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  • Auteurs: Fernand Sernada
  • Auteurs: Jean Leroy
Gros-Pif apprend à lire (Jean Leroy) - Le Coffre à histoires - Milan Jeunesse
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Gros-Pif apprend à lire (Jean Leroy)

3,74 €
Gros-Pif est une brute, il casse les pieds à tout le monde. Mais un jour Gros-Pif découvre les livres, il apprend à lire. Gros-Pif va-t-il devenir gentil ? Pas si sûr… Dès 3 ans.
La lutte pour l'amour (Fernand Sernada) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1282
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N° 1282 - La lutte pour l'amour (Fernand Sernada)

3,05 €
Extrait : — C'est ici ! fit Micheline Lescar. Et d'un magistral coup de frein, elle immobilisé sa superbe et puissante Hispano au bord du trottoir, rue de Presbourg, en face du Bar Georges-Carpentier. Tandis que Sonia Bernoff s'extrayait de l'auto, Micheline Lescar mit sa voiture en ordre de panne, descendit elle-même, rejoignit Sonia et les deux femmes entrèrent ensemble dans le bar. Aimablement accueillies par l'élégant ex-boxeur, qui les installa à une table libre, Micheline et Sonia, devant un Martini sec, prirent, du regard, possession de la salle. Il était un peu plus de midi et déjà très garni, le bar luxueux s'emplissait de clients. La salle, en rotonde, était barrée près de la porte, par le comptoir du bar et, disposées sans ordre, semblait-il, de petites tables d'acajou avec des sièges en cuir gris, mettaient, dans l'établissement, une note d'élégante intimité. L'élément masculin n'avait pas tardé à remarquer Micheline et Sonia et des regards admiratifs allaient aux deux femmes qui, habituées à ces hommages anonymes et muets, paraissaient indifférentes, encore qu'elles en fussent flattées…

Les p'tits flaps : Belle à croquer (Jean Leroy)

7,74 €
Les p'tits flaps, des livres pleins de surprises pour les yeux et les menottes ! Gazelle a acheté un joli ruban, et se trouve très belle ; la voilà partie en quête de compliments auprès des autres animaux de la savane. Si la girafe, l'autruche et le perroquet n'y prêtent guère attention, le crocodile, lui, la trouve... belle à croquer ! D'une futile beauté, le ruban devient sacrément utile pour museler le croco !

Le panier (Jean Leroy)

2,95 €
C'était une vieille sorcière, laide et méchante, qui n'aimait rien ni personne, et ne sortait guère de chez elle que pour aller ramasser des champignons empoisonnés. Un jour, au détour d'un sentier, elle découvrit un panier. Dans ce panier, il y avait un bébé. Effrayé par le nez crochu de la sorcière, le bébé se mit à hurler. Effrayée par les cris du bébé, la sorcière s'enfuit jusque chez elle. Et si cette sorcière, qui n'aimait rien ni personne, décidait pourtant de retourner sur ses pas ?

N° 1272 - Les étreintes coupables (Fernand Sernada)

3,05 €
Extrait : Sur la terrasse de la villa La Chiquenaude , qu'une tente bariolée abritait du soleil, tout en haut de la côte de Grâce, à Trouville, six personnes achevaient leur café, après déjeuner, au milieu du mois d'août. La Chiquenaude appartenait à Jacques Fertin, un gros entrepreneur de travaux publics, qui en avait hérité de son père il y avait une quinzaine d'années. Grand, d'une carrure puissante, sous des cheveux gris épais, Jacques Fertin, à cinquante-cinq ans, portait le masque jovial des gens qui ont réussi, mais pour qui la vie continue d'être une perpétuelle lutte, qu'ils mènent sans sentimentalité exagérée. Marié depuis six ans, il avait épousé une veuve, de dix-neuf ans plus jeune que lui, qu'il ne cessait d'adorer de cette dévotion tendre et pleine de prévenances que les hommes d'un certain âge réservent aux femmes à qui ils ont voué leur affection. Marise Fertin, la femme de Jacques, était, à trente-six ans, dans la plénitude de sa beauté. Grande, avec de longues jambes d'une ligne impeccable, elle avait cette silhouette élégante qui donne une marche féline et des gestes caressants…

N° 1141 - Un coeur égaré (Fernand Sernada)

3,74 €
Extrait : Comme Marc Larchamp quittait son cabinet de travail, s'apprêtant à sortir, sa femme Gilberte surgit du petit salon où elle se tenait et appela : — Marc ? Marc Larchamp eut un froncement de sourcils et, au lieu de gagner l'antichambre, il rejoignit sa femme dans le petit salon. — Alors, fil Gilberte, c'est bien décidé, tu ne veux pas m'accompagner, ce soir, au dîner des Maltière ? Marc Larchamp eut de nouveau un geste agacé et, la voix un peu sèche : — Non ! répondit-il, je n'y vois aucune utilité. Cela ne t'empêche pas d'ailleurs de t'y rendre… Ce ne sera pas la première fois que tu sortiras sans moi. — Evidemment, reprit Gilberte, tâchant de conserver son calme, mais cela devient un peu ridicule de me voir continuellement sans mon mari. — Ce qui est surtout ridicule, c'est d'être perpétuellement en dehors de chez soi, lança Marc sans aménité…
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