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  • Auteurs: Gianni Rodari
  • Auteurs: Jean Glachant
  • Auteurs: Sid Fleischman
La tarte volante (Gianni Rodari) - Le Livre de Poche N° 72
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La tarte volante (Gianni Rodari) - Le Livre de Poche N° 72

2,45 €
Terreur dans la banlieue de Rome : les Martiens vont-ils débarquer ? Devant l'immense soucoupe volante, la police et l'armée sont sur les dents. Mais les enfants ont déjà fait leur enquête : le chocolat martien est délicieux. Quant au vieil extra-terrestre qu'ils surprennent sous une montagne de crème, de glace et de sirop, il y a l'air plus ennuyé que méchant… Pour les 7-10 ans

L'homme qui brillait la nuit (Sid Fleischman) - Le Livre de Poche N° 33

2,74 €
Drôle d'anniversaire pour Oliver Finch ! Il se fait enlever, le jour de ses quatorze ans, par un pirate superstitieux : né à minuit, Oliver a le don de voir les fantômes et le capitaine compte là-dessus pour retrouver le trésor de Gentleman Jack, qui fut enterré avec lui. Nous voilà donc partis pour les îles, avec un sinistre équipage. Le plus étrange, c'est qu'on le verra, ce fantôme… A partir de 11 ans.

L'homme qui brillait la nuit (Sid Fleischman)

3,50 €
Pourquoi Oliver Finch, à l'âge de quatorze ans, vient-il d'être enlevé par le capitaine Scratch, un redoutable pirate, à bord de son bateau ? Le capitaine est persuadé, par superstition, que ce garçon, né à minuit, a la faculté de voir les fantômes. Et il est convaincu qu'Oliver va pouvoir l'aider à trouver l'emplacement d'un fabuleux trésor…[...]

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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