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  • Auteurs: Gianni Rodari
  • Auteurs: Jeanine et Jean Guion
  • Auteurs: Marguerite Soleillant
Ratus et les lapins - Jeanine et Jean Guion - Ratus Poche N° 2
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Ratus et les lapins (Jeanine et Jean Guion)

2,56 €
Ratus a décidé de faire construire un immeuble pour les lapins. Il a tout prévu : des terrasses avec de l'herbe et une grande piscine toute bleue. Mais cela coûte cher et les lapins ne sont jamais contents ! Heureusement, Ratus est malin…
La tarte volante (Gianni Rodari) - Le Livre de Poche N° 72
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La tarte volante (Gianni Rodari) - Le Livre de Poche N° 72

2,45 €
Terreur dans la banlieue de Rome : les Martiens vont-ils débarquer ? Devant l'immense soucoupe volante, la police et l'armée sont sur les dents. Mais les enfants ont déjà fait leur enquête : le chocolat martien est délicieux. Quant au vieil extra-terrestre qu'ils surprennent sous une montagne de crème, de glace et de sirop, il y a l'air plus ennuyé que méchant… Pour les 7-10 ans
Ratus à la ferme (Jeanine et Jean Guion) - Ratus Poche N° 41
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Ratus à la ferme (Jeanine et Jean Guion)

2,15 €
Ratus et ses amis passent leurs vacances à la campagne pour apprendre à être fermiers. C'est difficile ! Le rat vert préfère s'amuser et faire des farces aux animaux. Mais les chèvres et le coq ont mauvais caractère, les oies pincent, et le taureau est furieux !

Corinne l'aventureuse (Marguerite Soleillant)

12,00 €
Extrait : Chapitre I : LA MAISON DES BRODEUSES Sous le feuillage d'un grand frêne, à l'écart du village, il y avait la maison des brodeuses. Elle était petite cette maison et basse sous son toit de tuiles brunes où des plaques de mousse posaient leur éclat d'or. A côté de la porte une large fenêtre brillait de tous ses carreaux, derrière un pot de géranium en fleurs. Dans le pignon, sur le rebord de l'autre fenêtre plus étroite, était posée une cage de chardonnerets. Les chardonnerets pépiaient dans leur prison ; le vent chantait aux branches du frêne. Le soleil marquait 5 heures au-dessus de la montagne. La porte s'ouvrit. Menue dans sa robe de bure bien froncée à la taille, un pli d'inquiétude au front, une vieille femme s'avança sur la marche du seuil. Elle abrita  ses yeux avec sa main pour fouiller du regard le chemin montant entre les murettes de pierre où couraient des lézards. « Je ne la vois pas revenir, dit-elle, rentrant dans la maison. — Il n'est pas encore tard, grand-mère, » répondit une fillette, assise devant un métier à broder, près de la fenêtre. « Il n'est pas tard, mais elle sait bien que nous avons du travail et qu'il faudrait t'aider, et que mes pauvres yeux ne voient plus pour enfiler des aiguilles. Ah! si je ne t'avais pas pour me consoler, Eléonore !… »
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