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  • Auteurs: Francine Robert
  • Auteurs: Hubert Ben Kemoun
  • Auteurs: Laurie McBain

Ma mère m'épuise (Hubert Ben Kemoun) - Le livre de poche N° 696

2,74 €
Mélusine est dans tous ses états : son petit ami, Bruno, vient de lui annoncer qu'il la quitte. Mais c'est compter sans sa mère, championne des déboires en tout genre ! Mélusine lui promet toujours de trouver une solution à ses problèmes. « Ma mère m'épuise », voilà le slogan que Mélusine pourrait écrire sur les murs de la ville, à la place des slogans racistes qui s'y trouvent. Mais quelqu'un d'autre a déjà pris la place… À partir de 12 ans

N° 3304 - Les larmes d'or d'après le roman de Laurie McBain

3,75 €
1850. La fièvre de l'or pousse nombre d'Européens à fuir leur patrie, pour les rivages mythiques de la Californie. Pour Brendan O'Flynn et sa soeur Mara, le mythe devient réalité un beau matin, lorsque le voilier Windsong accorde dans la baie de San Francisco. Ils ont laissé le passé derrière eux. Joueur intraitable, Brendan, désargenté, se retrouve obligé de conclure un étrange marché avec un Espagnol rencontré sur le bateau : faire passer sa soeur Mara pour une de ses nièces, Amaya Vaughan, riche héritière de retour au pays natal. Au rancho Villareale, tout semble se passer à merveille. Personne ne se doute de la substitution. Jusqu'au jour où un inconnu apparaît au rancho : Nicholas de Chantale, Créole de la Nouvelle-Orléans, mi-aventurier, mi-grand seigneur. Le passé que Mara croyait oublié à jamais surgit à nouveau… Le palpitant roman de Laurie McBain LES LARMES D'OR vous entraînera de Londres en Californie, puis en Louisiane, dans ce pays neuf où les passions éclatent et se déchaînent comme des orages.

N° 1899 - Jamais l'amour n'a su compter (Francine Robert)

2,92 €
Extrait  : — Je suis certain, en tout cas, de faire un très mauvais chef d'entreprise, un industriel exécrable ! — A ton âge, mon petit Roland, on n'est certain de rien, permets-moi de te le dire ! Et les deux interlocuteurs s'étaient dressés de chaque côté du bureau ministre qui les séparait. Un petit panneau de plexiglas posé sur la surface polie du meuble apprenait, dès leur entrée, aux visiteurs, qu'ils se trouvaient en face de « Lucien Vaudé, directeur général ». Pour la première fois de sa vie, cet homme d'affaires accoutumé à ne trouver devant lui que docilité, obéissance passive, se heurtait à une volonté qui valait peut-être la sienne : celle de son fils unique, Roland. Ce dernier venait d'avoir vingt-deux ans et on employait habituellement, pour le décrire, trois adjectifs que venait renforcer le mot « très » : « …Très grand, très brun, très sympathique… »…
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