Chariot
0 articles
Votre panier est actuellement vide
Login
Connexion au compte existant Connectez-vous à votre compte
réinitialiser le mot de passe
Nouveau compte S'inscrire
Accueil
-
- Harlequin
- J'ai lu
- Duo
- Presses de la Cité
- Ferenczi & Fils
- Librairie Jules Tallandier
- Romances - Divers éditeurs
- Magazines - Suppléments
- Littérature Jeunesse
- Activités - Coloriages - Jeux
- Lire en anglais
- Livres pour les tout-petits (0-3 ans)
- Premières lectures
- Contes, légendes et mythologies
- Histoire et Classiques
- Petites et grandes fictions
- Bandes dessinées
- Bibliothèque Verte
- Bibliothèque Rose
- Bibliothèque Rouge et Or
- Collection Spirale
- Idéal~Bibliothèque
- Journaux - Brochures
- Les bandes dessinées
- Autres rayons littérature
- Harlequin
Filtrer par
Auteurs
Auteurs
Collections
Collections
Editeurs
Editeurs
Prix
Prix
-
2,00 € - 8,00 €
Accueil
Affichage 1-3 de 3 article(s)
N° 230 - Les petits émigrés belges en France (Gérard Harry)
7,50 €
10 Gravures Extrait : CRUELLE SEPARATION - « Les enfants dorment ? — Oui, tous les deux. Et ils dorment comme s'ils avaient bien dîné, les chers petiots. Ce n'est pourtant pas le cas ! — Ils mangeront mieux dans quelques jours, va. — Alors tu es toujours décidé à cette cruelle séparation ? — Plus que jamais ! » Ce dialogue échangé, les époux Gilbert demeurent silencieux. Ils sont assis près de la table sur laquelle ils ont pris leur triste repas, car l'on y voit encore la moitié d'un pain, couleur chocolat, et qui semble moisi. Une petite lampe éclaire les visages amaigri et soucieux de ces braves gens qui viennent d'endurer trois années des privations les plus dures et des plus odieux traitements au milieu des baïonnettes allemandes.
N° 1145 - Le bonheur par le devoir (Jacques Orbières)
3,74 €
Extrait : — Alors, c'est dit, Paul, tu quittes tantôt ton agence d'où j'ai tant de mal à te sortir, et tu me consacres cette belle après-midi. Et coquette, gentille, Louise posait ses deux mains sur les épaules de son mari, certaine qu'il accepterait. Paul Berliet sourit à sa femme et fit enfin oui de la tête. Louise battit des mains. — Bravo !… La belle journée !… Nous irons ensemble faire un grand tour au Bois, comme deux amoureux. Vite, je m'habille. Paul quitta le fauteuil où il était assis et se promena un instant, le front barré par ses réflexions, tandis que sa femme, légère comme un oiseau, disparaissait du salon. Elle y revint un moment après, ayant fait rapidement sa toilette pour sortir. Elle était charmante, simple, pleine d'élégance et de goût. Paul la contempla un instant, puis ouvrit ses bras et la serra tendrement contre lui. — Ma chère, chère Louise ! murmura-t-il…