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  • Auteurs: Anne Beauchamps
  • Auteurs: Georges-Jean Arnaud
  • Auteurs: Robert Soulières

N° 2963 - Le refuge de la tendresse (Maurice Métral) - Les jeudis de Julie (Georges-Jean Arnaud)

4,50 €
Encarts BS Lecture 2963 à détacher Le refuge de la tendresse  d'après le roman de Maurice Métral Deux guides valaisans, Jean-Philippe et Helga, alternent la solitude amère et les retrouvailles heureuses. Une vie sans histoire jusqu'au moment où Jean-Philippe est victime d'un grave accident de montagne. Pendant qu'on le transporte par hélicoptère dans un hôpital, Helga donne la vie à son premier enfant. Eprouvée par la douleur physique, la jeune maman l'est davantage par la souffrance morale : Jean-Philippe pourra-t-il exercer de nouveau son métier, vaincra la montagne ? Entre-temps, comme il faut bien vivre. Helga prend la place de son mari… Jean-Philippe, comme un enfant, doit tout recommencer, refaire un pas, un autre pas, deux pas. L'amour d'une femme, la tendresse et le dévouement de sa mère, suffiront-ils pour « ressusciter un homme » ? Les jeudis de Julie  d'après le roman de Georges-Jean Arnaud Extrait : Marie Lacaze travaillait à Sigean depuis la mort de son mari et ne pouvait s'occuper de sa petite fille Julie comme elle l'aurait souhaité. L'enfant devait rentrer seule dans leur vieille maison isolée au bord de l'étang, préparer son goûter, faire ses devoirs avec l'entière confiance de sa mère. La première fois où Marie prit conscience que sa fille avait un camarade fut un jeudi soir…

Un phénomène appelé Nina (Anne Beauchamps)

2,95 €
Extrait : Diane d'Ursola ouvrit un oeil, puis l'autre, puis se demanda où elle était. Que pouvaient donc bien signifier ce lavabo étroit, ces murs nus, ce mobilier on ne peut plus quelconque ? N'était-elle pas en train de rêver ? Une sonnerie qu'elle reconnut… enfin ! (car dans tous les pays du monde le téléphone à la même voix ) la fit s'asseoir sur son séant et décrocher l'appareil posé sur la table de nuit. — Allô… mademoiselle Venturi ?… Voulez-vous me rappeler votre tour de taille ? Diane battit des cils. Elle tombait de la lune. — Cinquante-six centimètres, répondit-elle, sans encore savoir à qui elle parlait. — Et la largeur des épaules, s'il vous plaît ? — Quatre-vingt centimètres. — Vous dites ? La voix du correspondant paraissait franchement stupéfaites. — Non, attendez, je me trompe ! dit la jeune fille. C'est cinquante-neuf centimètres. Puis, comme soudain elle commençait de comprendre, elle ajouta : — J'ai oublié de vous dire que j'avais le pied fin et un joli port de tête…
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