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Il y a 3 produits.

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  • Auteurs: Gladys Davidson
  • Auteurs: René Guillot

Tam-Tam de Kotokro (René Guillot)

6,50 €
« Tam-Tam de Kotokro » aurait pu s'appeler « Le Grand Livre de la Brousse ». René Guillot, fidèle romancier de l'Afrique Noire où il a vécu de longues années, situe l'aventure dans ce mystérieux Soudan qu'il connaît à fond. Il nous fait vivre une histoire passionnante, émouvante et parfaitement morale…

N° 188 - L'étranger du port (René Guillot)

2,15 €
Qui est cet étranger qui, après avoir fait le tour du monde, vient s'installer dans ce petit port italien ? Quel est son secret ? Que semble-t-il attendre ? Même Mario, son seul ami, n'en saura rien. Mario a quatorze ans. Les difficultés de la vie, la nécessité de travailler dès son plus jeune âge l'ont mûri. Pourtant, de l'enfance, il a gardé le goût du merveilleux et la foi en l'avenir. II a eu raison. Grâce à son ami l'étranger, un miracle s'accomplira. Mario pourra réaliser son rêve le plus insensé. Et si, plus tard, le réveil est brutal, qu'importe puisque Mario saura découvrir la chaleur de l'amitié vraie qui, avec l'expérience, aide à supporter les douleurs et les sacrifices.

N° 706 - La rose magique (Gladys Davidson)

12,00 €
Extrait : I - Deux Princes Il était une fois un vieux Roi fort riche, qui avait un très méchant fils et un neveu très bon. Le fils se nommait le prince Ragio ; et ce nom lui allait à merveille, car on ne vit jamais Prince plus désagréable, plus laid, plus stupide, et d'un caractère plus mauvais, dans tout le Monde des fées. Personne ne l'aimait, et le peuple tremblait à la pensée qu'un jour il serait le maître ; car, au lieu de s'occuper des affaires de l'état, comme un Prince sage doit le faire, il passait tout son temps à s'amuser avec des compagnons de paresse, et il faisait toujours le mal partout où il allait. Sa mauvaise conduite était un perpétuel sujet de douleur pour son père, et le pauvre vieux Roi en fut devenu fou, n'eût été la bonté de son neveu, le prince Florizel, qui l'aidait de son mieux et lui était, en vérité, une grande consolation. Ce jeune Prince était aussi beau que son cousin était laid ; il était aimable, intelligent, plein de vaillance et de noblesse. Il assistait aux conseils et prêtait au vieux Roi toute l'assistance qu'il pouvait ; plus d'une fois, grâce à ses sages avis, on put se tirer d'ennuis causés par la conduite déréglée du prince Ragio. Le peuple aimait le prince Florizel, et l'aurait bien voulu pour Roi ; mais, pendant longtemps, il garda ce voeu secret, tant il craignait que le méchant Prince ne tuât son favori…
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