Accueil

Accueil

Il y a 6 produits.

Affichage 1-6 de 6 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Georges-Jean Arnaud
  • Auteurs: Jean d'Yvelise
  • Auteurs: Juliette Goublet

N° 2963 - Le refuge de la tendresse (Maurice Métral) - Les jeudis de Julie (Georges-Jean Arnaud)

4,50 €
Encarts BS Lecture 2963 à détacher Le refuge de la tendresse  d'après le roman de Maurice Métral Deux guides valaisans, Jean-Philippe et Helga, alternent la solitude amère et les retrouvailles heureuses. Une vie sans histoire jusqu'au moment où Jean-Philippe est victime d'un grave accident de montagne. Pendant qu'on le transporte par hélicoptère dans un hôpital, Helga donne la vie à son premier enfant. Eprouvée par la douleur physique, la jeune maman l'est davantage par la souffrance morale : Jean-Philippe pourra-t-il exercer de nouveau son métier, vaincra la montagne ? Entre-temps, comme il faut bien vivre. Helga prend la place de son mari… Jean-Philippe, comme un enfant, doit tout recommencer, refaire un pas, un autre pas, deux pas. L'amour d'une femme, la tendresse et le dévouement de sa mère, suffiront-ils pour « ressusciter un homme » ? Les jeudis de Julie  d'après le roman de Georges-Jean Arnaud Extrait : Marie Lacaze travaillait à Sigean depuis la mort de son mari et ne pouvait s'occuper de sa petite fille Julie comme elle l'aurait souhaité. L'enfant devait rentrer seule dans leur vieille maison isolée au bord de l'étang, préparer son goûter, faire ses devoirs avec l'entière confiance de sa mère. La première fois où Marie prit conscience que sa fille avait un camarade fut un jeudi soir…

N° 576 - La Sicile en auto (Juliette Goublet)

4,90 €
Extrait : I - LA BELLE AFFICHE C'était dans les premiers jours de l'automne. Marie-Claude et Gilbert étaient tombés en arrêt devant l'un des bureaux du tourisme qui avoisinent la place de l'Opéra. C'est en vain que leur père essayait de les entraîner vers le boulevard des Italiens. Ils ne se lassaient pas d'admirer une affiche multicolore où l'on voyait, au bord d'une mer très bleue, un rivage planté d'orangers fleuris. Ne pouvant en distraire ses enfants, M. Dupont prit le parti de s'intéresser lui aussi à l'affiche. « Tu vois, papa, dit Marie-Claude, c'est un paysage de Sicile. Ne trouves-tu pas que ce pays paraît charmant ? » Cependant, M. Dupont lisait lui aussi les réclames inscrites à droite et à gauche : Visitez la Sicile, l'île du Soleil . « Au fait, dit-il, pourquoi n'irions-nous pas passer quelques jours là-bas ? Qu'en diriez-vous, mes enfants ? Par avion, nous serons vite rendus… »

N° 1601 - Les amants maudits (Jean d'Yvelise)

5,50 €
Extrait : Il y avait bien près d'un an que le canon grondait sous le ciel rouge et or d'Espagne. Dans la folie guerrière d'une lutte fratricide impardonnable, tout ce que les artistes, au cours des siècles, avaient édifié de noble et de beau s'anéantissait sous des déluges de mitraille. Pour des idéologies dont chacune pouvait avoir sa raison d'être, deux factions se massacraient…

N° 1525 - La faute d'Annette (Jean D'Yvelise)

3,56 €
Extrait : Solange, la petite laborantine, était partie depuis trois, quatre ou cinq heures : le docteur Philippe Adenis n'aurait sur le dire. Il était seul dans le modeste laboratoire qu'il entretenait à ses frais. Une éprouvette dans la main gauche, je jeune médecin surveillait une réaction. Tout l'après-midi il avait donné ses consultations à l'hôpital des Enfants-Malades…

N° 1655 - Après les ténèbres (Jean d'Yvelise)

6,00 €
Extrait : C'était un soir désolé d'octobre. On entendait tonner le vent sur la lande et la sourde et lointaine canonnade de la mer. Par instants, une violente rafale déchirait la nue ; alors, dans la vaste plaie de l'ouverture, on percevait le ciel presque blanc, plein de lune, mais sans étoiles. Puis, un nuage énorme, poussé à une vitesse vertigineuse, bouchait tout et la nuit redevenait épaisse…

N° 1532 - Le redoutable amour (Jean d'Yvelise)

3,74 €
c La plus importante d'entre elles, composée d'une soixantaine de terrassiers, avait pour mission de percer un souterrain dans les premiers contreforts du versant non de l'Atlas. Elle était dirigée par un tout jeune ingénieur de vingt-six ans, Jacques de la Ferrière, sorti major, cinq ans pus tôt, de l'Ecole des Ponts. C'était un très beau garçon, au regard luisant d'énergie, au menton volontaire, au front haut surmonté d'une brune et abondante toison. Depuis plus de trois mois sur la brèche, il passait une partie de ses nuits à faire des calculs, à dessiner les détails du vaste plan d'ensemble qu'on lui avait donné, et les journées entières à surveiller l'exécution de ce qu'il avait conçu…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire