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  • Auteurs: Didier Decoin
  • Auteurs: Gilles de Saint-Avit
  • Auteurs: Michel Nour

N° 2984 - La dernière Troïka d'après le roman de Didier Decoin

3,75 €
Extrait : La-bas scintillait la forêt de Krassinorad. Depuis la veille, le vent du nord enrobait les arbres d'une couche de glace encore fragile, mais qui se consoliderait nuit après nuit, de plus en plus dense, de plus en plus bleue. « La première glace de l'hiver », pensa Ivan Alexandrovitch Krymov. Il s'avança vers la quatrième isba, la seule maison aux murs peints de tout le village. …

Le serment de Natacha (Saint-Avit)

3,92 €
Michka perçut le trouble de la jeune fille. La prenant dans ses bras, il se mit à couvrir son visage de baisers avec tant de douceur, de tendresse, de passion contenue que Natacha en fut bouleversée. Abandonnée contre lui, tremblante, il la sentit amoureuse et crut à sa victoire. Soudain, elle s'écarta. - Non, balbutia-t-elle. Non, je t'en prie. Je ne veux pas. - Mais tu m'aimes ! cria-t-il exaspéré. Je le vois bien… L'amour peut-il naître entre un moujik et une comtesse, dans la Russie des tzars ? Michka, Natacha : deux danseurs prestigieux de l'École impériale de ballet. Ils ont grandi ensemble, Natacha est la fille d'un boyard, Michka le neveu de son cocher... Rien que pour obtenir la permission d'être ballerine, Natacha a fait à son père un terrible serment. Quand tout s'écroule en Russie, la révolution renverse les barrières sociales, honnis l'obstacle qui sépare Natacha du danseur fascinant. Malgré la tourmente de violence et de haine qui ravage leur pays, Michka parviendra-t-il à sauver la vie de Natacha ? A quel prix ?

N° 505 - Je t'adore ! (Michel Nour)

2,92 €
Extrait : Devant la porte du dancing, les deux jeunes gens s'arrêtèrent et Maurice Féraud tendit la main à son ami Raymond Landier. — Tu n'entres pas un instant avec moi ? demanda celui-ci. Voyons, pour une fois, laisse-toi tenter ! Maurice secoua la tête. — Je ne suis nullement tenté, je t'assure. — Tu détestes la danse ! — Je ne la déteste pas, mais je n'éprouve pas comme toi un plaisir de se trémousser comme tu dis, protesta vivement Raymond, il y a aussi celui de tenir dans ses bras une jolie créature qu'emporte l'ivresse du  rythme et qu'on sent contre soi, frémissante, palpitante, offerte comme une fleur qui vous grise de sa beauté et de son parfum…
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