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  • Auteurs: Frank Miller
  • Auteurs: Georges Ohnet
  • Auteurs: Philippe Jean

La Grande Marnière : Un Amour Impossible (Georges Ohnet)

14,90 €
Et voilà justement ce que je ne crois pas, dit-elle avec beaucoup de calme. Je suis sûre que vous êtes bon, et qu'une prière et des larmes feront cent fois plus pour notre cause que les plus brillantes promesses. En échanges de ce que vous allez faire pour nous, je ne vous offrirai que ma reconnaissance sincère, je ne vous demande d'autre engagement que de mettre votre main dans la mienne… Le voulez-vous ? La petite main, qui avait si insolemment coupé l'air avec une cravache, dans le chemin de Couvrechamps, se tendait maintenant ouverte et caressante.

Martha Washington goes to war T1 (Frank Miller, Dave Gibbons)

8,00 €
« Une nation divisée, dit-on de nous… mais nous sommes UNE, INDIVISIBLE, et NOUS CRAIGNONS DIEU ! » Tel est le message répété en 2014 par TV PAX, le média des « Forces de la Paix ». Mais la réalité est tout autre, une nouvelle guerre de sécession a fait éclater les USA en une poussière d'états et a plongé le pays dans un chaos total ! Et Martha Washington, soldat d'élite des forces de la PAX en sait quelque chose. Les frappes chirurgicales, la guerre des satellites et toutes les merveilles de la technologie guerrière TUENT des femmes et des hommes, tout comme les bonnes vieilles bombes d'antan. Dans ce monde à l'agonie, une nouvelle rumeur folle se répand. Des fantômes, les esprits des soldats morts, reviennent pour tourmenter les vivants et s'emparer des machines de mort les plus sophistiquées. Mais Martha, bien sûr, ne croit pas aux fantômes. Les amateurs de LIBERTY, Un Rêve Américain, retrouveront dans cette nouvelle série la suite des aventures de Martha Washington.

Big Guy (Frank Miller, Geof Darrow)

9,55 €
Dans un bouillonnement de vagues, un titan de métal se dresse, pareil à un serpent de mer réveillé en sursaut : Big Guy. Big Guy, seul espoir d'un Japon martyrisé par un monstre tout-puissant. Big Guy, ultime recours de l'humanité !

N° 1689 - Une femme unique (Philippe Jean)

4,15 €
Extrait : La nuit était douce. Une brise très légère venait de la mer, juste assez fraîche pour chasser la chaleur accumulée par le sol et les pierres de la villa durant toute une journée ensoleillée sous le ciel sans nuages, de la Côte d'Azur. Marie-Elise et Geneviève avaient mis, sur leurs épaules nues, l'une un châle, l'autre une veste de flanelle. Seule Nora gardait sa tenue de plage. …

N° 1659 - Coeur de pierre (Philippe Jean)

3,74 €
Extrait : Dans tout le village de Brauvoy, on ne voyait que deux lumières en dehors de l'immense clarté qui venait de la place du Marché. C'étaient deux petits lumignons jaunes et tristes : l'un à la ferme des Furet, l'autre dans la maisonnette des Digard. Tous les autres foyers étaient obscurs, car la foule des villageois s'était répandue ce soir-là dans les rues, sur la route, dans les cabarets avoisinant la place où avait lieu le bal. La jeunesse s'en donnait à coeur joie au son d'un orchestre infatigable, tandis que les marmots contemplaient cette agitation avec extase, les doigts dans le nez, ou se poursuivaient à grands cris parmi les couples qu'ils bousculaient. Les jeunes mères étaient assises sous les arbres du mail vaguement éclairés par les derniers reflets des lampes du bal ; elles serraient contre elles leurs enfants endormis, mais elles n'auraient pas voulu être exclues de la fête où, l'année précédente, nombre d'entre elles, encore légères, avaient dansé…

N° 1712 - Prisonnière de son destin (Philippe Jean)

4,50 €
Extrait : — Atelier Didier Dyon ? répéta la concierge. Septième, face. — Merci, madame… Munie du renseignement, Régine attaqua l'escalier, puis sonna… au premier étage. C'était ainsi qu'elle s'y prenait pour forcer le barrage : quand on fait du « porte à porte », le plus dur est de s'introduire dans l'immeuble : aussi relevait-elle dans l'annuaire  le nom d'un locataire qui servait de Sésame ouvre-toi vis-à-vis de la concierge ; et une fois dans la place, elle visitait, un à un, tous les appartements de la maison. Le « truc » n'est pas infaillible. Ainsi, ce matin, depuis que, descendue au métro Montparnasse, elle avait entamé, par en haut, la rue de Rennes, cela n'avait pas encore réussi une seule fois : ou le locataire-clé avait déménagé, ou il était mort, ou il venait de sortir, ou il était en voyage… ou c'était le concierge qui, comme le signalait un écriteau, était « dans l'escalier », et risquait, par conséquent, d'éventer le subterfuge et de chasser, honteusement celle qui cherchait à enfreindre l'interdiction (affichée partout) « aux représentants » et démonstrateurs de pénétrer dans l'immeuble ». Donc, Régine avait essuyé toute une série d'échecs avant d'être, enfin, en mesure de prendre contact avec d'éventuels clients…
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