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  • Auteurs: Francard
  • Auteurs: Max Dervioux
  • Auteurs: Rachel Lee

FATUM T2 : Premières armes (Froideval, Francard)

12,00 €
Le nouveau parrain règne depuis peu sur la mafia mondiale. Il contrôle déjà trois familles ; du coup, les autres ont décidé de l'abattre. Le nouveau « Don Cenettone » a plein de problèmes… Le plus grand d'entre eux, c'est qu'il n'a que 12 ans !

FATUM T3 : L'ultime assassin (Froideval, Francard)

8,00 €
Résumé des épisodes précédents : Le Parrain est mort et l'héritier a pris la relève : Don Cenetonne, 12 ans. Mais personne n'ayant l'intention de se laisser diriger par un moutard, les familles ont déclenché une guerre à laquelle le moutard a répondu avec une étonnante efficacité. Après une suite ininterrompue de carnages et d'enterrements, Don Cenetonne s'en va en week-end avec sa Nadine adorée, une superbe blonde spécialisée dans la sécurité rapprochée. Ils en profitent pour s'avouer leur amour, mais Nadine, qui sait tuer un homme de 432 façons, ne sait pas quoi faire avec un gamin de douze ans. Dieu merci, ils ont d'autres sujets de préoccupation, car les familles rêvent toujours de trucider Don Cenetonne. Et pendant qu'on lui prépare une entourloupe à Tokyo pour la prochaine réunion, on lui envoie à domicile deux " ultimes assassins " - un couple de jumeaux plutôt chochottes mais très méchants et très bien équipés. Agression à laquelle Don Cenetonne répond avec son brio habituel. La prochaine fois, ça va barder à Tokyo. Et nous attendons avec impatience la suite de cette série d'anticipation explosive, qui manie la cruauté sanglante — « il n'y a pas de manière gentille de tuer quelqu'un » — avec humour et bonne humeur.

N° 1663 - Le maître des coeurs (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : Renaud Sorel regarda la maison de granit située à l'entrée de cette petite ville du Morbihan où il était venu chercher oubli et solitude. — On dit qu'elle est hantée, remarqua-t-il en souriant. La vieille dame chargée de la location hocha la tête gravement : — Cela dépend des gens qui l'habitent. Ceux qui ont peur, dame… C'est pour ça que le prix en est si bas, m'sieu le Parisien. —Oh ! je ne redoute pas les fantômes, cela m'amuserait même de me rencontrer avec l'un d'eux, fit-il avec quelque ironie. — Monsieur est peut-être venu ici pour faire des expériences ? — Qui sait… Il s'adonnait, en amateur, aux sciences diverses, lorsque l'art, dans lequel il s'était illustré, lui laissait des loisirs. Paysagiste déjà célèbre par ses toiles hardies, Sorel avait révolutionné les lois de la peinture, en la ramenant vers plus de logique tout en laissant aux jeux de la lumière une prépondérance pleine d'intensité…

N° 1630 - L'aveu d'une honte (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : — On peut vous embaucher pour aider à la décoration de la salle, il y aura un grand gala, demain soir au casino et il nous faut des girandoles d'ampoules électriques… Puisque vous vous y connaissez… Pierre Guerlin murmura : — J'accepte… Il avait faim… Après avoir tenté vainement de trouver divers emplois, à Paris, il avait pris le train pour Deauville en plein mois d'août, espérant bien dénicher du travail enfin. Les excellentes études qu'il avait faites ne lui avaient servi à rien mais il possédait à son actif quelque adresse manuelle. C'était son plus sûr bagage. Tous les siens étaient morts, il n'avait pas de bien, que ses deux mains et son cerveau, inutilement meublé des connaissances courantes réclamées dans les examens. C'était un grand garçon au maigre visage, aux yeux d'acier bleu, racé en dépit de ses brusques façons, dues à l'amertume que lui inspiraient ses nombreuses déconvenues dans ses recherches pour une situation. A Deauville il allait pouvoir vivre pendant quelques semaines, puis il repartirait chercher de l'ouvrage ailleurs…

N° 1147 - L'amour aux enchères (Marx Dervioux)

3,05 €
Extrait : Lia Bermin relut plusieurs fois d'un air atterré, la lettre qu'elle tenait entre ses mains... Francis, son petit Francis, c'était impossible... Il n'avait pas fait ça. Elle sentait le sol se dérober sous elle, dans la modeste chambre de cette pension de famille située sur les hauteurs de Dinard. Cette catastrophe était pire que tout, et pourtant, le destin ne l'avait guère ménagée jusqu'alors… Orpheline de père et de mère à dix-huit ans et complètement ruinée, mal préparée pour la lutte, elle avait dû prendre le premier emploi venu, celui de manucure dans un institut de beauté parisien, qui l'avait envoyée sur cette plage pour la saison d'été dans une succursale proche des grands hôtels. Son frère Francis, un peu plus jeune qu'elle, en sortant de l'Ecole du Commerce, avait trouvé un poste de comptable dans une fabrique de Limoges. Brun, autant qu'elle était blonde, séduisant, fougueux, révolté souvent contre le sort rude il avait connu, dans la ville qu'il habitait, une jeune femme mariée dont il avait fait sa maîtresse, et, pour satisfaire les caprices de celle-ci, ne s'était-il pas peu à peu endetté, puis affolé il avait volé une somme de cent mille francs dans la caisse qui lui était confiée : Voilà ce qu'il avouait à sa soeur…

N° 1566 - Tu seras comtesse (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : Mireille regarda avec admiration autour d'elle. Le vieux château, situé en plein Rouergue, d'une si fière allure, entouré de bois, faisait une fameuse opposition avec l'humble logis qu'elle avait habité jusqu'alors, en compagnie de son père, ancien domestique retraité des comtes de Girac. Elle avait passé son enfance en Dordogne, chez sa grand-mère, qui l'avait élevée quand elle était orpheline et pendant que Gustave Méchain était encore en service au manoir de ses maîtres. Mireille avait vécu comme une paysanne, puis elle était entré dans une modeste pension, où elle avait acquis une solide instruction. L'aïeul était morte au moment où la jeune fille atteignait ses dix-huit ans, et son père, qui avait vu ses forces décliner après plusieurs bronchites successives, était revenu vivre auprès d'elle, au pays. A soixante ans, après avoir servi fidèlement le vieux comte de Girac, il avait reçu de lui une pension de trente mille francs. Celle-ci eût été insuffisante s'il n'y avait ajouté le revenu de son petit bien…

N° 324 - Neige de sang (Rachel Lee)

2,55 €
Jennyfer Fox a perdu son mari et ses deux enfants dans un accident d’avion. Brisée, elle n’a plus la force ni le désir de vivre, mais elle refuse d’ajouter la douleur de son suicide au chagrin de ses parents. Et elle contacte un tueur à gages pour mettre fin à ses jours… C’est alors que Jennyfer découvre que l’accident d’avion était en réalité un attentat dont elle-même était la cible. Sa soif de justice et de vengeance l’emporte alors sur l’envie de mourir : il lui faut vivre, dans l’unique but de retrouver l’homme qui a tué sa famille. Mais la machine infernale est enclenchée. Et rien ne peut plus, maintenant, arrêter le tueur qu’elle a elle-même lancé à ses trousses… Poursuivie par l’invisible assassin, soupçonnée par la police d’avoir commandité la mort des siens, cible d’une terrifiante machination, Jennyfer doit désormais compter sur un unique allié : Rook Ryder, le mercenaire qui lui a fourni le contact du tueur à gages. Tous deux trouvent refuge dans les neiges éternelles des Montagnes Rocheuses. Mais Jenny peut-elle vraiment avoir confiance dans le seul homme qui connaisse peut-être le visage de son assassin ?

Neige de Septembre (Rachel Lee)

4,95 €
« Maman, je sais que tout le monde est malheureux à cause de moi, et j'ai décidé de m'en aller. » En découvrant le mot laissé par sa fille, Meg sent une terrible angoisse l'envahir. Allie est tout ce qui lui reste depuis la mort accidentelle de son mari quelques mois plus tôt. Et elle ne comprend que trop bien ce qui a pu pousser l'adolescente à commettre un tel geste. N'a-t-elle pas elle-même rêvé de s'enfuir loin de cette maison à l'atmosphère empoisonnée par les sous-entendus et les non-dits ? Ceux de sa propre mère, qui vit sous le même toit et lui fait porter implicitement le poids d'une faute qu'elle n'a pas commise mais dont la culpabilité la poursuit. A présent, Meg ne sait où chercher sa fille, pas plus qu'elle ne peut avouer son secret à son ami Earl qui fut aussi le meilleur ami de son mari. Mais tandis que les jours passent et qu'on est toujours sans nouvelles de l'adolescente, Meg comprend que le moment est venu d'exorciser le passé et de laisser la vérité éclater à la surface. Car c'est peut-être la seule chance de sauver Allie... Renouvelant le thème fécond du secret de famille, Rachel Lee nous offre un récit intense d'une rare véracité psychologique. Un récit qui ressemble fort à un huis clos : tout se joue, en effet, dans le coeur et l'esprit des trois principaux personnages, trois générations de femmes vivant sous le même toit et dont la vie se trouve empoisonnée par un lourd secret.
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