Accueil

Accueil

Il y a 3 produits.

Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Anne Marie Winston
  • Auteurs: Frank Bonham
  • Auteurs: Jacques Orbières

N° 1115 - Le bonheur pour contrat (Anne Marie Winston)

2,56 €
Jillian allait devoir tenir six mois… Six mois aux côtés de Dax, cela lui paraissait un enfer, aujourd'hui ! Et elle se souvint avec tristesse et colère de l'époque radieuse où une seule seconde auprès de Dax lui semblait une éternité de bonheur… Entre-temps, ils étaient devenus des ennemis : Dax la détestait pour une trahison qu'elle n'avait pourtant pas commise, et elle-même lui en voulait terriblement de ne pas avoir su lui faire confiance. A présent, il venait de trouver un nouveau moyen de la faire souffrir : l'épouser, en échange de la remise à flot de l'entreprise familiale. Si elle refusait, il expulsait, licenciait tout le monde. Devant tant de rage, Jillian n'avait pu qu'accepter, en apportant, toutefois, sa patte au contrat : le mariage ne durerait que le temps de redresser la situation financière - c'est-à-dire, au plus, six mois.

La ligue des disparus (Frank Bonham)

2,54 €
Qu'est ce qu'on mange, ce soir ? Des hamburgers aux algues, à haute teneur en protéines, répondit Brian à son père. Celui-ci fit la grimace. Brian éclata de rire. Heureusement qu'il avait installé son potager clandestin dans la cave ! II faut dire que quand la terre est condamnée à mourir dans un proche avenir à cause de la pollution, on se débrouille comme on peut. Et s'il n'y avait que ça ! […]

N° 1145 - Le bonheur par le devoir (Jacques Orbières)

3,74 €
Extrait : — Alors, c'est dit, Paul, tu quittes tantôt ton agence d'où j'ai tant de mal à te sortir, et tu me consacres cette belle après-midi. Et coquette, gentille, Louise posait ses deux mains sur les épaules de son mari, certaine qu'il accepterait. Paul Berliet sourit à sa femme et fit enfin oui de la tête. Louise battit des mains. — Bravo !… La belle journée !… Nous irons ensemble faire un grand tour au Bois, comme deux amoureux. Vite, je m'habille. Paul quitta le fauteuil où il était assis et se promena un instant, le front barré par ses réflexions, tandis que sa femme, légère comme un oiseau, disparaissait du salon. Elle y revint un moment après, ayant fait rapidement sa toilette pour sortir. Elle était charmante, simple, pleine d'élégance et de goût. Paul la contempla un instant, puis ouvrit ses bras et la serra tendrement contre lui. — Ma chère, chère Louise ! murmura-t-il…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire