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  • Auteurs: Ghislaine Biondi
  • Auteurs: Maria Blazejovsky
  • Auteurs: Philippe Jean

Leïla et la mémoire des roses (Ghislaine Biondi) - J'aime Lire N° 273

4,46 €
Leïla en a assez ! Sa mère a la bougeotte et déménage sans arrêt. Leïla est toujours obligée de se faire de nouveaux amis. Cette fois, elle sympathise avec monsieur Ali, l’épicier du quartier. Mais un jour, dans son magasin, elle manque de  renverser une personne âgée. Une complicité se noue immédiatement entre Leïla et cette vieille dame, qui porte un étrange tatouage sur le bras… Dès 9 ans.

Dans mes petits souliers (Susanne Vettiger, Maria Blazejovsky)

5,90 €
Clic clac, clic clac… Du matin au soir, nos souliers nous portent de par le monde. Mais… que se passe-t-il dès que nos pieds les ont quittés ? A ce qu'on raconte, de petits êtres fantastiques pointent alors le bout du nez et commencent à vivre d'étranges aventures. Vous ne le croyez pas ? Alors écoutez bien cette histoire. Elle nous raconte la vie de Mam'zelle Babette et de Monsieur Leureux, deux souliers pas comme les autres puisqu'ils habitent à l'Opéra. Sur scène, ils font la paire ! Mais un beau jour, consternation ! Monsieur Leureux a disparu. Et l'une après l'autre, les chaussures voisines se volatilisent à leur tour, tantôt la gauche, tantôt la droite. Que se passe-t-il donc ? C'est un bien grand mystère, mais Mam'zelle Babette est prête à tout pour retrouver son compère…

Les babouches du sultan (Ghislaine Biondi) - Milan Poche Cadet N° 128

3,50 €
Les babouches du sultan (Ghislaine Biondi) Tout va pour le mieux dans le royaume du sultan Nur ad-Dîn. Du moins c'est ce qu'il pense. Mais lorsqu'il enfile de curieuses babouches vendues par un curieux marchand, tout change : le sultan découvre que, pour ses sujets, la vie n'est pas si belle... Dès 7-8 ans.

N° 1689 - Une femme unique (Philippe Jean)

4,15 €
Extrait : La nuit était douce. Une brise très légère venait de la mer, juste assez fraîche pour chasser la chaleur accumulée par le sol et les pierres de la villa durant toute une journée ensoleillée sous le ciel sans nuages, de la Côte d'Azur. Marie-Elise et Geneviève avaient mis, sur leurs épaules nues, l'une un châle, l'autre une veste de flanelle. Seule Nora gardait sa tenue de plage. …

N° 1659 - Coeur de pierre (Philippe Jean)

3,74 €
Extrait : Dans tout le village de Brauvoy, on ne voyait que deux lumières en dehors de l'immense clarté qui venait de la place du Marché. C'étaient deux petits lumignons jaunes et tristes : l'un à la ferme des Furet, l'autre dans la maisonnette des Digard. Tous les autres foyers étaient obscurs, car la foule des villageois s'était répandue ce soir-là dans les rues, sur la route, dans les cabarets avoisinant la place où avait lieu le bal. La jeunesse s'en donnait à coeur joie au son d'un orchestre infatigable, tandis que les marmots contemplaient cette agitation avec extase, les doigts dans le nez, ou se poursuivaient à grands cris parmi les couples qu'ils bousculaient. Les jeunes mères étaient assises sous les arbres du mail vaguement éclairés par les derniers reflets des lampes du bal ; elles serraient contre elles leurs enfants endormis, mais elles n'auraient pas voulu être exclues de la fête où, l'année précédente, nombre d'entre elles, encore légères, avaient dansé…

N° 1712 - Prisonnière de son destin (Philippe Jean)

4,50 €
Extrait : — Atelier Didier Dyon ? répéta la concierge. Septième, face. — Merci, madame… Munie du renseignement, Régine attaqua l'escalier, puis sonna… au premier étage. C'était ainsi qu'elle s'y prenait pour forcer le barrage : quand on fait du « porte à porte », le plus dur est de s'introduire dans l'immeuble : aussi relevait-elle dans l'annuaire  le nom d'un locataire qui servait de Sésame ouvre-toi vis-à-vis de la concierge ; et une fois dans la place, elle visitait, un à un, tous les appartements de la maison. Le « truc » n'est pas infaillible. Ainsi, ce matin, depuis que, descendue au métro Montparnasse, elle avait entamé, par en haut, la rue de Rennes, cela n'avait pas encore réussi une seule fois : ou le locataire-clé avait déménagé, ou il était mort, ou il venait de sortir, ou il était en voyage… ou c'était le concierge qui, comme le signalait un écriteau, était « dans l'escalier », et risquait, par conséquent, d'éventer le subterfuge et de chasser, honteusement celle qui cherchait à enfreindre l'interdiction (affichée partout) « aux représentants » et démonstrateurs de pénétrer dans l'immeuble ». Donc, Régine avait essuyé toute une série d'échecs avant d'être, enfin, en mesure de prendre contact avec d'éventuels clients…
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