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  • Auteurs: E. de Riche
  • Auteurs: Francard

FATUM T2 : Premières armes (Froideval, Francard)

12,00 €
Le nouveau parrain règne depuis peu sur la mafia mondiale. Il contrôle déjà trois familles ; du coup, les autres ont décidé de l'abattre. Le nouveau « Don Cenettone » a plein de problèmes… Le plus grand d'entre eux, c'est qu'il n'a que 12 ans !

FATUM T3 : L'ultime assassin (Froideval, Francard)

8,00 €
Résumé des épisodes précédents : Le Parrain est mort et l'héritier a pris la relève : Don Cenetonne, 12 ans. Mais personne n'ayant l'intention de se laisser diriger par un moutard, les familles ont déclenché une guerre à laquelle le moutard a répondu avec une étonnante efficacité. Après une suite ininterrompue de carnages et d'enterrements, Don Cenetonne s'en va en week-end avec sa Nadine adorée, une superbe blonde spécialisée dans la sécurité rapprochée. Ils en profitent pour s'avouer leur amour, mais Nadine, qui sait tuer un homme de 432 façons, ne sait pas quoi faire avec un gamin de douze ans. Dieu merci, ils ont d'autres sujets de préoccupation, car les familles rêvent toujours de trucider Don Cenetonne. Et pendant qu'on lui prépare une entourloupe à Tokyo pour la prochaine réunion, on lui envoie à domicile deux " ultimes assassins " - un couple de jumeaux plutôt chochottes mais très méchants et très bien équipés. Agression à laquelle Don Cenetonne répond avec son brio habituel. La prochaine fois, ça va barder à Tokyo. Et nous attendons avec impatience la suite de cette série d'anticipation explosive, qui manie la cruauté sanglante — « il n'y a pas de manière gentille de tuer quelqu'un » — avec humour et bonne humeur.

N° 935 - Pour gagner son coeur (E. de Riche)

3,05 €
Extrait : Une auto, conduite intérieure, franchit la porte des usines Martigny-Milchamp, à Suresnes, s'arrêta dans la cour, à côté du perron accédant aux bureaux de la direction et de l'administration. Un homme jeune, très élégant, vêtu d'un costume de sport de la meilleure coupe qui faisait valoir la sveltesse de sa taille, sauta à terre. Avisant un ouvrier qui, à quelques pas, s'activait auprès d'un châssis à peine carrossé, il s'approcha et, familier, dit : — Dédé, pendant que je monte chez M. Martigny, veux-tu jeter un coup d'oeil sur mon frein à pied, il y a un peu de jeu… L'interpellé releva à peine la tête. D'un coup de langue, il fit passer de la droite à la gauche de sa bouche un reste de cigarette collé à sa lèvre, répondit, maussade : — Mille regrets m'sieur le baron, peux pas quitter mon travail, adressez-vous à l'atelier de réparations…
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