Accueil

Accueil

Il y a 4 produits.

Affichage 1-4 de 4 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Françoise Dorys
  • Auteurs: Gilles de Saint-Avit
  • Auteurs: Jean Glachant

N° 68 - La danse du feu (Françoise Dorys)

12,00 €
Malmenée par une tante avare, Francisca l'orpheline n'a qu'un désir : échapper à son existence sans tendresse. Or voici une occasion inespérée : remplaçant une jeune fille malade, Francisca va danser, dans la nuit de velours, près des flammes d'un immense bûcher, « la danse du feu ». Tous ceux qui l'ont vue sont fascinés par sa beauté : mais deux jeunes gens, surtout, l'ont remarquée, Alban Saint-Marc, le petit-fils de Lady Marian et son ami Jerry. Après diverses péripéties, Alban, que les siens veulent absolument marier, propose à Francisca de l'épouser… Mais ce mariage sera purement fictif, et les deux époux reprendront, au jour voulu, leur liberté. …Qu'en sera-t-il de cette étrange union, réprouvée par Jerry ? Comment la jeune femme échappera-t-elle à la haine de Suzy, sa belle-soeur, et au poison de la bague ancienne ?… Francisca finira-t-elle par aimer Alban ? Ou son coeur va-t-il se mettre à battre pour Jerry, le si dévoué camarade ? Dans la grotte où les a entraînés leur passion pour la spéléologie, Francisca ira retrouver les deux jeunes hommes et, malgré l'obscurité du gouffre, verra clair enfin dans son coeur, et découvrira l'éblouissante vérité.

Le serment de Natacha (Saint-Avit)

3,92 €
Michka perçut le trouble de la jeune fille. La prenant dans ses bras, il se mit à couvrir son visage de baisers avec tant de douceur, de tendresse, de passion contenue que Natacha en fut bouleversée. Abandonnée contre lui, tremblante, il la sentit amoureuse et crut à sa victoire. Soudain, elle s'écarta. - Non, balbutia-t-elle. Non, je t'en prie. Je ne veux pas. - Mais tu m'aimes ! cria-t-il exaspéré. Je le vois bien… L'amour peut-il naître entre un moujik et une comtesse, dans la Russie des tzars ? Michka, Natacha : deux danseurs prestigieux de l'École impériale de ballet. Ils ont grandi ensemble, Natacha est la fille d'un boyard, Michka le neveu de son cocher... Rien que pour obtenir la permission d'être ballerine, Natacha a fait à son père un terrible serment. Quand tout s'écroule en Russie, la révolution renverse les barrières sociales, honnis l'obstacle qui sépare Natacha du danseur fascinant. Malgré la tourmente de violence et de haine qui ravage leur pays, Michka parviendra-t-il à sauver la vie de Natacha ? A quel prix ?

N° 79 - L'ombre sur le rêve (Françoise Dorys)

9,90 €
La désillusion de Romain est grande, en cette veille de Noël. Patricia vient d'abolir brutalement son rêve ; et le jeune homme, pour rompre l'oppression qui l'étouffe, va faire ce soir-là une chose qu'il ne fera plus jamais. Dans la chapelle, Romain a une vision… Ces yeux bleus, ces longues tresses blondes… Il cherchera ensuite, désespérément, sa Madone… Une lettre pressante de Charles, son ami l'avocat... Un séjour presque imposé en Bretagne, au château de Kermadec… Un lac au coeur de la forêt, d'où émerge tout à coup… Est-ce le rêve qui revient ? …Ce château de Kermadec, où les invités sont reçus par une jeune femme délicieuse, Anne, et par une vieille Dame aux yeux durs, au visage osseux, au teint enflammé, ce château semblait exempt de mystère… Pourtant la découverte, au cours de travaux de réfection, d'une pièce souterraine, va mettre au jour un douloureux secret… Charles en sera meurtri… Et peu après, la disparition de Romain, au pied du calvaire, en présence même de son ami, intriguera et affolera toute la maison… Mais n'est-ce pas au cours de cette nuit mouvementée que le sympathique avocat entreverra la route de son nouveau bonheur ?… Et le bonheur de Romain, quel nom va-t-il porter ?…

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire