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  • Auteurs: Camille Arnold
  • Auteurs: Griffo

N° 1676 - La clause secrète (Camille Arnold)

2,92 €
Extrait : Jacqueline repoussa lentement le tiroir du classeur dont le carton vert était déchiré, après y avoir rangé la traite des établissements Phalippou et Fils… Elle était lasse. Non pas lasse de trop travailler — son emploi de dactylo-facturière chez Fradet , « couverture, plomberie, sanitaire », n'était pas harassant ! — mais, au contraire, de faire un travail monotone et ennuyeux auquel elle ne parvenait pas à s'intéresser. Tandis qu'elle cherchait dans une boîte déglinguée un morceau de sparadrap pour arranger tant bien que mal le tiroir défaillant, elle regardait du coin de l'oeil, avec une sorte d'envie, le comptable, M. Plumet…

Samba Bugatti T1 (Jean Dufaux, Griffo)

9,95 €
Les machines agonisent. Les machines sont malades… Rongées, contaminées par un virus transmis par l'homme, les unes après les autres, les machines aux écrans purulents, à l'acier rouillé, à l'âme court-circuitée, se meurent… Samba Bugatti. Attaché à la section prévention. Dossier protégé par le code N.Q.I. Données non communicables. Profession : traquer et éliminer les porteurs de virus, les donneurs de gangrènes… Un homme fort et dur, sans pitié, sans remords, Samba Bugatti. Un homme fait pour déjouer les pièges de ce monde de rouille et de vapeur, de violence et d'illusions.

Samba Bugatti T2 : Monkey-Rock (Jean Dufaux, Griffo)

7,95 €
Il n'y a plus rien… Enfin presque ! Les machines sont rongées par le cancer de la rouille et le monde est plongé dans une crise sans nom ! Samba Bugatti aussi, est infecté ! Lui qui a pour mission de traquer et d'éliminer les porteurs de virus, les donneurs de gangrènes porte à même la chair la bactérie de Lagopa. Comme une bombe à retardement, cette infection, fera de cet homme sans pitié, sans remords, un Monkey. Un être devenu machine, possédé par le fer et la rouille... Il a trois jours pour détruire les exemplaires du Beatifica Blues ! Trois jours pour échapper, aussi, à Ziggy Montana et Algon Cage ! Trois jours pour accepter de vivre ou devancer la mort !… Trois jours…

Samba Bugatti T3 : Le mystère Bugatti (Jean Dufaux, Griffo)

7,95 €
Le monde est rouillé, triste, terne et froid… L'humanité est grippée, fatiguée, tétanisée par la peste pourpre qui envahit ses rouages, tandis que survivent ceux qui ont les moyens d'échapper à ce phénomène de contagion… Samba Bugatti a-t-il les pouvoirs nécessaires pour enrayer cette mécanique infernale ? Lui, qui porte à même la chair le virus, pourra-t-il démonter les rouages d'une implacable machination et mettre à mal le pouvoir néfaste d'Algon Cage?… Seule l'agonie métallique de ce monde en décomposition peut le dire… Seule la trajectoire d'un homme guidé par la passion pourra résoudre cette énigme…

N° 1704 - Au bord de l'abîme (Camille Arnold)

3,74 €
Extrait : Gustave Herbelot reposa le vase de Sèvres dont, machinalement, il avait regardé la marque. On aurait dit qu'il faisait, sans y songer, l'inventaire de ce qu'avait laissé, en mourant, Suzanne Teyssière. De tous les bibelots qui ornaient ce salon, le plus ravissant était sans conteste Odile devant qui Gustave vint se planter, les mains aux poches : — Alors, petite ? Nous sommes d'accord ? La jeune fille leva vers lui un regard craintif : — Il le faut bien, tonton. Elle n'était pas sa nièce, mais celle de sa femme, Fernande, qui était morte deux ans plus tôt. Décidément, on ne vivait pas vieux, chez les Guitton : les deux soeurs, Fernande et Suzanne, avaient été orphelines de bonne heure. Puis Fernande était morte à trente-huit ans et voici que Suzanne venait à son tour d'être emportée en quelques jours par une angine de poitrine. Il restait à Gustave, en tout de sa belle famille, cette nièce de dix-sept ans dont il avait été désigné le tuteur…

N° 1567 - L'inutile sacrifice (Camille Arnold)

3,05 €
Extrait : Chaque fois que Madeleine entend l'ascenseur se mettre en marche les aiguilles de son tricot s'immobilisent et elle suspend presque son souffle pour tendre l'oreille. Est-ce lui, cette fois ? Non, l'arrêt se fait à un autre étage... et elle en est, à la fois, déçue et contente : déçue, parce qu'elle languit que Claude soit rentrée... et contente, parce qu'elle pourra faire encore quelques « rangs » de plus à son pull-over. Comment sera-t-il ce soir ? Ne sera-t-il pas trop fatigué par le métro et ses bousculades aux heures de « pointe », ses innombrables escaliers de correspondance ? Ne sera-t-il pas trop énervé par les leçons données à des aspirantes-pianistes qui n'ont pas la moindre disposition pour la musique mais qui, avant de savoir faire une gamme, sont impatientes de pouvoir jouer Tristesse de Chopin à leur première réception ? Ne sera-t-il pas trop démoralisé par une entrevue avec quelque directeur de théâtre ou quelque éditeur qui, après lui avoir prodigué de grandes louanges pour ses oeuvres, se sera répandu en soupirs pour se plaindre de la crise, des frais chaque jour plus lourds qui l'obligent à « ne miser que sur des noms connus du public »…
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