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  • Auteurs: Comtesse de Ségur
  • Auteurs: France Noël

Les deux nigauds (Comtesse de Ségur)

2,95 €
Paris ? Tout le monde y va. Il n'y a que Simplicie et Innocent pour n'y être jamais allés. Vraiment, c'est trop bête : nos deux amis sont bien décidés à quitter leur douce mais plate campagne pour aller voir de plus près les piquantes merveilles de la grande ville…

N° 196 - Pauvre Blaise (Comtesse de Ségur)

3,42 €
La droiture, la bonté du petit Blaise font la joie de ses parents, M. et Mme Anfry. Le bonheur de cette aimable famille est malheureusement troublé par l'arrivée au château dont ils sont les gardiens, de nouveaux maîtres hautains et durs. Jules, le jeune garçon, tyrannise à souhait le pauvre Blaise, dont il exige la compagnie et qu'il ne manque pas une occasion de calomnier auprès de son père… Mais la patience, l'admirable générosité du petit garçon finiront par triompher de tant de malice, car les coeurs les plus secs sont finalement vaincus par l'innocence et la bonté. Pour Filles et Garçons de 8 à 12 ans.

L'Auberge de l'Ange-Gardien (Comtesse de Ségur)

3,50 €
Deux enfants dorment au bord d'une grande route, sous un vieux chêne touffu… Il fait froid. Ils n'ont rien à manger. Leur mère est morte, leur père a été emmené par les gendarmes; Si le début de cette histoire paraît triste, il n'en va pas de même de la suite, car le hasard veut qu'un brave sergent démobilisé passe sur la route. Délaissant l'auberge Bournier, dirigée par un couple cupide, c'est vers l'Auberge de l'Ange-Gardien qu'il dirigera ses protégés et ni eux ni ses lecteurs n'auront à s'en plaindre. Mille péripéties les y attendent dont la fantaisie, la gaieté et le charme ont fait de ce roman de la comtesse de Ségur l'un de ses plus remarquables succès.

Les deux nigauds (Comtesse de Ségur)

3,50 €
Simplicie et son frère Innocent sont deux enfants de la campagne bretonne qui ne rêvent que d'une chose : vivre à Paris. Après avoir suppliés leurs parents, ils partent pour la capitale accompagnés de leur bonne Prudence. Les désillusions arrivent vite car ces deux enfants gâtés, suffisants et orgueilleux, ne comprennent pas l'accueil que leur réservent les parisiens. Nos deux nigauds finissent par comprendre que la campagne et leurs parents valent largement bien leurs désirs vaniteux. (Source : Editions Casterman)

N° 807 - Un bon petit diable (Comtesse de Ségur)

2,97 €
Orphelin, Charles vit en Écosse chez Madame Mac'Miche, une vieille cousine avare et féroce. Pour se venger de la méchanceté de cette dernière, le jeune garçon imagine mille farces et astuces pour lui jouer de mauvais tours. Mais voilà que la cousine décide de se débarrasser de lui, en l'envoyant dans la sinistre pension de M. Old Nick ! Soutenu par Betty, la domestique, et par la douce et tendre Juliette, notre bon petit diable devra faire preuve de beaucoup de finesse afin d'échapper à ce terrible sort…

Histoire de Blondine suivi de Ourson (La Comtesse de Ségur) - Le Livre de Poche N° 77

2,56 €
Une méchante belle-mère, un page trop gourmand, et voilà la princesse Blondine perdue dans la forêt des Lilas. Elle y découvre un superbe château, où vivent une biche et un chat. Veulent-ils son bonheur ou faut-il s'en méfier, comme le dit le perroquet ? La fée Rageuse persécute le pauvre Ourson et son amie Violette. Pour venir à bout de tant d'épreuves, il leur faudra beaucoup de courage et d'amour. À partir de 8 ans.

N° 1493 - Pourquoi refuser le bonheur ? (France Noël)

3,56 €
Extrait : Les conversations qui s'étaient tues pendant que Gilles Lorrain, debout sur l'étroit guéridon du bar, exécutait au son du pick-up un swing sauvage et désordonné qui tenait beaucoup plus de la crise d'épilepsie que de la danse, reprirent de plus belle avec des cris, des huées et des applaudissements lorsque le jeune homme sauta à terre et, tout essoufflé, se jeta dans un fauteuil. …

N° 1649 - Un soir... sur le port (France Noël)

3,74 €
Extrait : La brume était si dense que les lumières des bateaux semblaient danser à travers des épaisseurs de coton. Un petit crachin glacé pénétrait partout plus sûrement qu'une grosse pluie sans ruse. François releva le col de son imperméable, puis il s'arrêta pour bourrer et allumer sa pipe. Un instant il dut lutter contre le vent qui faisait vaciller la flamme de l'allumette, il jura entre ses dents puis se remit en route, les deux mains dans les poches, d'une allure nonchalante de promeneur. La nuit était complètement tombée, une de ces nuits hostiles et brumeuses, au cours desquelles la solitude semble plus amère. François s'arrêta contre la porte éclairée d'un café pour regarder sa montre. Il n'était pas encore neuf heures. Il avait toute la soirée devant lui. Il se demanda ce qu'il pourrait faire pour tuer le temps. Les affiches lumineuses d'un cinéma l'attirèrent. Il s'approcha mais constata qu'on y projetait le même film qu'il avait vu annoncé l'avant-veille dans une salle de son quartier à Paris…

N° 1718 - Une vie sans histoire (France Noël)

4,50 €
Extrait : Les cloches de l'église annoncèrent la sortie de la grand-messe ; les enfants du catéchisme s'agitèrent sur leurs bancs et tournèrent la tête vers la porte du fond qu'on venait d'ouvrir et par où l'on voyait un coin de ciel gris. Le claquoir de « M. l'Abbé » les rappela à l'ordre et les têtes se retournèrent vers le maître autel. Un coup de claquoir fit lever les enfants comme si l'on faisait jouer un ressort. Un rapide signe de croix qui semblait plus destiné à chasser les mouches qu'à affirmer leur foi chrétienne et les petits pieds chaussés de gros souliers d'hiver martelèrent les dalles de l'église. Sur la place, les gens s'assemblaient et les conversations de tous les dimanches reprenaient. On s'interrogeait sur l'emploi du temps de l'après-midi ; on se demandait des nouvelles ; on commentait le sermon virulent de M. le Curé qui avait stigmatisé les « tièdes » qui viennent à l'église plus pour faire admirer leur toilette dominicale que pour honorer et prier le Seigneur. On se répétait des phrases du sermon. Personne n'avait pris paroles du prêtre pour soi, comme il arrive toujours en pareil cas…

N° 1628 - Le plaisir et le bonheur (France Noël)

3,74 €
Extrait : L'auto roulait à vive allure sur le petit chemin bordé d'oliviers. Sur la droite, on apercevait la ligne étincelante de la mer. Les cigales chantaient et leur cri strident, monotone, semblait la chanson même de cette terre provençale si belle et si riche dans sa pureté géométrique. Les mains sur le volant, le jeune conducteur jeta sur la droite un regard d'ivresse ; la vue de la mer à l'horizon, bleue comme sur les cartes postales à bon marché, dont on a toujours tendance à croire qu'elles exagèrent les couleurs, lui versait une allégresse qui lui donnait envie de chanter et de crier de joie physique, comme un enfant. Il reporta son regard sur le petit chemin de terre rouge, si étroit qu'il devait rouler doucement pour ne pas accrocher au passage les troncs argentés des oliviers, et se mit à siffler une chanson d'étudiant. Il se sentait joyeux, plein d'entrain pour commencer la vie, la vraie vie qui l'attendait maintenant que ses études étaient terminées. Il s'étonna de voir soudain sur le chemin, ordinairement désert, une silhouette de femme…

N° 1530 - Le démon du printemps (France Noël)

3,74 €
Extrait : Assise sur le bord du sentier, les pieds ballants au-dessus du vide, la jeune femme contemplait la magnificence du couchant. Il y avait dans ce spectacle quelque chose qui lui serrait la gorge et lui donnait une vague et en somme assez agréable mélancolie. Les beaux spectacles que la nature prodigue à ceux qui savent les voir l'avaient, de tout temps, totalement exaltée. — Quelle enfant je fais ! murmura-t-elle pour elle-même. J'ailes larmes aux yeux pour un coucher de soleil réussi, pour un clair de lune romantique ou même simplement pour l'odeur puissante des seringas dans la nuit, exactement comme lorsque j'avais quinze ans. Il serait tout de même temps que cela se passât ! Malgré l'ironie qu'elle s'efforçait d'exercer contre elle-même, elle savait très bien, qu'au fond, elle ne souhaitait pas « que cela passât ». Il lui arrivait parfois d'envier les êtres qui traversent la vie sans rien ressentir que de superficiel car, disait-elle, « ceux-là souffrent moins… »…

N° 1514 - Son prince charmant (France Noël)

3,05 €
Extrait : La jeune fille déposa sur le sol sa charge de bois et frotta l'une contre l'autre ses mains violacées par le froid. Une mèche de cheveux bouclés s'échappait du capuchon de bure qui lui couvrait la tête et pendait entre ses sourcils ; elle la releva d'un geste machinal et essuya, du dos de sa main, son visage mouillé de pluie. Derrière elle, dans le chemin défoncé, ses sabots avaient laissé des empreintes profondes, emplies d'une eau grise et boueuse. La pluie ne cessait pas et le vent qui soufflait en rafales faisait gémir les sapins d'une longue plainte lugubre et presque humaine. La jeune fille frissonné. La distance qui lui restait encore à parcourir lui paraissait accablante. Elle avait froid, le bois était lourd, le soir tombait et le silence environnant, seulement troublé par le bruit de l'eau et du vent, avait quelque chose d'angoissant auquel elle ne pourrait jamais s'habituer. La pèlerine de drap grossier qui la couvrait presque jusqu'aux chevilles était imbibée d'eau, et elle se sentait glacée jusqu'aux os…
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