescar. Et d'un magistral coup de frein, elle immobilisé sa superbe et puissante Hispano au bord du trottoir, rue de Presbourg, en face du Bar Georges-Carpentier. Tandis que Sonia Bernoff s'extrayait de l'auto, Micheline Lescar mit sa voiture en ordre de panne, descendit elle-même, rejoignit Sonia et les deux femmes entrèrent ensemble dans le bar. Aimablement accueillies par l'élégant ex-boxeur, qui les installa à une table libre, Micheline et Sonia, devant un Martini sec, prirent, du regard, possession de la salle. Il était un peu plus de midi et déjà très garni, le bar luxueux s'emplissait de clients. La salle, en rotonde, était barrée près de la porte, par le comptoir du bar et, disposées sans ordre, semblait-il, de petites tables d'acajou avec des sièges en cuir gris, mettaient, dans l'établissement, une note d'élégante intimité. L'élément masculin n'avait pas tardé à remarquer Micheline et Sonia et des regards admiratifs allaient aux deux femmes qui, habituées à ces hommages anonymes et muets, paraissaient indifférentes, encore qu'elles en fussent flattées…

N° 1272 - Les étreintes coupables (Fernand Sernada)

3,05 €
Extrait : Sur la terrasse de la villa La Chiquenaude , qu'une tente bariolée abritait du soleil, tout en haut de la côte de Grâce, à Trouville, six personnes achevaient leur café, après déjeuner, au milieu du mois d'août. La Chiquenaude appartenait à Jacques Fertin, un gros entrepreneur de travaux publics, qui en avait hérité de son père il y avait une quinzaine d'années. Grand, d'une carrure puissante, sous des cheveux gris épais, Jacques Fertin, à cinquante-cinq ans, portait le masque jovial des gens qui ont réussi, mais pour qui la vie continue d'être une perpétuelle lutte, qu'ils mènent sans sentimentalité exagérée. Marié depuis six ans, il avait épousé une veuve, de dix-neuf ans plus jeune que lui, qu'il ne cessait d'adorer de cette dévotion tendre et pleine de prévenances que les hommes d'un certain âge réservent aux femmes à qui ils ont voué leur affection. Marise Fertin, la femme de Jacques, était, à trente-six ans, dans la plénitude de sa beauté. Grande, avec de longues jambes d'une ligne impeccable, elle avait cette silhouette élégante qui donne une marche féline et des gestes caressants…

N° 1141 - Un coeur égaré (Fernand Sernada)

3,74 €
Extrait : Comme Marc Larchamp quittait son cabinet de travail, s'apprêtant à sortir, sa femme Gilberte surgit du petit salon où elle se tenait et appela : — Marc ? Marc Larchamp eut un froncement de sourcils et, au lieu de gagner l'antichambre, il rejoignit sa femme dans le petit salon. — Alors, fil Gilberte, c'est bien décidé, tu ne veux pas m'accompagner, ce soir, au dîner des Maltière ? Marc Larchamp eut de nouveau un geste agacé et, la voix un peu sèche : — Non ! répondit-il, je n'y vois aucune utilité. Cela ne t'empêche pas d'ailleurs de t'y rendre… Ce ne sera pas la première fois que tu sortiras sans moi. — Evidemment, reprit Gilberte, tâchant de conserver son calme, mais cela devient un peu ridicule de me voir continuellement sans mon mari. — Ce qui est surtout ridicule, c'est d'être perpétuellement en dehors de chez soi, lança Marc sans aménité…

N° 1936 - Un mari pour Tessa (Hayler Gardner)

2,56 €
Tessa se demandait encore comment elle avait pu en arriver là ! Quelques heures plus tôt, elle s'apprêtait à épouser Clay Dale, un homme sérieux qui ferait un bon mari. Contrairement à Griff, le frère de Clay, qu'elle avait aimé jadis mais qui préférait vivre sa passion de pilote de chasse, incompatible avec une vie de famille. Pourtant, c'était avec Griff qu'elle se trouvait à présent dans ce restaurant, Griff qui l'avait pratiquement enlevée juste avant qu'elle ne prononce ses voeux, sous prétexte que ce mariage était une grave erreur... Et malgré sa colère, Tessa, en plongeant ses yeux dans le regard chaud et tendre de Griff, savait qu'il avait raison...
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