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Ce fol amour (Saint-Bray) - Cercle romanesque - Tallandier

L'Aragon, où se déroule l'action de ce roman, l'auteur y a vécu, en connaît le climat et les âmes. En découvrant dans cette histoire d'amour Maria-Pilar, vous rencontrerez un caractère de femme qui est l'Aragon même, par les passions, les entêtements, l'exigence. Maria-Pilar est une cantatrice de grande renommée. Elle est aussi en proie à un fol amour… Et, dans la ronde ardente du fol amour, ils sont quatre, ballotés par le flux et le reflux de la vie, le désespoir, le doute, l'espérance. Maria-Pilar, Olivier, Nadine, Cayetano Montalbo, quatre êtres qui, tour à tour, connaissent les tourments de la passion et gardent au coeur, malgré tout, l'espérance du bonheur. (Source : Collection Floralies, Editions Tallandier)

Vertige (Saint-Bray)

4,94 €

Etudiante en médecine, que la pauvreté contraint à interrompre ses études pour accepter un poste de garde-malade en l'île grecque de Santorin, Anne-Lise découvre d'abord, non sans stupeur, que nul ne requiert des soins dans la famille Andronikos. Pourquoi la fait-on venir ici, de Paris ? L'atmosphère est vibrante d'amour, mais des haines couvent… Qui est la femme en gris, au nom ignoré ? Qui menace Aricie, trop douce ? Qui, s'adonnant à un trafic clandestin, cache la clé d'une maison abandonnée, cette clé dont quelqu'un usera pour faire condamner un innocent ? La poussière étouffe le bruit des pas. Le soleil brûle. Jusqu'à la folie dans l'abnégation, Anne-Lise aime Costis Andronikos, fasciné, lui, par Irène, si troublante. Dominant tous ces personnages, l'aïeule, Antiope Andronikos, figure un chef de clan impérieux. Et, sous son autorité, il y a Marko, près d'Aricie ; Constantin, dévoré de passion pour Irène. Vertige ! Costis va découvrir l'amour vrai, par la tendresse d'Anne-Lise. Cependant, la falaise noire de Santorin ouvre un piège… vertigineux. (Source : Collection Floralies, Editions Tallandier)

Sous les masques (Saint-Bray)

4,24 €

Légers ou impénétrables, des masques dissimulent la plupart des visages. Rares sont ceux qui n’ont rien à cacher… A sa majorité, Anne-France Dermont qui ignore le motif qui a séparé ses parents et peut-être provoqué la mort de sa mère quitte la France pour rejoindre son père dans le nord du Chili, à Antafagosta, où il dirige une importante affaire. Dans la ville enfiévrée, les étrangers cherchent fortune et le jeu, parfois, fait perdre en une soirée le fruit d’un travail acharné. L’honneur aussi… Des êtres pleins de mystère gravitent autour du père d’Anne-France. La belle Marika, qui remplit les fonctions d’intendante, quelle place tient-elle réellement dans la vie de M. Dermont ? Pourquoi Gilles, son jeune et séduisant associé, fuit-il soudain Anne-France, alors que tous deux s’aiment éperdument ? Ailleurs, souvent, les larmes suffisent pour payer le prix de la vérité. Dans la chaleur et la touffeur d’Antafagosta où s’exaspèrent les passions, il faut davantage encore…

Le dernier virage (Saint-Bray)

4,74 €

Pas de parapet, le long de la route de corniche qui surplombe des rochers noirs, entre lesquels les vagues s’engouffrent. Pas de garde-fou qui rende moins périlleux les parcours du destin. En circuit fermé, la course aux passions ! Marie-Noëlle et Harry ? Steve et Marie-Noëlle ? Harry et Tereza ? Tereza et Antoine ?... Et, mêlé aux intrigues, les bousculant, le souvenir de James, le demi-frère de Harry, impose sa présence jusqu’à l’obsession car un doute demeure, tragique en soi et en ses conséquences… Reconnu coupable de meurtre, James Morgan était-il innocent ? Ne s’en fallut-il pas d’un témoignage pour qu’il échappe à la condamnation ? Présent et passé s’enchevêtrent. La mise à nu des cœurs s’opère à mesure que la vérité se découvre et celle-ci, déchirante, menace l’infinie tendresse des deux êtres faits pour partir ensemble… A Praia do Guincho, une plage du littoral portugais, une seule route, sinueuse et qui côtoie Boca do Inferno, « Bouche d’Enfer »… Une double issue après le dernier virage : le drame… L’accès au bonheur le plus mérité mais à quel prix ?

Sous les masques (Saint-Bray)

3,52 €

Le dernier virage (Saint-Bray)

3,92 €

Pas de parapet, le long de la route de corniche qui surplombe des rochers noirs, entre lesquels les vagues s’engouffrent. Pas de garde-fou qui rende moins périlleux les parcours du destin. En circuit fermé, la course aux passions ! Marie-Noëlle et Harry ? Steve et Marie-Noëlle ? Harry et Tereza ? Tereza et Antoine ?… Et, mêlé aux intrigues, les bousculant, le souvenir de James, le demi-frère de Harry, impose sa présence jusqu’à l’obsession car un doute demeure, tragique en soi et en ses conséquences… Reconnu coupable de meurtre, James Morgan était-il innocent ? Ne s’en fallut-il pas d’un témoignage pour qu’il échappe à la condamnation ? Présent et passé s’enchevêtrent. La mise à nu des cœurs s’opère à mesure que la vérité se découvre et celle-ci, déchirante, menace l’infinie tendresse des deux êtres faits pour partir ensemble… A Praia do Guincho, une plage du littoral portugais, une seule route, sinueuse et qui côtoie Boca do Inferno, « Bouche d’Enfer »… Une double issue après le dernier virage : le drame… L’accès au bonheur le plus mérité mais à quel prix ?

Magie verte (Saint-Bray)

3,55 €

Voyage au bout de l'effroi... Pourtant, Catherine paraît l'équilibre même. Une fille bien, Catherine : architecte de talent. Elle part pour le Nicaragua, nantie d'un contrat de six mois. Sitôt arrivée, cependant, elle éprouve l'impression de s'être fourvoyée. Effet du dépaysement, angoisse ressentie au sein de la forêt tropicale ? Sans doute. Mais il y a plus dangereux : l'entourage, animé de force et de ruse. Juan Fuentes et sa soeur dona Julia sont des violents, experts en l'art du camouflage. Violence aussi dans l'amour qui précipite Catherine et Antoine l'un vers l'autre, cet Antoine solitaire de qui Fuentes a dit : "C'est un loup". Amour auquel l'espoir se refuse... Argent, drogue, passion, mensonges, tentatives de meurtre, chantage, une ronde infernale se noue, s'accélère, oppressante. Bas les masques ! Alors, de quelle bouche ardente Catherine pourra-t-elle entendre le cri qui sauve ? " Et vous êtes venue… "

Pourquoi refuser le bonheur ? (France Noël) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1493

N° 1493 - Pourquoi refuser le bonheur ? (France Noël)

3,56 €

Extrait : Les conversations qui s'étaient tues pendant que Gilles Lorrain, debout sur l'étroit guéridon du bar, exécutait au son du pick-up un swing sauvage et désordonné qui tenait beaucoup plus de la crise d'épilepsie que de la danse, reprirent de plus belle avec des cris, des huées et des applaudissements lorsque le jeune homme sauta à terre et, tout essoufflé, se jeta dans un fauteuil. …

Un soir... sur le port (France Noël) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1649

N° 1649 - Un soir... sur le port (France Noël)

3,74 €

Extrait : La brume était si dense que les lumières des bateaux semblaient danser à travers des épaisseurs de coton. Un petit crachin glacé pénétrait partout plus sûrement qu'une grosse pluie sans ruse. François releva le col de son imperméable, puis il s'arrêta pour bourrer et allumer sa pipe. Un instant il dut lutter contre le vent qui faisait vaciller la flamme de l'allumette, il jura entre ses dents puis se remit en route, les deux mains dans les poches, d'une allure nonchalante de promeneur. La nuit était complètement tombée, une de ces nuits hostiles et brumeuses, au cours desquelles la solitude semble plus amère. François s'arrêta contre la porte éclairée d'un café pour regarder sa montre. Il n'était pas encore neuf heures. Il avait toute la soirée devant lui. Il se demanda ce qu'il pourrait faire pour tuer le temps. Les affiches lumineuses d'un cinéma l'attirèrent. Il s'approcha mais constata qu'on y projetait le même film qu'il avait vu annoncé l'avant-veille dans une salle de son quartier à Paris…

Une vie sans histoire (France Noël) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1718

N° 1718 - Une vie sans histoire (France Noël)

4,50 €

Extrait : Les cloches de l'église annoncèrent la sortie de la grand-messe ; les enfants du catéchisme s'agitèrent sur leurs bancs et tournèrent la tête vers la porte du fond qu'on venait d'ouvrir et par où l'on voyait un coin de ciel gris. Le claquoir de « M. l'Abbé » les rappela à l'ordre et les têtes se retournèrent vers le maître autel. Un coup de claquoir fit lever les enfants comme si l'on faisait jouer un ressort. Un rapide signe de croix qui semblait plus destiné à chasser les mouches qu'à affirmer leur foi chrétienne et les petits pieds chaussés de gros souliers d'hiver martelèrent les dalles de l'église. Sur la place, les gens s'assemblaient et les conversations de tous les dimanches reprenaient. On s'interrogeait sur l'emploi du temps de l'après-midi ; on se demandait des nouvelles ; on commentait le sermon virulent de M. le Curé qui avait stigmatisé les « tièdes » qui viennent à l'église plus pour faire admirer leur toilette dominicale que pour honorer et prier le Seigneur. On se répétait des phrases du sermon. Personne n'avait pris paroles du prêtre pour soi, comme il arrive toujours en pareil cas…

Le plaisir et le bonheur (France Noël) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1628

N° 1628 - Le plaisir et le bonheur (France Noël)

3,74 €

Extrait : L'auto roulait à vive allure sur le petit chemin bordé d'oliviers. Sur la droite, on apercevait la ligne étincelante de la mer. Les cigales chantaient et leur cri strident, monotone, semblait la chanson même de cette terre provençale si belle et si riche dans sa pureté géométrique. Les mains sur le volant, le jeune conducteur jeta sur la droite un regard d'ivresse ; la vue de la mer à l'horizon, bleue comme sur les cartes postales à bon marché, dont on a toujours tendance à croire qu'elles exagèrent les couleurs, lui versait une allégresse qui lui donnait envie de chanter et de crier de joie physique, comme un enfant. Il reporta son regard sur le petit chemin de terre rouge, si étroit qu'il devait rouler doucement pour ne pas accrocher au passage les troncs argentés des oliviers, et se mit à siffler une chanson d'étudiant. Il se sentait joyeux, plein d'entrain pour commencer la vie, la vraie vie qui l'attendait maintenant que ses études étaient terminées. Il s'étonna de voir soudain sur le chemin, ordinairement désert, une silhouette de femme…

Le démon du printemps (France Noël) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1530

N° 1530 - Le démon du printemps (France Noël)

3,74 €

Extrait : Assise sur le bord du sentier, les pieds ballants au-dessus du vide, la jeune femme contemplait la magnificence du couchant. Il y avait dans ce spectacle quelque chose qui lui serrait la gorge et lui donnait une vague et en somme assez agréable mélancolie. Les beaux spectacles que la nature prodigue à ceux qui savent les voir l'avaient, de tout temps, totalement exaltée. — Quelle enfant je fais ! murmura-t-elle pour elle-même. J'ailes larmes aux yeux pour un coucher de soleil réussi, pour un clair de lune romantique ou même simplement pour l'odeur puissante des seringas dans la nuit, exactement comme lorsque j'avais quinze ans. Il serait tout de même temps que cela se passât ! Malgré l'ironie qu'elle s'efforçait d'exercer contre elle-même, elle savait très bien, qu'au fond, elle ne souhaitait pas « que cela passât ». Il lui arrivait parfois d'envier les êtres qui traversent la vie sans rien ressentir que de superficiel car, disait-elle, « ceux-là souffrent moins… »…

Son prince charmant (France Noël) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1514

N° 1514 - Son prince charmant (France Noël)

3,05 €

Extrait : La jeune fille déposa sur le sol sa charge de bois et frotta l'une contre l'autre ses mains violacées par le froid. Une mèche de cheveux bouclés s'échappait du capuchon de bure qui lui couvrait la tête et pendait entre ses sourcils ; elle la releva d'un geste machinal et essuya, du dos de sa main, son visage mouillé de pluie. Derrière elle, dans le chemin défoncé, ses sabots avaient laissé des empreintes profondes, emplies d'une eau grise et boueuse. La pluie ne cessait pas et le vent qui soufflait en rafales faisait gémir les sapins d'une longue plainte lugubre et presque humaine. La jeune fille frissonné. La distance qui lui restait encore à parcourir lui paraissait accablante. Elle avait froid, le bois était lourd, le soir tombait et le silence environnant, seulement troublé par le bruit de l'eau et du vent, avait quelque chose d'angoissant auquel elle ne pourrait jamais s'habituer. La pèlerine de drap grossier qui la couvrait presque jusqu'aux chevilles était imbibée d'eau, et elle se sentait glacée jusqu'aux os…

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N° 1514 - Son prince charmant (France Noël)

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