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  • Auteurs: Gérard Harry
  • Auteurs: Jean Sue Macleod

N° 84 - Le maître de Glenkeit (Jean Sue Macleod)

9,90 €
« Ce que je vais te dire te déplaira, déclara le vieil Ecossais à son petit-fils Andrew. Mais il faut que tu partes pour l'Italie. Il faut que tu ramènes ici, dans cette maison qui est la sienne, une petite fille… » A Rome, la surprise du jeune homme est grande, lorsqu'il se trouve en présence d'une vraie jeune fille, pleine de spontanéité et de charme. Dans la vieille demeure de Glenkeit, Tessa n'aura nulle peine à conquérir le coeur du beau vieillard qu'est Daniel Meldrum. Et celui de Margaret… Mais l'implacable tante Hester oppose la plus farouche haine. Un jour, dans l'épais brouillard qui baigne la lande, Tessa s'est attardée et elle s'est perdue. Un séduisant cavalier la sauve et la ramène. Il se nomme Nigel. Il habite une belle demeure. Il offrira bientôt son coeur et sa fortune à Tessa… Mais Tessa se demande si ce n'est pas l'autre qu'elle aime… L'autre, qui demeure muré dans une réserve farouche… et qui doit croire Tessa— la fille de Véronique — indirectement responsable des malheurs de sa famille… Au cours de la splendide fête de la Gathering ; au cours de la partie de chasse chez Nigel… Tessa a toujours la malchance et les apparences contre elle… La lettre qu'elle finit par découvrir, grâce à la brave Isobel, cette lettre qui prouve une innocence, servira-t-elle à dissiper enfin les malentendus ?

N° 230 - Les petits émigrés belges en France (Gérard Harry)

7,50 €
10 Gravures Extrait : CRUELLE SEPARATION - « Les enfants dorment ? — Oui, tous les deux. Et ils dorment comme s'ils avaient bien dîné, les chers petiots. Ce n'est pourtant pas le cas ! — Ils mangeront mieux dans quelques jours, va. — Alors tu es toujours décidé à cette cruelle séparation ? — Plus que jamais ! » Ce dialogue échangé, les époux Gilbert demeurent silencieux. Ils sont assis près de la table sur laquelle ils ont pris leur triste repas, car l'on y voit encore la moitié d'un pain, couleur chocolat, et qui semble moisi. Une petite lampe éclaire les visages amaigri et soucieux de ces braves gens qui viennent d'endurer trois années des privations les plus dures et des plus odieux traitements au milieu des baïonnettes allemandes.
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