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  • Auteurs: Françoise Hoville
  • Auteurs: Robert Teldy-Naïm

Candala parmi les hautes herbes (Robert Teldy-Naïm) - Les sentiers de l'aube N° 24

7,50 €
La caravane traversait la région du Nassirghar. Après avoir dépassé un hameau désert, où le sol craquelé portait témoignage pour la famine, la soif et la maladie, la longue file d'hommes et d'animaux entrait maintenant dans la savane. Parmi les hautes herbes, l'adolescente apparut, droite et menue. Sa tunique jaune et cobalt, en haillons, gardait cependant une fière allure. Ses cheveux de jais aux reflets bleutés s'enroulaient en une longue natte latérale, et une fleur de cyclamen, marque insolite d'élégance dans un dénuement total, était piquée sur le côté gauche de sa tête. De curieuses boucles d'oreilles, en forme de glands, ajoutaient leur matité ocre aux reflets cuivrés de sa peau, et réhaussaient l'éclat de ses yeux verts et de ses lèvres orangées. Elle était seule, misérable, abandonnée sur la piste, loin de toute habitation, à la merci des léopards, des serpents et des tigres. Elle avait quatorze ans. Elle appartenait à la caste maudite des « intouchables ». C'est ainsi que Pierre Sarlat vit pour la première fois Candala. Il devait la baptiser le jour même : « Candala parmi les hautes herbes ». Le jour où son chemin avait croisé celui de l'adolescente, il ne se doutait pas que cette rencontre allait être déterminante pour la destinée de chacun d'eux. Au cours des années, la silhouette de Candala se tiendrait près de lui, au milieu d'un tourbillon de difficultés sans nombre, pendant les différentes captures de bêtes sauvages, parmi les intrigues, l'intolérance, les cruautés, la perfidie des hommes, au long d'une épidémie de peste dans la jungle, en un enchevêtrement d'aventures aussi passionnantes qu'exceptionnelles.

N° 2838 - Le voyage à Valence d'après le roman de Françoise Hoville

2,90 €
Extrait : C'était un soir de mai. Lasse et déçue, je sortais d'un cinéma des Champs-Elysées. Je venais de voir un film que je pouvais qualifier de « navet », et je songeais qu'il eût été préférable de passer la soirée chez moi, en compagnie d'un bon livre. Mais j'avais voulu ainsi éviter la visite de Jean-Paul. Bien qu'il fût le meilleur des camarades, je m'efforçais de maintenir les distances… Vendu sans la nouvelle policière annoncée sur la première page
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