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  • Auteurs: Gérard Harry
  • Auteurs: Jacques Orbières
  • Auteurs: San-Antonio
Si, Signore ! (San-Antonio) - Fleuve Noir N° 85
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Si, Signore ! (San-Antonio) - Fleuve Noir N° 85

2,75 €
Quand le Vieux se mêle d'organiser un coup fourré, tu peux commencer à lui tresser des lauriers. Histoire de le sacrer roi des naves... Car on ne peut pas faire mieux dans le genre sac d'embrouilles. Pourtant, moi, la Sicile, j'étais partant. Tu te serais douté qu'on allait s'y chicorner avec les agents simples, doubles et triples du monde entier ? Tu te serais douté qu'on y transformerait Béru en porc de comice agricole ? Et que j'y prendrais des panards à grand spectacle ave ces dames de la famille MACHINCHOUETTI ? Eh bien, c'est pourtant ce qui nous attendait là-bas ! Plus quelques avatars pas piqués des hannetons que je te laisse le soin de découvrir tout seul, comme un grand. Après tout, si tu n'es pas encore majeur, t'es au moins vacciné. Non ? 

N° 230 - Les petits émigrés belges en France (Gérard Harry)

7,50 €
10 Gravures Extrait : CRUELLE SEPARATION - « Les enfants dorment ? — Oui, tous les deux. Et ils dorment comme s'ils avaient bien dîné, les chers petiots. Ce n'est pourtant pas le cas ! — Ils mangeront mieux dans quelques jours, va. — Alors tu es toujours décidé à cette cruelle séparation ? — Plus que jamais ! » Ce dialogue échangé, les époux Gilbert demeurent silencieux. Ils sont assis près de la table sur laquelle ils ont pris leur triste repas, car l'on y voit encore la moitié d'un pain, couleur chocolat, et qui semble moisi. Une petite lampe éclaire les visages amaigri et soucieux de ces braves gens qui viennent d'endurer trois années des privations les plus dures et des plus odieux traitements au milieu des baïonnettes allemandes.

N° 1145 - Le bonheur par le devoir (Jacques Orbières)

3,74 €
Extrait : — Alors, c'est dit, Paul, tu quittes tantôt ton agence d'où j'ai tant de mal à te sortir, et tu me consacres cette belle après-midi. Et coquette, gentille, Louise posait ses deux mains sur les épaules de son mari, certaine qu'il accepterait. Paul Berliet sourit à sa femme et fit enfin oui de la tête. Louise battit des mains. — Bravo !… La belle journée !… Nous irons ensemble faire un grand tour au Bois, comme deux amoureux. Vite, je m'habille. Paul quitta le fauteuil où il était assis et se promena un instant, le front barré par ses réflexions, tandis que sa femme, légère comme un oiseau, disparaissait du salon. Elle y revint un moment après, ayant fait rapidement sa toilette pour sortir. Elle était charmante, simple, pleine d'élégance et de goût. Paul la contempla un instant, puis ouvrit ses bras et la serra tendrement contre lui. — Ma chère, chère Louise ! murmura-t-il…
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