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  • Auteurs: France Noël
  • Auteurs: Marianne Andrau
  • Auteurs: Mattel

Barbie au Groenland (Mattel)

5,74 €
Visite avec Barbie, le monde fascinant et glacial du Groenland. Tu y découvriras la vie étonnante des phoques, le délice d'une balade en traîneau et les aventures du pauvre petit ours polaire… Voici les principaux héros de ce livre : Barbie La plus formidable des amies Skipper La jeune soeur de Barbie Ken Le meilleur amie de Barbie Peter Sauveteur au Groenland Petit ours Va-t-il retrouver sa maman ?

L'amour d'une autre (Marianne Andrau)

4,94 €
Lorraine Lomond a accepté, pour ses vacances, d'accompagner en Grèce Mrs Willcox, de s'occuper, pendant le voyage, de Patty, la nièce de Mrs Willcox. Sur le San Giorgio qui les transporte au Pirée, Lorraine fait connaissance d'un reporter, Georges Bléziot. Mais Lorraine est surtout attirée par un passager très séduisant, qu'elle a surpris en larmes en regardant le canal de Corinthe. C'est un avocat parisien, Denis Meyrins, dont la provocante Jane Willcox et même la jeune Patty apprécient également le charme. Hélas ! on se sépare à Athènes. Mais pendant la randonnée dans la Grèce antique, les voyageuses auront plusieurs fois l'occasion de rencontrer Denis Meyrins. Il voyage seul, en voiture. On l'aperçoit un peu partout en compagnie de femmes. Quel homme est-ce donc ? Un Don Juan ? Ou bien y a-t-il dans sa vie un secret qui expliquerait son attitude ? (Source : Librairie Jules Tallandier)

Un amoureux et sept complices (Marianne Andrau)

3,60 €
Ça a commencé comme un jeu et ce jeu a failli devenir un drame… Brune et fragile Anita, jeune employée d'une maison de publicité parisienne, vous ne vous doutiez pas, dans votre retraite nécessaire du lac Léman, que les lettres, amicales d'abord, affectueuses ensuite, tendres enfin, que vous receviez chaque jour étaient écrites par un collègue de travail, artisan du complot tramé, pour vous distraire dans votre solitude, par vos camarades de bureau. Non, vous ne vous doutiez pas de cette machination et vous avez cru, tout de suite, à la sincérité de votre correspondant. Votre foi en cet amour merveilleux ne va-t-elle pas s'écrouler quand, en intervenant à leur tour, les complices entreront en scène ? L'amitié d'Anita et de Marceline, devenues rivales, résistera-t-elle à la vérité ? Sauveront-elles leur bonheur, menacé par une supercherie innocente, mais dangereuse ? (Source : Librairie Jules Tallandier)

N° 3106 - Cet homme est à moi d'après le roman de Marianne Andrau

2,90 €
Extrait : Accoudée au volant de son taxi, Marine Jabert considéra l'enfilade matinale de l'avenue Victor Hugo. Les passants étaient rares. Quelle idée elle avait eue de sortir le taxi par ce dimanche de soleil, alors que Jacques lui avait proposé de l'emmener dans sa voiture en forêt de Chevreuse ! Mais après tout, Jacques l'avait encouragée à exercer ce métier. …

Un amour téméraire (Marianne Andrau)

2,48 €
« Plutôt que de poursuivre des études qui, manifestement, vous ennuient, vous feriez mieux de vous marier ! » Tel est le conseil que donne à Gwendolyne de Montfort le jeune examinateur Vincent Bourdet, exaspéré par la faiblesse des connaissances et l'impertinence de la candidate au baccalauréat. « Je n'ai pas attendu votre conseil, réplique Gwen. Permettez-moi de vous présenter ici mon fiancé, Bernard ». Peu de temps après, au cours d'une rencontre de vacances, Vincent devine le drame familial qui a faussé l'éducation de Gwen. Entre la jeune fille et Vincent, l'amour est sur le point de naître, mais la fantasque Gwen plaît aussi à Jean-Paul, compagnon du professeur. Cette rivalité amoureuse ne risque-t-elle pas de briser l'amitié des deux hommes ? Et quel jeu poursuit Hilda von Boehler qui semble nourrir une tenace rancune contre Gwen ? Cette dernière, sur le point de rompre ses fiançailles avec Bernard, décide soudain de rester fidèle à son engagement. Vincent n'aura-t-il connu qu'un amour… téméraire ?

Le solitaire de la lagune (Marianne Andrau)

3,62 €
A Paris, où elle vit avec son frère Joël, Annick Saint-Loubert décide d'aller passer ses vacances à Venise, dans la famille de son amie Carlita Vanoni. Carlita a un frère, Guido, jeune architecte à l'allure de prince blond qui s'empresse de faire à Annick des avances qu'elle estime prématurées. Carlita, d'ailleurs, attire l'attention d'Annick sur un de leurs voisins : le comte Aldo Bernedetti dont le palais somptueux se dresse au bord du Grand Canal. Très séduisant malgré ses quarante ans, Bernedetti est marié à l'une des plus belles femmes de Venise, la comtesse Laura. Trop sage pour s'intéresser à un homme qui n'est pas libre, Annick cédera-t-elle finalement aux déclarations ardentes de Guido ? On bien lui gardera-t-elle rancune du baiser qu'il lui a volé dans la nuit vénitienne ? Invitée au palais Bernedetti, Annick découvre l'activité mystérieuse qui retient le comte malgré lui dans "l'atelier aux cent portraits ". Elle découvre aussi que c'est son épouse qui le séquestre… Quel est donc le tragique secret de la comtesse Laura ?

N° 1493 - Pourquoi refuser le bonheur ? (France Noël)

3,56 €
Extrait : Les conversations qui s'étaient tues pendant que Gilles Lorrain, debout sur l'étroit guéridon du bar, exécutait au son du pick-up un swing sauvage et désordonné qui tenait beaucoup plus de la crise d'épilepsie que de la danse, reprirent de plus belle avec des cris, des huées et des applaudissements lorsque le jeune homme sauta à terre et, tout essoufflé, se jeta dans un fauteuil. …

N° 1649 - Un soir... sur le port (France Noël)

3,74 €
Extrait : La brume était si dense que les lumières des bateaux semblaient danser à travers des épaisseurs de coton. Un petit crachin glacé pénétrait partout plus sûrement qu'une grosse pluie sans ruse. François releva le col de son imperméable, puis il s'arrêta pour bourrer et allumer sa pipe. Un instant il dut lutter contre le vent qui faisait vaciller la flamme de l'allumette, il jura entre ses dents puis se remit en route, les deux mains dans les poches, d'une allure nonchalante de promeneur. La nuit était complètement tombée, une de ces nuits hostiles et brumeuses, au cours desquelles la solitude semble plus amère. François s'arrêta contre la porte éclairée d'un café pour regarder sa montre. Il n'était pas encore neuf heures. Il avait toute la soirée devant lui. Il se demanda ce qu'il pourrait faire pour tuer le temps. Les affiches lumineuses d'un cinéma l'attirèrent. Il s'approcha mais constata qu'on y projetait le même film qu'il avait vu annoncé l'avant-veille dans une salle de son quartier à Paris…

N° 1718 - Une vie sans histoire (France Noël)

4,50 €
Extrait : Les cloches de l'église annoncèrent la sortie de la grand-messe ; les enfants du catéchisme s'agitèrent sur leurs bancs et tournèrent la tête vers la porte du fond qu'on venait d'ouvrir et par où l'on voyait un coin de ciel gris. Le claquoir de « M. l'Abbé » les rappela à l'ordre et les têtes se retournèrent vers le maître autel. Un coup de claquoir fit lever les enfants comme si l'on faisait jouer un ressort. Un rapide signe de croix qui semblait plus destiné à chasser les mouches qu'à affirmer leur foi chrétienne et les petits pieds chaussés de gros souliers d'hiver martelèrent les dalles de l'église. Sur la place, les gens s'assemblaient et les conversations de tous les dimanches reprenaient. On s'interrogeait sur l'emploi du temps de l'après-midi ; on se demandait des nouvelles ; on commentait le sermon virulent de M. le Curé qui avait stigmatisé les « tièdes » qui viennent à l'église plus pour faire admirer leur toilette dominicale que pour honorer et prier le Seigneur. On se répétait des phrases du sermon. Personne n'avait pris paroles du prêtre pour soi, comme il arrive toujours en pareil cas…

N° 1628 - Le plaisir et le bonheur (France Noël)

3,74 €
Extrait : L'auto roulait à vive allure sur le petit chemin bordé d'oliviers. Sur la droite, on apercevait la ligne étincelante de la mer. Les cigales chantaient et leur cri strident, monotone, semblait la chanson même de cette terre provençale si belle et si riche dans sa pureté géométrique. Les mains sur le volant, le jeune conducteur jeta sur la droite un regard d'ivresse ; la vue de la mer à l'horizon, bleue comme sur les cartes postales à bon marché, dont on a toujours tendance à croire qu'elles exagèrent les couleurs, lui versait une allégresse qui lui donnait envie de chanter et de crier de joie physique, comme un enfant. Il reporta son regard sur le petit chemin de terre rouge, si étroit qu'il devait rouler doucement pour ne pas accrocher au passage les troncs argentés des oliviers, et se mit à siffler une chanson d'étudiant. Il se sentait joyeux, plein d'entrain pour commencer la vie, la vraie vie qui l'attendait maintenant que ses études étaient terminées. Il s'étonna de voir soudain sur le chemin, ordinairement désert, une silhouette de femme…

N° 1530 - Le démon du printemps (France Noël)

3,74 €
Extrait : Assise sur le bord du sentier, les pieds ballants au-dessus du vide, la jeune femme contemplait la magnificence du couchant. Il y avait dans ce spectacle quelque chose qui lui serrait la gorge et lui donnait une vague et en somme assez agréable mélancolie. Les beaux spectacles que la nature prodigue à ceux qui savent les voir l'avaient, de tout temps, totalement exaltée. — Quelle enfant je fais ! murmura-t-elle pour elle-même. J'ailes larmes aux yeux pour un coucher de soleil réussi, pour un clair de lune romantique ou même simplement pour l'odeur puissante des seringas dans la nuit, exactement comme lorsque j'avais quinze ans. Il serait tout de même temps que cela se passât ! Malgré l'ironie qu'elle s'efforçait d'exercer contre elle-même, elle savait très bien, qu'au fond, elle ne souhaitait pas « que cela passât ». Il lui arrivait parfois d'envier les êtres qui traversent la vie sans rien ressentir que de superficiel car, disait-elle, « ceux-là souffrent moins… »…

N° 1514 - Son prince charmant (France Noël)

3,05 €
Extrait : La jeune fille déposa sur le sol sa charge de bois et frotta l'une contre l'autre ses mains violacées par le froid. Une mèche de cheveux bouclés s'échappait du capuchon de bure qui lui couvrait la tête et pendait entre ses sourcils ; elle la releva d'un geste machinal et essuya, du dos de sa main, son visage mouillé de pluie. Derrière elle, dans le chemin défoncé, ses sabots avaient laissé des empreintes profondes, emplies d'une eau grise et boueuse. La pluie ne cessait pas et le vent qui soufflait en rafales faisait gémir les sapins d'une longue plainte lugubre et presque humaine. La jeune fille frissonné. La distance qui lui restait encore à parcourir lui paraissait accablante. Elle avait froid, le bois était lourd, le soir tombait et le silence environnant, seulement troublé par le bruit de l'eau et du vent, avait quelque chose d'angoissant auquel elle ne pourrait jamais s'habituer. La pèlerine de drap grossier qui la couvrait presque jusqu'aux chevilles était imbibée d'eau, et elle se sentait glacée jusqu'aux os…
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