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  • Auteurs: C. Fongrave
  • Auteurs: Geneviève Laporte

N° 3.568 - Le petit gitan à la recherche du plan perdu (Geneviève Laporte)

4,94 €
Folco, le petit Gitan de Camargue, habite depuis quelques années Marseille chez les Philibert. Le père dirige une usine de téléviseurs. Folco vit heureux dans cette famille dont le fils, Daniel, est son ami. Il rend régulièrement visite à ses parents et retrouve avec le même plaisir les marais et les chevaux. Des dons particuliers pour le dessin se développent en lui, encouragés par son père adoptif, qui lui fait donner des leçons de dessin industriel. Lui-même invente un récepteur révolutionnaire qui donnera à son entreprise un essor exceptionnel, malgré la crise. Il met Folco dans le secret. Hélas ! les plans sont dérobés et leur recherche entraîne Folco et Daniel dans des péripéties dramatiques.

N° 1031 - Ce que femme veut ! (C. Fongrave)

3,74 €
Extrait : Elle lui tenait les deux mains et le considérait avec tendresse : — Voyons, Pierre, du courage ! Père changera peut-être d'idée. Actuellement il semble buté et il serait dangereux de le harceler. Le jeune homme sourit avec amertume : — Si tu m'aimais autant que je t'aime, tu ne me conseillerais pas aussi aisément la patience. Des larmes brillèrent au bord de ses longs cils dorés et elle serra plus fort les mains de l'aimée : — Ne dis pas cela, tu me déchires le coeur. Je ne te conseille pas la patience, mais la sagesse. Père tient absolument à ce que son gendre soit riche ; il ne veut pas, prétend-il, que je connaisse la médiocrité dans laquelle il a vécu toute sa vie. Tu sais que cette pauvreté auprès de toi ne m'effrayerait pas, mais il affirme que j'ignore tout de l'existence. Nous en sommes là. Evidemment, c'est triste, mais comment passer outre sans causer un mortel chagrin à mon pauvre papa…

N° 922 - L'épreuve sentimentale (C. Fongrave)

3,74 €
Extrait : Les deux jeunes gens se serrèrent la main cordialement et Jean s'éloigna à grands pas, se dirigeant vers le château. A une courte distance, il ralentit et balbutia, se parlant à lui-même : — Pauvre Roger !… Je comprends sa pensée, quoiqu'il la taise avec soin… Mais je n'y puis rien… Pierrette m'aime… et moi je l'adore, le hasard a tout fait. Il leva la tête et aperçut le château, tout près, qui formait une tache grise au milieu de la verdure. Son regard se tourna machinalement vers une des fenêtres du rez-de-chaussée et un sourire détendit ses traits. Aussitôt, il marcha plus vite et escalada le perron. Comme il franchissait le seuil, une voix rieuse s'écria : — Comme ru es resté longtemps, vagabond !…
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