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  • Auteurs: Gladys Davidson
  • Auteurs: Louise Gravise
  • Auteurs: Rebecca York

N° 96 - La machine fantastique (Rebecca York)

2,96 €
Message de l'au-delà... Physicien de renommée internationale, Cameron Randolph ne peut se pardonner l'agression qu'à subie sa femme Jo dans la rue. Car pour lui, c'est sa dernière invention, encore confidentielle mais déjà convoitée, qui est à l'origine du drame. Drame d'autant plus déplorable que Jo, de retour de l'hôpital, ne semble plus avoir toute sa tête. Ne prétend-elle pas qu'une force surnaturelle a investi leur maison ? En bon scientifique peu enclin à croire ses inepties, Cameron doit pourtant se rendre à l'évidence quand, une nuit, tandis qu'il effectue des calculs dans son laboratoire, une masse d'énergie se détache de ses appareils pour se matérialiser au milieu de la pièce. Il a beau se frotter les yeux, cligner des paupières, la forme continue de frémir et à tournoyer sur place. Etrange émanation de la science, songe Cameron, mal à l'aide, en éteignant son ordinateur. En tout cas, pas question de croire aux fantômes…

N° 706 - La rose magique (Gladys Davidson)

12,00 €
Extrait : I - Deux Princes Il était une fois un vieux Roi fort riche, qui avait un très méchant fils et un neveu très bon. Le fils se nommait le prince Ragio ; et ce nom lui allait à merveille, car on ne vit jamais Prince plus désagréable, plus laid, plus stupide, et d'un caractère plus mauvais, dans tout le Monde des fées. Personne ne l'aimait, et le peuple tremblait à la pensée qu'un jour il serait le maître ; car, au lieu de s'occuper des affaires de l'état, comme un Prince sage doit le faire, il passait tout son temps à s'amuser avec des compagnons de paresse, et il faisait toujours le mal partout où il allait. Sa mauvaise conduite était un perpétuel sujet de douleur pour son père, et le pauvre vieux Roi en fut devenu fou, n'eût été la bonté de son neveu, le prince Florizel, qui l'aidait de son mieux et lui était, en vérité, une grande consolation. Ce jeune Prince était aussi beau que son cousin était laid ; il était aimable, intelligent, plein de vaillance et de noblesse. Il assistait aux conseils et prêtait au vieux Roi toute l'assistance qu'il pouvait ; plus d'une fois, grâce à ses sages avis, on put se tirer d'ennuis causés par la conduite déréglée du prince Ragio. Le peuple aimait le prince Florizel, et l'aurait bien voulu pour Roi ; mais, pendant longtemps, il garda ce voeu secret, tant il craignait que le méchant Prince ne tuât son favori…

N° 1698 - Quand l'amour veut vivre (Louise Gravise)

3,05 €
Extrait : — Le malade est perdu... Jean Lallier redressa sa haute taille, et foudroya du regard son assistant. — Je le sauverai ! Si vous flanchez, Lausac, allez ailleurs ! L'opération était assurément particulièrement délicate. Un massage du coeur avait déjà paré à une première alerte. Le patient était âgé et les réactions de l'organisme trop lentes. Le Dr Lallier l'avait prévu. Mais il fallait tenter cette intervention. C'était cela ou la mort inévitable. En toute conscience, il avait choisi. — Le coeur faiblit ! annonça l'anesthésiste, de sa voix calme, impersonnelle, comme perdue dans le silence blanc de la salle. Lallier sentait la sueur lui perler le long des tempes et tomber goutte à goutte dans son col, dans son masque… Un flot de sang jaillit d'une veine qui venait de céder sous une pince. Lallier leva les yeux et surprit un sourire narquois sur le visage de l'interne ; un jeune homme qui croyait tout savoir et se targuait de faire des diagnostics infaillibles…
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