Accueil

Accueil

Il y a 3 produits.

Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Gilles de Saint-Avit
  • Auteurs: Jacques Sanluys
  • Auteurs: Michel Nour

Le serment de Natacha (Saint-Avit)

3,92 €
Michka perçut le trouble de la jeune fille. La prenant dans ses bras, il se mit à couvrir son visage de baisers avec tant de douceur, de tendresse, de passion contenue que Natacha en fut bouleversée. Abandonnée contre lui, tremblante, il la sentit amoureuse et crut à sa victoire. Soudain, elle s'écarta. - Non, balbutia-t-elle. Non, je t'en prie. Je ne veux pas. - Mais tu m'aimes ! cria-t-il exaspéré. Je le vois bien… L'amour peut-il naître entre un moujik et une comtesse, dans la Russie des tzars ? Michka, Natacha : deux danseurs prestigieux de l'École impériale de ballet. Ils ont grandi ensemble, Natacha est la fille d'un boyard, Michka le neveu de son cocher... Rien que pour obtenir la permission d'être ballerine, Natacha a fait à son père un terrible serment. Quand tout s'écroule en Russie, la révolution renverse les barrières sociales, honnis l'obstacle qui sépare Natacha du danseur fascinant. Malgré la tourmente de violence et de haine qui ravage leur pays, Michka parviendra-t-il à sauver la vie de Natacha ? A quel prix ?

N° 505 - Je t'adore ! (Michel Nour)

2,92 €
Extrait : Devant la porte du dancing, les deux jeunes gens s'arrêtèrent et Maurice Féraud tendit la main à son ami Raymond Landier. — Tu n'entres pas un instant avec moi ? demanda celui-ci. Voyons, pour une fois, laisse-toi tenter ! Maurice secoua la tête. — Je ne suis nullement tenté, je t'assure. — Tu détestes la danse ! — Je ne la déteste pas, mais je n'éprouve pas comme toi un plaisir de se trémousser comme tu dis, protesta vivement Raymond, il y a aussi celui de tenir dans ses bras une jolie créature qu'emporte l'ivresse du  rythme et qu'on sent contre soi, frémissante, palpitante, offerte comme une fleur qui vous grise de sa beauté et de son parfum…

N° 1917 - Le dernier mot du coeur (Jacques Sanluys)

3,95 €
Extrait : A regret je franchis le portillon. C'était stupide d'avoir choisi le métro comme moyen de transport ! Il y avait une vingtaine d'arrêts, deux changements, pour aller jusqu'à « La Fourche ». Un bien long voyage ! Je m'étais privée sans raison du beau soleil d'octobre... Le bruit de la rame qui arrivait coupa court à mes réflexions. Trop tard pour changer d'avis !... Je me dirigeai vers le milieu du quai, là où allait venir se placer le wagon des « premières ». Des cris d'effroi, soudain me glacèrent… Le train stoppa net, durement. Des gens s'élancèrent vers la voiture de tête. Le conducteur sortit d'un bond de sa cabine. Il sauta sur la voie, suivi par le chef de train… Déjà, des voyageurs formaient un cercle. Je ne voulu pas me mêler à la foule. C'était un suicide, sans aucun doute. L'affreux spectacle ne m'attirait pas ! Le chef de station, qui s'était précipité pour aider ses camarades de travail à secourir la victime revenait au pas de charge vers la cabine vitrée qui lui sert de bureau…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire