Chariot
0 articles
Votre panier est actuellement vide
Login
Connexion au compte existant Connectez-vous à votre compte
réinitialiser le mot de passe
Nouveau compte S'inscrire
Accueil
-
- Harlequin
- J'ai lu
- Duo
- Presses de la Cité
- Ferenczi & Fils
- Librairie Jules Tallandier
- Romances - Divers éditeurs
- Magazines - Suppléments
- Littérature Jeunesse
- Activités - Coloriages - Jeux
- Lire en anglais
- Livres pour les tout-petits (0-3 ans)
- Premières lectures
- Contes, légendes et mythologies
- Histoire et Classiques
- Petites et grandes fictions
- Bandes dessinées
- Bibliothèque Verte
- Bibliothèque Rose
- Bibliothèque Rouge et Or
- Collection Spirale
- Idéal~Bibliothèque
- Journaux - Brochures
- Les bandes dessinées
- Autres rayons littérature
- Harlequin
Filtrer par
Auteurs
Auteurs
Collections
Collections
Editeurs
Editeurs
Prix
Prix
-
2,00 € - 3,00 €
Accueil
Affichage 1-3 de 3 article(s)
N° 213 - Un Noël californien (Dallas Schulze)
2,92 €
Mariés à Noël, ils avaient divorcé à la Toussaint… C'est ainsi que Tess résumait son bref mariage chaque fois que le sujet était abordé. Cette formule concise avait le mérite de faire taire les curieux. Cinq ans s'étaient écoulés depuis son divorce avec Nick ; cinq ans au terme desquels la jeune femme avait fini par se convaincre que les quelques mois de vie commune avec Nick avaient été relégués dans un passé lointain, disparu à jamais. Pourtant, il ne fallut qu'un instant — l'espace d'une rencontre fortuite avec Nick — et ces quelques mots murmurés : « Tu m'as manqué », pour que tout soit remis en cause…
N° 1899 - Jamais l'amour n'a su compter (Francine Robert)
2,92 €
Extrait : — Je suis certain, en tout cas, de faire un très mauvais chef d'entreprise, un industriel exécrable ! — A ton âge, mon petit Roland, on n'est certain de rien, permets-moi de te le dire ! Et les deux interlocuteurs s'étaient dressés de chaque côté du bureau ministre qui les séparait. Un petit panneau de plexiglas posé sur la surface polie du meuble apprenait, dès leur entrée, aux visiteurs, qu'ils se trouvaient en face de « Lucien Vaudé, directeur général ». Pour la première fois de sa vie, cet homme d'affaires accoutumé à ne trouver devant lui que docilité, obéissance passive, se heurtait à une volonté qui valait peut-être la sienne : celle de son fils unique, Roland. Ce dernier venait d'avoir vingt-deux ans et on employait habituellement, pour le décrire, trois adjectifs que venait renforcer le mot « très » : « …Très grand, très brun, très sympathique… »…