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  • Auteurs: France Noël
  • Auteurs: Michel Zévaco

Fiorinda-la-Belle (Michel Zévaco) - Le Livre de Poche N° 3734

4,05 €
L'ambition secrète de Catherine de Médicis étant de conquérir le pouvoir pour elle-même et la couronne de France pour Henri, le cadet de ses fils et le seul qui compte à ses yeux, elle veut supprimer les obstacles qui lui barrent la route, à commencer par le principal : l'actuel souverain régnant François II, son fils aîné. Par son habitude de courir Paris déguisé en « comte de Louvre », François semble s'offrir aux coups, mais il est sous la protection d'un compagnon fidèle et escrimeur hors de pair, le chevalier de Beaurevers. Le baron de Rospignac, homme de main de Catherine en sait quelque chose. Les deux guets-apens qu'il a tendus ont échoué grâce à Beaurevers, son nouvel ami Ferrière et la fiancée de ce dernier, Fiorinda. La reine mère décide de recourir à la politique. Les Guise ne rêvent-ils pas de détrôner François ? Les encourager en sous-main offre de riantes perspectives. Pour empêcher que Beaurevers ne se jette au travers de ses intrigues compliquées, Catherine s'assure de deux otages de choix, Ferrière et Fiorinda. Sauver ses amis et sauver le roi, telle est la double tâche que Beaurevers assume allègrement, mais non sans blessures et horions héroïques, dans Fiorinda-la-Belle où se conclut l'aventure commencée dans Nostradamus et poursuivie dans Le Pré-au-Clercs .

Le Pré-aux-Clercs (Michel Zévaco) - Le Livre de Poche N° 3641

4,05 €
Le jeune roi François II court-il quelque danger à sortir de son palais comme le prétend sa mère, Catherine de Médicis ? Le Paris du XVIe siècle regorge de coupe-bourses et tire-laine audacieux, mais François possède le meilleur des gardes du corps en la personne du chevalier de Beaurevers. Ainsi, sous un déguisement et le nom de « comte de Louvre », s'en va-t-il d'un coeur léger à l'auberge du Pré-aux-Clercs. Beaurevers est moins tranquille. C'est l'endroit rêvé pour un guet-apens et la reine mère cherche une occasion d'éliminer discrètement François au profit d'un autre de ses fils. Voilà pourquoi le baron de Rospignac, suppôt de la reine, surveille la salle avec ses affidés, mais c'est aussi le jour que choisissent le vicomte de Ferrière pour y souper et la jolie Fiorinda pour y dire la bonne aventure. A ce hasard tient le double échec de Rospignac : Ferrière conquiert le coeur de Fiorinda que convoite le baron et aide « Louvre » à repousser ses assassins, donnant à Beaurevers le temps d'accourir et de les mettre en fuite. Ce n'est que partie remise pour Catherine de Médicis, mais Beaurevers est un adversaire à sa taille, comme l'ont prouvé les aventures racontées dans Nostradamus .

Le pont des soupirs (Michel Zévaco) - Le Livre de Poche N° 3321

6,42 €
Les Vénitiens en liesse acclament Roland Candiano, le fils du doge, qui s'apprête à fêter ses fiançailles avec Léonore, descendante de l'illustre famille Dandolo — Et pourtant le doge et la dogaresse tremblent dans leur palais : en ce début du XVIe siècle, il est mortel à Venise de porter ombrage au Conseil des Dix et une telle popularité ne peut que désigner Roland au bourreau. Ils ont raison de craindre. En pleine réception, le grand inquisiteur d'Etat Foscari vient l'arrêter comme traître et conspirateur. Son père destitué, aveuglé, devenu fou, est jeté sur les chemins ; lui est enfermé dans un de ces puits dont nul prisonnier ne sort vivant. Après un temps où sa raison a chancelé, il se met à creuser une galerie, aboutit dans la cellule de Scalabrino, un bandit condamné à mort, et s'évade avec lui. C'est pour découvrir qu'il est resté emprisonné six ans et que bien des changements sont intervenue à Venise : Foscari est doge, Léonore a épousé Altieri, son meilleur ami, et Bembo qu'il a naguère tiré de la misère est cardinal. Alors Roland devine de quel complot il a été victime et, avec la patience de qui n'a rien à perdre, il entreprend son oeuvre de justicier… Source : Le Livre de Poche

N° 1493 - Pourquoi refuser le bonheur ? (France Noël)

3,56 €
Extrait : Les conversations qui s'étaient tues pendant que Gilles Lorrain, debout sur l'étroit guéridon du bar, exécutait au son du pick-up un swing sauvage et désordonné qui tenait beaucoup plus de la crise d'épilepsie que de la danse, reprirent de plus belle avec des cris, des huées et des applaudissements lorsque le jeune homme sauta à terre et, tout essoufflé, se jeta dans un fauteuil. …

N° 1649 - Un soir... sur le port (France Noël)

3,74 €
Extrait : La brume était si dense que les lumières des bateaux semblaient danser à travers des épaisseurs de coton. Un petit crachin glacé pénétrait partout plus sûrement qu'une grosse pluie sans ruse. François releva le col de son imperméable, puis il s'arrêta pour bourrer et allumer sa pipe. Un instant il dut lutter contre le vent qui faisait vaciller la flamme de l'allumette, il jura entre ses dents puis se remit en route, les deux mains dans les poches, d'une allure nonchalante de promeneur. La nuit était complètement tombée, une de ces nuits hostiles et brumeuses, au cours desquelles la solitude semble plus amère. François s'arrêta contre la porte éclairée d'un café pour regarder sa montre. Il n'était pas encore neuf heures. Il avait toute la soirée devant lui. Il se demanda ce qu'il pourrait faire pour tuer le temps. Les affiches lumineuses d'un cinéma l'attirèrent. Il s'approcha mais constata qu'on y projetait le même film qu'il avait vu annoncé l'avant-veille dans une salle de son quartier à Paris…

N° 1718 - Une vie sans histoire (France Noël)

4,50 €
Extrait : Les cloches de l'église annoncèrent la sortie de la grand-messe ; les enfants du catéchisme s'agitèrent sur leurs bancs et tournèrent la tête vers la porte du fond qu'on venait d'ouvrir et par où l'on voyait un coin de ciel gris. Le claquoir de « M. l'Abbé » les rappela à l'ordre et les têtes se retournèrent vers le maître autel. Un coup de claquoir fit lever les enfants comme si l'on faisait jouer un ressort. Un rapide signe de croix qui semblait plus destiné à chasser les mouches qu'à affirmer leur foi chrétienne et les petits pieds chaussés de gros souliers d'hiver martelèrent les dalles de l'église. Sur la place, les gens s'assemblaient et les conversations de tous les dimanches reprenaient. On s'interrogeait sur l'emploi du temps de l'après-midi ; on se demandait des nouvelles ; on commentait le sermon virulent de M. le Curé qui avait stigmatisé les « tièdes » qui viennent à l'église plus pour faire admirer leur toilette dominicale que pour honorer et prier le Seigneur. On se répétait des phrases du sermon. Personne n'avait pris paroles du prêtre pour soi, comme il arrive toujours en pareil cas…

N° 1628 - Le plaisir et le bonheur (France Noël)

3,74 €
Extrait : L'auto roulait à vive allure sur le petit chemin bordé d'oliviers. Sur la droite, on apercevait la ligne étincelante de la mer. Les cigales chantaient et leur cri strident, monotone, semblait la chanson même de cette terre provençale si belle et si riche dans sa pureté géométrique. Les mains sur le volant, le jeune conducteur jeta sur la droite un regard d'ivresse ; la vue de la mer à l'horizon, bleue comme sur les cartes postales à bon marché, dont on a toujours tendance à croire qu'elles exagèrent les couleurs, lui versait une allégresse qui lui donnait envie de chanter et de crier de joie physique, comme un enfant. Il reporta son regard sur le petit chemin de terre rouge, si étroit qu'il devait rouler doucement pour ne pas accrocher au passage les troncs argentés des oliviers, et se mit à siffler une chanson d'étudiant. Il se sentait joyeux, plein d'entrain pour commencer la vie, la vraie vie qui l'attendait maintenant que ses études étaient terminées. Il s'étonna de voir soudain sur le chemin, ordinairement désert, une silhouette de femme…

N° 1530 - Le démon du printemps (France Noël)

3,74 €
Extrait : Assise sur le bord du sentier, les pieds ballants au-dessus du vide, la jeune femme contemplait la magnificence du couchant. Il y avait dans ce spectacle quelque chose qui lui serrait la gorge et lui donnait une vague et en somme assez agréable mélancolie. Les beaux spectacles que la nature prodigue à ceux qui savent les voir l'avaient, de tout temps, totalement exaltée. — Quelle enfant je fais ! murmura-t-elle pour elle-même. J'ailes larmes aux yeux pour un coucher de soleil réussi, pour un clair de lune romantique ou même simplement pour l'odeur puissante des seringas dans la nuit, exactement comme lorsque j'avais quinze ans. Il serait tout de même temps que cela se passât ! Malgré l'ironie qu'elle s'efforçait d'exercer contre elle-même, elle savait très bien, qu'au fond, elle ne souhaitait pas « que cela passât ». Il lui arrivait parfois d'envier les êtres qui traversent la vie sans rien ressentir que de superficiel car, disait-elle, « ceux-là souffrent moins… »…

N° 1514 - Son prince charmant (France Noël)

3,05 €
Extrait : La jeune fille déposa sur le sol sa charge de bois et frotta l'une contre l'autre ses mains violacées par le froid. Une mèche de cheveux bouclés s'échappait du capuchon de bure qui lui couvrait la tête et pendait entre ses sourcils ; elle la releva d'un geste machinal et essuya, du dos de sa main, son visage mouillé de pluie. Derrière elle, dans le chemin défoncé, ses sabots avaient laissé des empreintes profondes, emplies d'une eau grise et boueuse. La pluie ne cessait pas et le vent qui soufflait en rafales faisait gémir les sapins d'une longue plainte lugubre et presque humaine. La jeune fille frissonné. La distance qui lui restait encore à parcourir lui paraissait accablante. Elle avait froid, le bois était lourd, le soir tombait et le silence environnant, seulement troublé par le bruit de l'eau et du vent, avait quelque chose d'angoissant auquel elle ne pourrait jamais s'habituer. La pèlerine de drap grossier qui la couvrait presque jusqu'aux chevilles était imbibée d'eau, et elle se sentait glacée jusqu'aux os…
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