Accueil

Accueil

Il y a 2 produits.

Affichage 1-2 de 2 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Cara Summers
  • Auteurs: Gladys Davidson

N° 1333 - Captive d'un mensonge (Cara Summers)

2,15 €
A vingt-cinq ans, Lily aimerait bien que son père la prenne enfin au sérieux. Il y aurait bien une solution pour le convaincre qu’elle possède les qualités nécessaires pour devenir son associée : accepter – et surtout réussir ! — la mission délicate qu’il lui propose, en faisant croire à Tony Romano, le propriétaire d’un hôtel à Manhattan, qu’elle peut l’aider à trouver le financement dont il a besoin. Un pur mensonge, car en réalité, elle doit réunir des informations susceptibles de le contraindre à vendre son hôtel à son père !  Lily n’a pas le choix : si elle veut montrer qu’elle a l’étoffe d’une dirigeante d’entreprise, elle mentira à Tony. Mais ce qu’elle n’a pas prévu, c’est d’avoir à résister à l’attraction immédiate qu’elle ressent pour celui qu’elle est venue espionner…

N° 706 - La rose magique (Gladys Davidson)

12,00 €
Extrait : I - Deux Princes Il était une fois un vieux Roi fort riche, qui avait un très méchant fils et un neveu très bon. Le fils se nommait le prince Ragio ; et ce nom lui allait à merveille, car on ne vit jamais Prince plus désagréable, plus laid, plus stupide, et d'un caractère plus mauvais, dans tout le Monde des fées. Personne ne l'aimait, et le peuple tremblait à la pensée qu'un jour il serait le maître ; car, au lieu de s'occuper des affaires de l'état, comme un Prince sage doit le faire, il passait tout son temps à s'amuser avec des compagnons de paresse, et il faisait toujours le mal partout où il allait. Sa mauvaise conduite était un perpétuel sujet de douleur pour son père, et le pauvre vieux Roi en fut devenu fou, n'eût été la bonté de son neveu, le prince Florizel, qui l'aidait de son mieux et lui était, en vérité, une grande consolation. Ce jeune Prince était aussi beau que son cousin était laid ; il était aimable, intelligent, plein de vaillance et de noblesse. Il assistait aux conseils et prêtait au vieux Roi toute l'assistance qu'il pouvait ; plus d'une fois, grâce à ses sages avis, on put se tirer d'ennuis causés par la conduite déréglée du prince Ragio. Le peuple aimait le prince Florizel, et l'aurait bien voulu pour Roi ; mais, pendant longtemps, il garda ce voeu secret, tant il craignait que le méchant Prince ne tuât son favori…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire