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  • Auteurs: Géo David
  • Auteurs: Max Dervioux
  • Auteurs: Meg Maxwell

N° 651 - Entre les bras de son patron (Jules Bennett) - Sa recette du bonheur (Meg Maxwell)

3,50 €
Entre les bras de son patron (Jules Bennett) Scandales à Boston TOME 1/4 - Quand seul l’amour manque aux puissants O’Shea Bloquée dans un chalet perdu au milieu de nulle part… avec son patron pour seule compagnie. Alors qu’au-dehors une terrible tempête de neige fait rage, Zara ne sait si elle doit se réjouir ou s’effrayer de la situation. Certes, elle est secrètement amoureuse du séduisant Braden O’Shea – un homme d’affaires puissant et respecté à Boston qui l’a engagée pour être sa secrétaire – et, en le côtoyant d’aussi près, elle ne pourra qu’apprendre à mieux le connaître. Pourtant, elle ne peut s’empêcher de rester sur ses gardes. Car Braden se comporte parfois de façon étrange, comme s’il avait quelque chose à lui cacher… Sa recette du bonheur (Meg Maxwell) Accepter d’épouser West Montgomery, l’homme qui lui a brisé le cœur au lycée, aurait pour Annabel deux avantages… Le premier : lui apporter l’argent dont elle a besoin pour sauver le Hurley Homestyle Kitchen, le petit restaurant qu’elle a hérité de sa grand-mère. Le second : permettre à West de conserver la garde de sa fille de six ans, la petite Lucy. Malgré tout, Annabel, hésite : sera-t-elle capable de vivre jour après jour auprès de cet homme qui exerce sur elle la même attirance qu’autrefois tout en gardant ses distances ? Rien n’est moins sûr…

N° 656 - Un week-end au paradis (Jules Bennett) - Père à l’essai (Meg Maxwell)

3,50 €
Un week-end au paradis (Jules Bennett) Scandales à Boston TOME 2/4 - Quand seul l’amour manque aux puissants O’Shea Quand Jenna, sa plus proche amie, lui demande de se faire passer pour son fiancé lors du mariage auquel elle doit se rendre à Bora Bora, Mac n’en revient pas. Lui qui souhaite, depuis toujours, la serrer dans ses bras et l’embrasser va voir son vœu se réaliser… et sans avoir à en éprouver la moindre culpabilité ! Une fois arrivé sur place, il se prend même à rêver… et s’il avouait à Jenna qu’il l’aime en secret ? Pourtant, très vite, il se reprend : les activités criminelles de sa famille – le célèbre clan O’Shea – sont bien trop dangereuses et risqueraient de mettre la vie de Jenna en danger. Aussi s’y résout-il… Dès qu’ils seront rentrés à Boston, il lui annoncera qu’il ne veut plus la voir. Père à l’essai (Meg Maxwell) Prenez soin de Timmy pendant une semaine. Lorsque Nick, inspecteur de police à Blue Gulch, découvre sur son bureau un couffin dans lequel un nourrisson âgé de quelques jours à peine a été abandonné, il est désemparé. Mais quand, dans les minutes qui suivent, il voit entrer dans le poste de police Georgia Hurley, le ventre joliment arrondi suite à leur aventure d’un soir, il sent une peur panique le gagner. Comment gérer une telle situation sans perdre son sang-froid ? Peut-être en acceptant que Georgia s’installe chez lui pour s’occuper du bébé, le temps qu’il en retrouve la mère, comme elle le lui propose. L’idée semble aussi séduisante que dangereuse…

N° 280 - Le mariage clandestin (Géo David) - Shelley WINTERS en couverture

3,50 €
Le mariage clandestin Roman inédit par Géo David Extrait : — Daisy, où allez-vous ? rugit Mr Preston. La jeune fille sursauta et rougit violemment. Elle rougissait ainsi depuis le matin jusqu'au soir. Le Créateur lui avait donné des joues rondes et roses, des cheveux doux et soyeux, et d'immenses yeux, d'un bleu presque violet, qui faisaient retourner toutes les dames au coeur tendre qui la rencontraient dans la rue, quand elle était petite. A présent, c'étaient les jeunes gens qui se retournaient sur elle !… quand elle passait !… Ce qui était rarissime. Le Créateur avait, aussi, donné à Daisy un père bien intentionné, mais de la race, à peu près éteinte, des parents par trop tyranniques. Il tenait sa malheureuse femme et sa fille dans une sujétion absolue, et elles n'osaient pour ainsi dire pas respirer sans sa permission. Comme elles ne s'étaient jamais plaintes, et qu'apparemment elles présentaient tous les signes d'une bonne santé, M. Preston continuait, avec une parfaite candeur, à faire peser sur elles les poids de son autorité…

N° 279 - Quand le coeur parle (Géo David) - Maureen O'HARA en couverture

3,50 €
Quand le coeur parle Roman inédit par Géo David Extrait : Marie-France poussa la porte qui donnait accès sur le perron. A cet instant, un brusque coup de vent souleva un pan du manteau léger, dont la jeune fille était revêtue. Quelque chose de doux frôla le fin visage. Une grande feuille jaunie, descendue en tourbillonnant du haut tilleul centenaire, qui bordait l'allée principale, s'obstina contre sa joue. Marie-France, d'un geste rapide, s'en empara, et en considéra un long moment le mince filigrane. Oui, les premières feuilles tombaient, annonciatrices de l'automne. A présent, leur chute allait continuer, transformer le parc en jardin enchanté, où tous les tons, toutes les nuances allaient se mêler, s'associer pour créer cette féérie de couleurs qu'elle aimait tant. A toutes les saisons, Marie-France préférait l'automne…

N° 336 - Le Roman d'Amour d'un Garçon d'hôtel (Géo David) - June ALLYSON en couverture

3,50 €
Le Roman d'Amour d'un Garçon d'hôtel Grand roman d'amour de Géo David Extrait : André Froment se dirigea vers le vestiaire avec un soulagement manifeste. Le garçon d'hôtel ressentait ce soir à, une lassitude inaccoutumée, une fatigue intense… La journée avait été chargée, comme d'habitude, depuis que l'orchestre, qui faisait courir le tout-Paris élégant et mondain, se produisait à l'Excelsior-Palace… en fait, un des plus luxueux de la capitale qui devait sa réputation à son service impeccable, à l'excellence et la diversité de tout ce qui s'y consommait. Les caves de l'Excelsior étaient uniques. La renommée de sa cuisine n'était plus à faire depuis longtemps. On concevait aisément que chaque soir la grande salle fut comble. Une douzaine de garçons en habit assuraient le service de table, sous l'oeil vigilant du maître d'hôtel. « Maître » Batchef, pendant des heures, sans bouger de place, en apparence impassible, exerçait une surveillance, un contrôle des plus sévères…

N° 1663 - Le maître des coeurs (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : Renaud Sorel regarda la maison de granit située à l'entrée de cette petite ville du Morbihan où il était venu chercher oubli et solitude. — On dit qu'elle est hantée, remarqua-t-il en souriant. La vieille dame chargée de la location hocha la tête gravement : — Cela dépend des gens qui l'habitent. Ceux qui ont peur, dame… C'est pour ça que le prix en est si bas, m'sieu le Parisien. —Oh ! je ne redoute pas les fantômes, cela m'amuserait même de me rencontrer avec l'un d'eux, fit-il avec quelque ironie. — Monsieur est peut-être venu ici pour faire des expériences ? — Qui sait… Il s'adonnait, en amateur, aux sciences diverses, lorsque l'art, dans lequel il s'était illustré, lui laissait des loisirs. Paysagiste déjà célèbre par ses toiles hardies, Sorel avait révolutionné les lois de la peinture, en la ramenant vers plus de logique tout en laissant aux jeux de la lumière une prépondérance pleine d'intensité…

N° 1630 - L'aveu d'une honte (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : — On peut vous embaucher pour aider à la décoration de la salle, il y aura un grand gala, demain soir au casino et il nous faut des girandoles d'ampoules électriques… Puisque vous vous y connaissez… Pierre Guerlin murmura : — J'accepte… Il avait faim… Après avoir tenté vainement de trouver divers emplois, à Paris, il avait pris le train pour Deauville en plein mois d'août, espérant bien dénicher du travail enfin. Les excellentes études qu'il avait faites ne lui avaient servi à rien mais il possédait à son actif quelque adresse manuelle. C'était son plus sûr bagage. Tous les siens étaient morts, il n'avait pas de bien, que ses deux mains et son cerveau, inutilement meublé des connaissances courantes réclamées dans les examens. C'était un grand garçon au maigre visage, aux yeux d'acier bleu, racé en dépit de ses brusques façons, dues à l'amertume que lui inspiraient ses nombreuses déconvenues dans ses recherches pour une situation. A Deauville il allait pouvoir vivre pendant quelques semaines, puis il repartirait chercher de l'ouvrage ailleurs…

N° 1147 - L'amour aux enchères (Marx Dervioux)

3,05 €
Extrait : Lia Bermin relut plusieurs fois d'un air atterré, la lettre qu'elle tenait entre ses mains... Francis, son petit Francis, c'était impossible... Il n'avait pas fait ça. Elle sentait le sol se dérober sous elle, dans la modeste chambre de cette pension de famille située sur les hauteurs de Dinard. Cette catastrophe était pire que tout, et pourtant, le destin ne l'avait guère ménagée jusqu'alors… Orpheline de père et de mère à dix-huit ans et complètement ruinée, mal préparée pour la lutte, elle avait dû prendre le premier emploi venu, celui de manucure dans un institut de beauté parisien, qui l'avait envoyée sur cette plage pour la saison d'été dans une succursale proche des grands hôtels. Son frère Francis, un peu plus jeune qu'elle, en sortant de l'Ecole du Commerce, avait trouvé un poste de comptable dans une fabrique de Limoges. Brun, autant qu'elle était blonde, séduisant, fougueux, révolté souvent contre le sort rude il avait connu, dans la ville qu'il habitait, une jeune femme mariée dont il avait fait sa maîtresse, et, pour satisfaire les caprices de celle-ci, ne s'était-il pas peu à peu endetté, puis affolé il avait volé une somme de cent mille francs dans la caisse qui lui était confiée : Voilà ce qu'il avouait à sa soeur…

N° 1566 - Tu seras comtesse (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : Mireille regarda avec admiration autour d'elle. Le vieux château, situé en plein Rouergue, d'une si fière allure, entouré de bois, faisait une fameuse opposition avec l'humble logis qu'elle avait habité jusqu'alors, en compagnie de son père, ancien domestique retraité des comtes de Girac. Elle avait passé son enfance en Dordogne, chez sa grand-mère, qui l'avait élevée quand elle était orpheline et pendant que Gustave Méchain était encore en service au manoir de ses maîtres. Mireille avait vécu comme une paysanne, puis elle était entré dans une modeste pension, où elle avait acquis une solide instruction. L'aïeul était morte au moment où la jeune fille atteignait ses dix-huit ans, et son père, qui avait vu ses forces décliner après plusieurs bronchites successives, était revenu vivre auprès d'elle, au pays. A soixante ans, après avoir servi fidèlement le vieux comte de Girac, il avait reçu de lui une pension de trente mille francs. Celle-ci eût été insuffisante s'il n'y avait ajouté le revenu de son petit bien…
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