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  • Auteurs: Alexyanne
  • Auteurs: Georgette Paul

Ballet pour une ombre (Georgette Paul)

9,90 €
Quelques instants avant de mourir la grande étoile de la danse Nina Darova a demandé à son maître de ballet, Boris Norsky, de retrouver sa fille, qu'elle a eue d'un bref mariage, et de s'occuper d'elle. Fidèle à sa promesse, Boris est parti pour l'Italie à la recherche de Ludmilla Ouranoff. C'est en France qu'il la découvrira. Elle exerce le même métier que sa mère, mais le succès n'est point venu. Alors Boris décide de mettre tout en oeuvre pour que Ludmilla devienne une grande danseuse. Mais que d'hommes, séduits par la beauté de Ludmilla, gravitent autour d'elle ! Il y a Jacques Faivre, l'homme qu'elle aime, mais auquel elle doit renoncer, Rudolph Hartwell, de qui elle a repoussé les avances et qui veut se venger de son dédain. Partenaire de Ludmilla, Rudolph ne cesse d'alimenter la mésentente qui règne entre eux depuis le début des répétitions. La première réapparition en public de Ludmilla frise la catastrophe. Boris la sauvera-t-il du désastre ? La jeune danseuse l'aime secrètement. Mais par ses tergiversations, son attitude déconcertante, elle a réussi à le pousser au désespoir. Il veut la fuir. En aura-t-il le courage ?

N° 1544 - Rappelle-toi (Alexyanne)

3,05 €
Extrait : Depuis un peu plus d'une heure, le train n'était plus express, mais omnibus… Il ne faisait plus entendre son long sifflement tragique, au moment de brûler les gares ; les petites maisons, en bordure de la voie, ne s'effaçaient plus devant lui dans un vent de panique ; le bruit de ses roues n'avait plus cette note autoritaire et triomphante qui, depuis Paris, était revenue à un rythme régulier dans le chant de sa marche… Il ralentissait souvent, maintenant, le train naguère si orgueilleux de sa vitesse et de sa force. Il arrivait dans les petites gares en s'annonçant, en s'excusant presque de troubler la paix des champs environnants… Et il repartait avec des halètements poussifs. On aurait dit qu'il avait vieilli. Jeanine, debout dans le couloir, fumait la dernière cigarette avant l'arrivée à Parchy. Elle se faisait, au sujet du train, ces réflexions un peu puériles, et se demandait s'il en serait de même pour Philippe, lorsqu'il ne serait plus le brillant météore filant à toute vitesse dans le ciel de la gloire, faisant pâlir les étoiles plus anciennes, jetant ses feux aveuglants, projetant dans une ombre plus dense encore qu'avant son passage les petits feux qui essayaient de se survivre…
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