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  • Auteurs: Ariette Prêle
  • Auteurs: Georges-Jean Arnaud
  • Auteurs: Kate B. Jacobson
Famous Bastard - Kate B. Jacobson - Adult Romance - Editions Addictives
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Famous Bastard (Kate B. Jacobson) - Première partie

5,95 €
Se réveiller à côté d'un inconnu. Apprendre qu'on est mariée avec lui. Bienvenue à Las Vegas ! « Je déteste Las Vegas. Et je déteste les mariages. Et me voilà à Sin City pour assister à celui de ma demi-sœur. Mais le pire, LE PIRE, c'est que ce matin, je me suis retrouvée dans le lit d'un parfait inconnu, mariée à un milliardaire... malgré moi ! » Alors que Grace Peters est à Las Vegas pour assister au mariage de sa sœur Nikki, vedette d'une émission de télé-réalité, c'est elle qui se retrouve mariée à un certain Caleb Montgomery. Il est charmant, ce Caleb, il est même carrément canon, et en plus il est très riche, mais se marier, ce n'était pas du tout dans les projets de Grace. Sa liberté, elle y tient plus que tout. Le hic, c'est que son cher époux, dont elle ne sait rien, ne semble pas décidé à accepter l'annulation de leur mariage... Une romance drôle et émouvante, une intrigue percutante et passionnante.

N° 2963 - Le refuge de la tendresse (Maurice Métral) - Les jeudis de Julie (Georges-Jean Arnaud)

4,50 €
Encarts BS Lecture 2963 à détacher Le refuge de la tendresse  d'après le roman de Maurice Métral Deux guides valaisans, Jean-Philippe et Helga, alternent la solitude amère et les retrouvailles heureuses. Une vie sans histoire jusqu'au moment où Jean-Philippe est victime d'un grave accident de montagne. Pendant qu'on le transporte par hélicoptère dans un hôpital, Helga donne la vie à son premier enfant. Eprouvée par la douleur physique, la jeune maman l'est davantage par la souffrance morale : Jean-Philippe pourra-t-il exercer de nouveau son métier, vaincra la montagne ? Entre-temps, comme il faut bien vivre. Helga prend la place de son mari… Jean-Philippe, comme un enfant, doit tout recommencer, refaire un pas, un autre pas, deux pas. L'amour d'une femme, la tendresse et le dévouement de sa mère, suffiront-ils pour « ressusciter un homme » ? Les jeudis de Julie  d'après le roman de Georges-Jean Arnaud Extrait : Marie Lacaze travaillait à Sigean depuis la mort de son mari et ne pouvait s'occuper de sa petite fille Julie comme elle l'aurait souhaité. L'enfant devait rentrer seule dans leur vieille maison isolée au bord de l'étang, préparer son goûter, faire ses devoirs avec l'entière confiance de sa mère. La première fois où Marie prit conscience que sa fille avait un camarade fut un jeudi soir…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait  : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1884 - A la lumière de cet été (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : A l'heure de la sieste, la maisonnée tout entière plongeait dans le silence. Chacun était libre de dormir où il voulait : dans l'ombre de la sapinette sur les aiguilles de pins qui revêtaient la mousse d'une natte sèche et luisante, dans le fenil obscur plein de l'entêtante odeur des herbes rêches, dans l'ancienne magnanerie si l'on ne craignait pas les mouches ou dans la « chambre verte » que Sheila préférait à tout le reste. Mais elle arrivait rarement à s'annexer ce lieu de délices situé dans une aile inhabitée de la demeure, baignée de lumière glauque et de fraîcheur particulièrement favorables au sommeil : Delia et sa mère l'occupaient à tour de rôle, sauf cet après-midi là, puisque depuis le matin elles étaient parties faire des courses en ville. Sadi — le mari de Délia — Chris, le frère de Sheila et de Délia, Chad Maddelin enfin, le chef de la famille, allaient choir sur des couches improvisées aux alentours de la maison : sapinette, fenil, voire même bûcher ou buanderie quand il faisait très chaud comme aujourd'hui…
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