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  • Auteurs: Daniel Defoe
  • Auteurs: Gayle Wilson
  • Auteurs: Laurence Gillot

N° 369 - Et la mort nous séparera (Gayle Wilson)

3,50 €
Sur les marches du tribunal d'où va bientôt sortir Samuel Tate, l'assassin de son fils, Sarah Patterson s'apprête à faire justice. Comment accepter en effet qu'un simple vice de forme permette au monstre qui a tué son enfant de rester impuni ? Et comment accepter surtout que d'autres enfants puissent être un jour victimes de ce serial killer ? Mais alors qu'elle croise le regard de l'homme qui vient de sortir libre du tribunal, et que, le cœur battant, elle s'apprête à appuyer sur la détente, un flic, Mac Donovan, s'interpose. Un flic qui sait comme elle que l'homme est dangereux mais qui ne peut laisser abattre celui que les juges ont relâché. Profitant de la diversion, l'assassin disparaît… Pas pour longtemps : bientôt, en effet, Sarah reçoit des messages angoissants. Des messages qui lui laissent penser, en dépit du scepticisme de la police, que l'assassin n'en a pas fini avec elle. Pourtant, le danger, de plus en plus palpable, se resserre autour de Sarah : son ex-mari, puis un enfant du voisinage, sont à leur tour assassinés. Désormais, Sarah le sait : entre elle et Samuel Tate, la lutte sera sans merci. Et seule la mort les séparera…

N° 614 - Robinson Crusoé - 2e partie (Daniel de Foe)

4,90 €
Extrait : J'étais maintenant dans la vingt-troisième année de ma résidence en cette île, et si accoutumé à y vivre que, sans ma continuelle crainte des sauvages, j'aurais été content d'y passer le reste de mes jours et, à la fin, de me coucher pour mourir, comme le vieux bouc dans la grotte. Mon perroquet vivait encore — je l'eus avec moi pendant vingt-six ans — et nous tenions ensemble de longues conversations familières, auxquelles je trouvais un grand charme. Mon chien aussi avait été pour moi un compagnon fidèle et cher pendant seize ans, au bout desquels il mourut de vieillesse. Pour mes chats, ils s'étaient tellement multipliés et étaient devenus si incommodes que, de peur qu'ils ne me dévorassent, j'avais été obligé d'en tuer plusieurs à coups de fusil ; les autres s'enfuirent dans les bois, où ils retournèrent à l'état sauvage, à l'exception de deux ou trois que je gardai près de moi…
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