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  • Auteurs: Francine Robert
  • Auteurs: Katherine Kendall

N° 68 - Vertige (Katherine Kendall)

2,95 €
Ariane, une passion vertige Ariane Haynes, naïade aux yeux couleur d'océan… Lorsqu'il l'avait sauvée en pleine mer, Jake Lawson, le chasseur de trésors, l'aventurier, l'avait désirée, elle qui s'opposait à son projet : retrouver le fabuleux butin de l'Evangeline, vaisseau-pirate disparu au dix-huitième siècle, au large de Cap Cod. Il l'avait désirée et la désirait encore. Folie passagère, accès de délire ?… Aussi insensé que cela pût paraître, il avait décidé de séduire une ennemie plus dangereuse encore que la mer déchaînée : Ariane la très farouche… Ariane, une passion vertige.

N° 68 - Vertige (Katherine Kendall)

2,56 €
Ariane, une passion vertige Ariane Haynes, naïade aux yeux couleur d'océan… Lorsqu'il l'avait sauvée en pleine mer, Jake Lawson, le chasseur de trésors, l'aventurier, l'avait désirée, elle qui s'opposait à son projet : retrouver le fabuleux butin de l'Evangeline, vaisseau-pirate disparu au dix-huitième siècle, au large de Cap Cod. Il l'avait désirée et la désirait encore. Folie passagère, accès de délire ?… Aussi insensé que cela pût paraître, il avait décidé de séduire une ennemie plus dangereuse encore que la mer déchaînée : Ariane la très farouche… Ariane, une passion vertige.

N° 1899 - Jamais l'amour n'a su compter (Francine Robert)

2,92 €
Extrait  : — Je suis certain, en tout cas, de faire un très mauvais chef d'entreprise, un industriel exécrable ! — A ton âge, mon petit Roland, on n'est certain de rien, permets-moi de te le dire ! Et les deux interlocuteurs s'étaient dressés de chaque côté du bureau ministre qui les séparait. Un petit panneau de plexiglas posé sur la surface polie du meuble apprenait, dès leur entrée, aux visiteurs, qu'ils se trouvaient en face de « Lucien Vaudé, directeur général ». Pour la première fois de sa vie, cet homme d'affaires accoutumé à ne trouver devant lui que docilité, obéissance passive, se heurtait à une volonté qui valait peut-être la sienne : celle de son fils unique, Roland. Ce dernier venait d'avoir vingt-deux ans et on employait habituellement, pour le décrire, trois adjectifs que venait renforcer le mot « très » : « …Très grand, très brun, très sympathique… »…
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