Accueil

Accueil

Il y a 5 produits.

Affichage 1-5 de 5 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Griffo
  • Auteurs: Léopold Remon

Samba Bugatti T1 (Jean Dufaux, Griffo)

9,95 €
Les machines agonisent. Les machines sont malades… Rongées, contaminées par un virus transmis par l'homme, les unes après les autres, les machines aux écrans purulents, à l'acier rouillé, à l'âme court-circuitée, se meurent… Samba Bugatti. Attaché à la section prévention. Dossier protégé par le code N.Q.I. Données non communicables. Profession : traquer et éliminer les porteurs de virus, les donneurs de gangrènes… Un homme fort et dur, sans pitié, sans remords, Samba Bugatti. Un homme fait pour déjouer les pièges de ce monde de rouille et de vapeur, de violence et d'illusions.

Samba Bugatti T2 : Monkey-Rock (Jean Dufaux, Griffo)

7,95 €
Il n'y a plus rien… Enfin presque ! Les machines sont rongées par le cancer de la rouille et le monde est plongé dans une crise sans nom ! Samba Bugatti aussi, est infecté ! Lui qui a pour mission de traquer et d'éliminer les porteurs de virus, les donneurs de gangrènes porte à même la chair la bactérie de Lagopa. Comme une bombe à retardement, cette infection, fera de cet homme sans pitié, sans remords, un Monkey. Un être devenu machine, possédé par le fer et la rouille... Il a trois jours pour détruire les exemplaires du Beatifica Blues ! Trois jours pour échapper, aussi, à Ziggy Montana et Algon Cage ! Trois jours pour accepter de vivre ou devancer la mort !… Trois jours…

Samba Bugatti T3 : Le mystère Bugatti (Jean Dufaux, Griffo)

7,95 €
Le monde est rouillé, triste, terne et froid… L'humanité est grippée, fatiguée, tétanisée par la peste pourpre qui envahit ses rouages, tandis que survivent ceux qui ont les moyens d'échapper à ce phénomène de contagion… Samba Bugatti a-t-il les pouvoirs nécessaires pour enrayer cette mécanique infernale ? Lui, qui porte à même la chair le virus, pourra-t-il démonter les rouages d'une implacable machination et mettre à mal le pouvoir néfaste d'Algon Cage?… Seule l'agonie métallique de ce monde en décomposition peut le dire… Seule la trajectoire d'un homme guidé par la passion pourra résoudre cette énigme…

N° 1696 - Sa vraie maman ! (Léopold Remon)

2,92 €
Extrait : C'était une pauvre demeure que celle où la vieille Marie Méry se mourait. Une grande pièce au sol dallé, une alcôve et un petit réduit où l'on gardait quelques provisions, composaient le modeste intérieur. Des bouquets d'oignons suspendus décoraient les poutres. La vaste cheminée, quelques misérables meubles ornaient la pièce principale qui s'ouvrait de plain-pied sur le jardinet. Parfois, deux ou trois poules effrontées s'aventuraient jusqu'à la paillasse où dormait Pierrette. C'était toute la basse-cour de Marie Méry qui nourrissait ces volatiles de quelques miettes, et leur laissait le soin de dénicher dans les champs d'alentour le plus clair de leur subsistance. Pauvre, Marie Méry l'était, mais à la façon indifférente des vieilles paysannes qui savent côtoyer la misère sans tomber dans le sordide. Elle ne possédait aucun bien, n'avait ni bétail, ni terre. Et la maison ne lui appartenait qu'en vertu de son abandon dont elle avait su profiter depuis si longtemps…

N° 1714 - Personne au monde... (Léopold Rémon)

3,74 €
Extrait : Quand Charles Bocham pénétra dans son bureau, le scribe indigène était déjà au travail. Le jeune homme bourra sa pipe, déplaça quelques dossiers, prit un roman policier. C'était vraiment un emploi de tout repos. L'employé maori se chargeait des paperasses et s'en tirait fort bien tout seul. Pourtant, le règlement prévoyait que le titulaire du poste devait être licencié en droit. Voilà pourquoi, depuis trois ans, Charles Bocham avait quitté la France. Trois ans ! Il avait débarqué à Tahiti comme Alice au pays des merveilles. C'était presque trop beau, trop colorié. L'air était trop doux, les parfums trop sucrés, la mer et le ciel trop bleus. Mais avec le temps, les couleurs s'étaient ternies, les parfums fanés. Aujourd'hui, Charles Bocham crevait d'ennui. Même la prochaine venue de sa fiancée ne parvenait pas à le tirer de sa lassitude. Le bateau, actuellement, devait franchir le canal de Panama. Il lui faudrait dix-huit jours avant de pénétrer dans la rade de Papeete. Ce délai parût soudain formidablement long à Charles Bocham, plus long que les trois années pendant lesquelles il avait attendu, tout d'abord, sa titularisation, constitué ensuite un petit pécule pour monter son ménage. A présent que le but était en vue, il se rendait compte qu'il n'en pouvait plus, que sa chair et son âme se refusaient à prolonger l'épreuve…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire