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  • Auteurs: Gladys Davidson
  • Auteurs: Susanna Firth

N° 57 - Le maître du jeu (Susanna Firth)

2,56 €
Max Anderson… dès qu'elle l'aperçut, Vanessa comprit que la soirée serait un désastre. Elle aurait pourtant dû se douter qu'il serait invité. Elle était bien placée pour connaître le crédit dont jouissait l'homme qui faisait et défaisait les stars : trois mois plus tôt, le célèbre critique avait éreinté sans pitié la pièce où elle jouait. Avec rancune, elle observa son ennemi. L'homme ne manquait pas de séduction, mais quelle arrogance ! Leurs regards se croisèrent. L'avait-il reconnue ? Déjà il avançait vers elle, une coupe à la main. — Puis-je offrir un verre à la plus jolie femme de la soirée ? — Merci, dit-elle, tendue. — Suis-je importun ? J'avais pourtant cru lire comme une invite dans vos yeux. — Eh bien, disons que vous vous êtes trompé, monsieur. — Dommage, votre regard était pourtant éloquent, rétorqua-t-il avec un petit rire cynique. A moins que vous ne soyez une excellente comédienne…

N° 706 - La rose magique (Gladys Davidson)

12,00 €
Extrait : I - Deux Princes Il était une fois un vieux Roi fort riche, qui avait un très méchant fils et un neveu très bon. Le fils se nommait le prince Ragio ; et ce nom lui allait à merveille, car on ne vit jamais Prince plus désagréable, plus laid, plus stupide, et d'un caractère plus mauvais, dans tout le Monde des fées. Personne ne l'aimait, et le peuple tremblait à la pensée qu'un jour il serait le maître ; car, au lieu de s'occuper des affaires de l'état, comme un Prince sage doit le faire, il passait tout son temps à s'amuser avec des compagnons de paresse, et il faisait toujours le mal partout où il allait. Sa mauvaise conduite était un perpétuel sujet de douleur pour son père, et le pauvre vieux Roi en fut devenu fou, n'eût été la bonté de son neveu, le prince Florizel, qui l'aidait de son mieux et lui était, en vérité, une grande consolation. Ce jeune Prince était aussi beau que son cousin était laid ; il était aimable, intelligent, plein de vaillance et de noblesse. Il assistait aux conseils et prêtait au vieux Roi toute l'assistance qu'il pouvait ; plus d'une fois, grâce à ses sages avis, on put se tirer d'ennuis causés par la conduite déréglée du prince Ragio. Le peuple aimait le prince Florizel, et l'aurait bien voulu pour Roi ; mais, pendant longtemps, il garda ce voeu secret, tant il craignait que le méchant Prince ne tuât son favori…
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