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  • Auteurs: Francine Robert
  • Auteurs: Gilles de Saint-Avit
  • Auteurs: Irène Hunt

Cinq printemps dans la tourmente (Irène Hunt)

3,50 €
« Qui va là ? » cria Jeff à l'inconnu caché derrière le chêne. Alors, d'entre les arbres, surgit un soldat nordiste. Un être hagard et décharné, à l'uniforme en lambeaux. Le jeune garçon le regarda avec épouvante : ce misérable qui braquait son fusil sur lui n'était autre que son cousin Ed !…

Le serment de Natacha (Saint-Avit)

3,92 €
Michka perçut le trouble de la jeune fille. La prenant dans ses bras, il se mit à couvrir son visage de baisers avec tant de douceur, de tendresse, de passion contenue que Natacha en fut bouleversée. Abandonnée contre lui, tremblante, il la sentit amoureuse et crut à sa victoire. Soudain, elle s'écarta. - Non, balbutia-t-elle. Non, je t'en prie. Je ne veux pas. - Mais tu m'aimes ! cria-t-il exaspéré. Je le vois bien… L'amour peut-il naître entre un moujik et une comtesse, dans la Russie des tzars ? Michka, Natacha : deux danseurs prestigieux de l'École impériale de ballet. Ils ont grandi ensemble, Natacha est la fille d'un boyard, Michka le neveu de son cocher... Rien que pour obtenir la permission d'être ballerine, Natacha a fait à son père un terrible serment. Quand tout s'écroule en Russie, la révolution renverse les barrières sociales, honnis l'obstacle qui sépare Natacha du danseur fascinant. Malgré la tourmente de violence et de haine qui ravage leur pays, Michka parviendra-t-il à sauver la vie de Natacha ? A quel prix ?

N° 1899 - Jamais l'amour n'a su compter (Francine Robert)

2,92 €
Extrait  : — Je suis certain, en tout cas, de faire un très mauvais chef d'entreprise, un industriel exécrable ! — A ton âge, mon petit Roland, on n'est certain de rien, permets-moi de te le dire ! Et les deux interlocuteurs s'étaient dressés de chaque côté du bureau ministre qui les séparait. Un petit panneau de plexiglas posé sur la surface polie du meuble apprenait, dès leur entrée, aux visiteurs, qu'ils se trouvaient en face de « Lucien Vaudé, directeur général ». Pour la première fois de sa vie, cet homme d'affaires accoutumé à ne trouver devant lui que docilité, obéissance passive, se heurtait à une volonté qui valait peut-être la sienne : celle de son fils unique, Roland. Ce dernier venait d'avoir vingt-deux ans et on employait habituellement, pour le décrire, trois adjectifs que venait renforcer le mot « très » : « …Très grand, très brun, très sympathique… »…
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