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  • Auteurs: France de Saint-Quentin
  • Auteurs: Marie de Wailly
  • Auteurs: Pierre Hellin

N° 671 - A travers la forêt vierge (Pierre Hellin)

5,50 €
Extrait : Marcel Treich-Laplène a vingt-trois ans. Il paraît solide, et son regard bien franc est celui d'un homme qui a de la volonté et marche droit dans la vie. Pourtant, à la façon dont Marcel Treich tourne son chapeau entre ses doigts, puis se lève et se rassied après avoir fait quelques pas dans le salon d'attente, on devine qu'il est troublé et nerveux. C'est que le jeune homme vient d'être introduit dans la maison de M. Verdier à qui il a déjà demandé plusieurs fois un rendez-vous, et qui, enfin, a consenti à le recevoir. Or, M. Verdier est un gros personnage à La Rochelle. A cette époque — en 1883, — c'est l'un des premiers armateurs de France et il possède sur la Côte d'Ivoire deux importantes factoreries, à Assinie et à Grand-Bassam…

N° 3217 - L'héritière de la Jamaïque d'après le roman de France de Saint-Quentin

3,75 €
Extrait : Tante Isabella ne devait pas avoir toute sa raison quand elle rédigea son testament en ta faveur… Une fois de plus, ma cousine, Pamela Beverley, me lançait ce reproche en déformant ses jolies lèvres par une moue méprisante. Nous étions assises sur la pelouse du charmant cottage qui venait de m'échoir par la volonté de ma grand-tante maternelle…

N° 683 - Les trois petits éclaireurs (Pierre Hellin)

4,90 €
Préface  : Du 30 juillet au 14 août 1937 vient de se tenir en Hollande, près de Haarlem, le grand rassemblement mondial des Scouts. Plus de trente mille garçons, venus des nations les plus lointaines, ont participé à ce Jamboree, y représentant les quatre millions d'éclaireurs. C'est là qu'on a compris que le scoutisme était vraiment une occasion magnifique pour les jeunes de tous les pays de chercher à se comprendre et à s'aimer. Comme leur a dit leur vieux chef Baden-Powell, qui a quatre-vingt ans et est le véritable fondateur du scoutisme : « C'est une grande cause, celle de la paix, que vous servez. La guerre est odieuse et stupide. Vous devez profiter du Jamboree pour avoir des amis dans tous les pays. » Il était bon de rappeler ces belles et généreuses pensées qui donneront encore plus d'intérêt à l'amusante histoire.

N° 42 - Vers l'amour... (Marie de Wailly)

6,00 €
Extrait : Une foule énorme se portait vers l'aérodrome du Bourget. Les taxis et les autocars, bondés à craquer, déversaient leurs grappes humaines au milieu de la cohue et la foule, heurtée, bousculée, riait sans une parole de mauvaise humeur, sans un geste de colère, heureuse, exubérante, ne songeant qu'à une seule chose : avancer… se bien placer… Un cordon de police, constitué par un régiment d'aviation, la repoussait doucement mais elle revenait à la charge avec tant de gaîté, tant d'entrain que les soldats souriants cédaient un peu de terrain et des voix perçantes de femmes criaient : — Bravo… vive l'armée !… A ces cris isolés s'en joignait un autre unanime, vibrant, formidable : — Vive Pierre Defresne !… C'était le héros attendu… l'as… l'enfant chéri du public…

N° 22 - Au coeur profond de la forêt (Marie de Wailly)

9,00 €
Extrait préface : Il y avait une fois, une immense étendue boisée qu'on appelait : la Forêt d'Argent. La brise la plus légère faisait frissonner le feuillage de ses trembles ; ses saules au duvet pâle et soyeux se miraient dans l'eau limpide des sources et ses bouleaux, à la blanche écorce brillante, élevaient leur tête altière vers le ciel. La Forêt d'Argent couvrait tout un coteau montant de la plaine et retournant à la vallée. A son sommet le plus escarpé se dressaient de très hauts murs de pierre grise que la végétation grimpante et luxuriante des grands bois avait pris d'assaut. Leur air rébarbatif se cachait derrière le sourire vert des feuilles et l'appel timide des fleurs. Si, trompé par leur joliesse mutine et la douceur grave de leur vêtement, on voulait connaître leur secret, on se heurtait à une porte aux épaisses ferrures, aux panneaux hérissés de clous, à la lourde serrure. Un judas minuscule permettait de parlementer de l'intérieur. Une chaîne, de la grosseur du poignet, pendait à droite de la porte dans une niche de pierre encapuchonnée de verdure. Cette chaîne était attachée à une cloche de bronze dont chaque vibration réveillait les échos endormis de la Forêt d'Argent…
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