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  • Auteurs: Brigitte Companys
  • Auteurs: Francard

FATUM T2 : Premières armes (Froideval, Francard)

12,00 €
Le nouveau parrain règne depuis peu sur la mafia mondiale. Il contrôle déjà trois familles ; du coup, les autres ont décidé de l'abattre. Le nouveau « Don Cenettone » a plein de problèmes… Le plus grand d'entre eux, c'est qu'il n'a que 12 ans !

FATUM T3 : L'ultime assassin (Froideval, Francard)

8,00 €
Résumé des épisodes précédents : Le Parrain est mort et l'héritier a pris la relève : Don Cenetonne, 12 ans. Mais personne n'ayant l'intention de se laisser diriger par un moutard, les familles ont déclenché une guerre à laquelle le moutard a répondu avec une étonnante efficacité. Après une suite ininterrompue de carnages et d'enterrements, Don Cenetonne s'en va en week-end avec sa Nadine adorée, une superbe blonde spécialisée dans la sécurité rapprochée. Ils en profitent pour s'avouer leur amour, mais Nadine, qui sait tuer un homme de 432 façons, ne sait pas quoi faire avec un gamin de douze ans. Dieu merci, ils ont d'autres sujets de préoccupation, car les familles rêvent toujours de trucider Don Cenetonne. Et pendant qu'on lui prépare une entourloupe à Tokyo pour la prochaine réunion, on lui envoie à domicile deux " ultimes assassins " - un couple de jumeaux plutôt chochottes mais très méchants et très bien équipés. Agression à laquelle Don Cenetonne répond avec son brio habituel. La prochaine fois, ça va barder à Tokyo. Et nous attendons avec impatience la suite de cette série d'anticipation explosive, qui manie la cruauté sanglante — « il n'y a pas de manière gentille de tuer quelqu'un » — avec humour et bonne humeur.

N° 1713 - Vagabond de ses rêves (Brigitte Companys)

3,74 €
Extrait : Le premier soleil parut en haut de la colline. Il effleura d'un trait vermeil la pointe verte des cyprès, s'allongea sur la pente où les oliviers de déployaient en troupe somptueuse et désordonnée, gagna la route qui s'étirait, claire, entre les ceps. Il parut avancer à pas hésitants, comme un nouveau-né… Mais déjà, dans les combes fraîches, sur les sentes où un peu de nuit bleue s'attardait sous les taillis épais, sa lumière tendre s'insinuait, insensiblement, victorieusement. En déroute, les dernières ombres s'évanouirent, semblèrent rentrer dans la terre, disparaître. Le jour fut là… Alors, la rivière qui faisait, lente, entre les saules, se mit, sembla-t-il à accélérer son mouvement comme si elle avait, elle aussi, à imiter l'effervescence de la nature en éveil : tous les oiseaux qui s'égosillaient dans les branches, les feuilles qui frémissaient plus fort, les poules qui se précipitaient vers l'auge au grains dorés, le marteau du maréchal-ferrant qui arrachait de sourds gémissements à son enclume maltraitée, le charivari  des bidons de lait sur la voiturette de la laitière…
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